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    Pale Rider, le cavalier solitaire
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    223 critiques spectateurs

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    OMTR
    OMTR

    18 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2023
    Un western hautement éthique

    Une communauté de humbles mineurs, qui ne souhaitent que le simple bonheur de leurs familles, s'est installée sur un terrain en lisière de forêt et près d'une rivière, qui légalement n'appartient à personne en particulier.

    C'est sans compter les LaHoods, spoiler: un mineur industriel, avec son fils et leurs acolytes, dont l'avarice et la violence n'ont d'égal que leur mépris des droits fondamentaux. Des mafieux qui attaquent cette petite communauté paisible, chez eux et en ville, pour tenter de leur voler leurs terres, leur travail et leur honneur
    .

    La scène du générique d'ouverture spoiler: met intelligemment en place les lieux et l'intrigue principale, et se termine par la mort du chiot de Megan, 14 ans. Lors des funérailles de son innocent petit compagnon, elle prie pour qu'un homme qui apporte justice et paix vienne les protéger
    .

    Lorsque Hull Barret, spoiler: le beau-père de Megan, est à nouveau attaqué pour s'être rendu au village afin de s'approvisionner, le Prédicateur apparaît et le défend. Celui-ci est ensuite invité à manger et à se reposer chez eux pour le remercier
    .

    Le matin suivant, le Prédicateur spoiler: se met au travail de bon matin afin de les aider, jusqu’à ce qu’une nouvelle attaque les interrompe. Alliant le muscle à l'esprit, Le Prédicateur déjoue habilement celle-ci
    .

    Présent physiquement et psychiquement, spoiler: en trouvant également les mots justes en toute situation, pour faire ressortir le meilleur de chaque membre de cette communauté, le Prédicateur leur donne envie de se battre pour leurs droits. Des valeurs de cœur et d’esprit qui vont droit au cœur de la jeune Megan, qui tombe amoureuse. Tout comme sa mère
    .

    Avec pudeur et sagesse, spoiler: le Prédicateur s’éloigne alors en faisant comprendre qu’Hull, qui est quelqu’un de profondément bon et honnête, est l’homme avec qui Sarah Wheeler doit se marier pour finir d’élever Megan. Avant qu’à son tour elle ne trouve un jeune homme qui partage leurs valeurs essentielles
    .

    Dans une séquence brillante, Clint Eastwood spoiler: change le rôle du Prédicateur lorsque LaHood fait appel à un maréchal corrompu nommé Stockburn, et à ses hommes de main, pour se débarrasser définitivement de la communauté de Carbon Canyon. Stockburn est un nom qui surgit du passé pour le Prédicateur, et leur histoire est également résumée dans une scène brillante où l'on voit le Prédicateur se laver et l'on discerne les cicatrices sur son dos meurtri par le poids du passé
    .

    La modestie du style cinématographique de Clint Eastwood convient parfaitement aux thèmes abordés dans cette histoire dont la sobriété n'a d'égale que la richesse de sa morale.

    Un western hautement éthique produit et réalisé par Clint Eastwood, en le mettant également en vedette, qui est devenu le western le plus rentable des années 1980.

    5/5
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 septembre 2023
    En 1985, Clint Eastwood revient à son genre préféré : le western. Le réalisateur interprète lui-même le rôle principal, celui d’un énigmatique pasteur venu protéger des chercheurs d’or opprimés. Le scénario plutôt classique possède néanmoins un aspect anticonformiste grâce au mystère qui plane autour de ce justicier dont l’ambivalence des actes interpelle. A la fois protecteur et aimant (parfois même à la limite du trouble dans sa relation avec la jeune fille), il peut devenir un tueur solitaire implacable. La présence du thème de la destruction de la Nature par l’homme offre également à ce récit une dimension mystique. Bref, un film sobre et efficace dans la lignée de ceux produits par le grand Sergio Leone.
    Kymani Alger
    Kymani Alger

    24 abonnés 546 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2023
    Voilà ! ! C'est comme sa que l'on fait un bon Western ! Pale Rider, le cavalier solitaire film de Clint Eastwood qui est toujours aussi bon dans son rôle. On ressent beaucoup que son personnage est inspiré de l'homme sans nom dans la trilogie des dollars , son personnage dans le film est très bien écrit intelligent, Charismatique et mystérieux sinon l'histoire est très bonne les méchants aussi mais par contre le gros problème de ce film est de loin la musique qui est presque inexistante ce qui est bizarre pour un Western ! Sinon très bon film qui se regarde assez facilement.
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 janvier 2023
    Dans les années 80, j’ai eu l’occasion de voir au cinéma, coup sur coup, « Silverado » et « Pale Rider : le cavalier solitaire » ; deux films qui, éphémèrement, rendaient au western ses lettres de noblesse. Autant le premier puisait son inspiration dans le western (mythifié) des années 50, autant le deuxième se voulait une émanation épurée sur western spaghetti. Le premier jouant la carte de l’optimisme, le deuxième, celle du pessimise. « Pale Rider : le cavalier solitaire » est western mythique qui s’inspire du très bon « Shane » de George Stevens (1953), mais dont le déroulé est beaucoup plus sombre et violent. Un des grands thèmes du western est présent : la défense des valeurs individuelles contre l’oppresseur fourbe et vénal. Avec le recul, on savoure le côté précurseur de Clint Eastwood qui décrit une nature salopée par l’avidité humaine. Clint Eastwood reprend avec brio son rôle de cavalier « sans nom », un l’archétype du cowboy vengeur/sauveur qui a fait sa réputation.
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1).
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 358 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2022
    Dans “Pale Rider, le cavalier solitaire”, Clint Eastwood reprend sa casquette de cowboy sans nom. Cette fois pasteur, il débarque dans une ville minière dont les ressources s’épuisent et où les chercheurs d’or sont sur le point d’abandonner leurs recherches car harcelés par le puissant entrepreneur Coy LaHood. Sur un scénario plutôt classique dans le genre, Eastwood donne à son personnage une aura mystique grâce à un jeu de lumière épatant. Tout dans la mise en scène est d’ailleurs maîtrisé. La photographie naturelle de Bruce Surtees ou la musique à suspense de Lennie Niehaus s’ajoute à un casting investi dans des rôles suffisamment travaillés pour être remarqués. Prenant avec intensité, “Pale Rider, le cavalier solitaire” est également un joli clin d'œil à Sergio Leone.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Bellerophon44
    Bellerophon44

    4 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 décembre 2021
    Un super western avec un Clint Eastwood au top, vraiment ce Pale Rider nous fait passer de bons moments. A voir et à revoir sans conditions.
    Rorechar
    Rorechar

    7 abonnés 815 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2021
    Clint Eastwood retourne à ses premiers amours à savoir le western. On peut reprocher un scénario basique, un cavalier solitaire, dont on ne sait absolument rien de lui , arrive dans une ville et défend des chercheurs d'or opprimés par un riche propriétaire et qui s'intéresse à leurs concession. Ce dernier d'ailleurs emploie des méthodes violentes pour les faire partir et ainsi céder les concessions.
    Mais le film est plutôt efficace, au sens où il est bien tourné visuellement parlant, dans de beaux décors, il est violent et réaliste. Clint Eastwood est très charismatique, convaincant dans le rôle du cavalier solitaire, mystérieux dont on ne sait absolument rien, si ce n'est qu'il serait Pasteur. Il en impose et a une très grande classe.
    Un western très bon, basique mais efficace
    Philippe C
    Philippe C

    97 abonnés 1 050 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mars 2024
    Le thème du film est celui du cavalier solitaire et énigmatique, sorti d'on ne sait où, à la fois pasteur et tireur d'élite qui vient généreusement au secours de pauvres chercheurs d'or harcelés par un homme sans scrupule et sa bande, prêts à tout pout évincer la concurrence, y compris au lynchage et à l'appel à des pseudos shérifs sans scrupules. Ceci étant posé, le scénario de déroule sans grande surprise avec ses longueurs et ses bagarres y compris la dernière où le cavalier solitaire va tuer toute la bade du shérif dans une bataille de rue ou l'on joue à cache-cache, pendant que le bon chercheur d'or amoureux de sa voisine, dopé par le courage de son sauveur, s'en ira tuer le méchant magnat
    Bien sûr, il y a des femmes, la mère et la fille toutes deux amoureuses de l'inaccessibles pasteur-redresseur de tort qui, s'il reste sensible à leurs déclarations (la scène où la jeune fille fait sa déclaration étant d'une absolue mièvrerie) , se tiendra éloigné du péché et disparaitra sur son cheval en quittant le village après y avoir rétabli la sérénité.
    Tout n'est pas mauvais dans ce film qui se laisse malgré tout regarder avec plaisir, ça les images sont jolies et c'est bien filmé., mais ça manque totalement d'originalité et c'est donc un "petit" Clint Eastwood en temps que réalisateur et un honnête Clint Eastwood en tant qu'acteur.
    rocky6
    rocky6

    30 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2021
    Un très bon western, assez classique mais très bien mis en scène par Clint Eastwood. Ce dernier est juste parfait en héros solitaire qui vient en aide à une petite communauté de prospecteur d'or harcelé par un riche propriétaire. Le film prend son temps et monte en puissance jusqu'au combat final qui est l'apothéose de ce film. Un film à voir ou revoir sans modération.
    Fabios Om
    Fabios Om

    51 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2021
    Clint Eastwood toujours grandiose dans ce western , qui parfois est un peux longuet, dans certaine scène,
    mais de la bravoure, courage , la famille sont au premier plan de ce film, ou il la'que vraiment une bonne original . Un film trop porter sur la croyance et la religion , mais un pasteur bien particulier .
    Un film qui a une force de nous tenir jusqu a la fin pour savoir ce qui arriver et ce que va faire le grand Clint
    qui ici pour une fois ne fume pas et c'est tant mieux (lui qui déteste cela ) les chevaux toujours une place dans ses films. Réalisation de Clint Eastwood qui est plutôt bonne .


    résumer ;
    Les derniers chercheurs d'or indépendants de LaHood, bourgade minière de Californie, sont harcelés par les hommes de main du puissant Coy LaHood. Ce dernier a fondé la ville qui porte son nom et exploite une mine qui s'épuise. Il cherche à récupérer les parcelles des indépendants. Les malfrats partis, la jeune Megan (Mélanie dans la version française) Wheeler enterre son chien, innocente victime, et prie. C'est à ce moment que surgit de la montagne un cavalier solitaire tout de noir vêtu. Il est pasteur, comme en atteste son col blanc, mais nul ne connaît son passé ni même son nom. On l'appelle le Prédicateur (the Preacher en VO). Hull Barret, opposé depuis longtemps à Coy LaHood, l'accueille sous son toit. Coy Lahood fait appel à des tueurs à gages.
    Ducerceau
    Ducerceau

    14 abonnés 611 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 octobre 2021
    Pour moi c'est sûrement le moins bon des films de Clint Eastwood. Un remake à l'envers des 7 Mercenaires puisque ceux-ci sont dans le mauvais camps. En face d'eux, il y a Clint tout seul qui s'attribue modestement le beau rôle : celui d'une espèce d'ange de l'Apocalypse venu pour exterminer les méchants. C'est aussi boursouflé que les westerns spaghettis mais malheureusement sans l'humour qui fait passer beaucoup de choses.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    155 abonnés 974 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2021
    Un western de grand cru signé Clint Eastwood. Il joue aussi le rôle principal avec un charisme débordant ! Même si le film est pas mal classique, faisant un peu déjà vu pour son intrigue et ses personnages, les moments forts et la mise en scène se démarquent. Des décors magnifiques, un rythme lent qui reste tendu comme Eastwood c'est si bien le faire. Les scènes de confrontations et surtout la bataille finale sont jouissives. spoiler: On peut seulement regretter que le "pasteur" ne soit pas suffisamment mis en difficulté pour qu'on ne doute pas de son succes...
    Un western que je ne peux que recommander !
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 177 abonnés 4 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juin 2021
    « Pale Rider, le cavalier solitaire », sorti en 1985, est le neuvième western auquel participe Clint Eastwood l’acteur et le troisième porté par le réalisateur. Après « Impitoyable » sorti en 1992, il tournera définitivement le dos au genre qui lui apporta la célébrité après un voyage miraculeux en Italie. C’est donc presque une décennie après « Josey Wales hors -la-loi », son chef d’œuvre et l’échec de « Haut les flingues ! » (Richard Benjamin en 1984), le film de gangsters ironique qu’il tourne avec son ami Burt Reynolds, qu’Eastwood se décide à adapter un projet de western vieux de quatre ans, initié avec Michael Butler et Dennis Shryack qui en écriront conjointement le scénario original. Le film tourné dans la forêt de Sawtooth (Idaho), non loin de la maison d’Eastwood, se veut pleinement inscrit dans la tradition tout en intégrant des préoccupations contemporaines comme la préservation de la nature. La trame générale relate l’arrivée d’un inconnu venu de nulle part pour défendre une petite communauté aux méthodes artisanales, menacée par un propriétaire plus puissant et sans scrupule, convoitant la terre qui leur sert de subsistance. On pense bien sûr à « L’homme des vallées perdues » de Georges Stevens avec Alan Ladd, western mythique, emblème idéalisé du dur combat des petits colons pour leur implantation. Les mineurs remplacent ici les éleveurs de bétail mais Eastwood, trente ans plus tard, se veut plus sombre et surtout plus violent. Le western n’est plus en vogue et l’échec cuisant de « La porte du Paradis » de Michael Cimino en 1980 fait penser que plus jamais il n’aura droit de cité. Clint Eastwood sachant trop bien ce qu’il doit au genre, était sans doute le seul qui pouvait tenter de le sortir de l’oubli. Peut-être pour cette raison a-t-il voulu donner à son héros sans nom sorti de nulle part auquel il est fidèle depuis son compagnonnage avec Sergio Leone, une dimension quasi mystique. Le riche propriétaire de la mine d’or industrielle (Richard A. Dysart) située amont, utilisant des méthodes d’extraction dévastatrices, permet à Eastwood de rappeler qu’il aura fallu relativement peu de temps à l’homme pour souiller une terre jusqu’alors préservée par les Indiens. Insatiable, il exige que les mineurs laborieux aux méthodes héritées de la ruée initiale quittent les lieux C’est juste après une nouvelle descente punitive de ses hommes de main que celui qui se prétendra pasteur apparaît alors que la jeune Mélanie Wheeler l’appelle de ses vœux en récitant le psaume 23 de la Bible : « l’Eternel est mon berger… ». Encore une fois, le réalisateur désormais aguerri (dix films à son actif), propose une entrée en matière de toute beauté avec l’aide de son fidèle chef opérateur Bruce Surtees déjà présent sur « L’homme des hautes plaines » et sur « Josey Wales hors-la-loi ». Le col blanc qui lui enserre le cou renforce l’idée d’un homme d’église mais les traces de balles qu’il porte dans son dos tout comme son cheval blanc l’apparentent plutôt au quatrième Cavalier de l’Apocalypse, annonciateur de conquête et d’évangélisation. Le titre du film et l’invincibilité dont semble doté l’inconnu qui mène tout d’abord combat sans arme, fait plutôt pencher pour l’hypothèse d’un ectoplasme arrivé sur place non par le simple fait du hasard mais sans doute pour réclamer vengeance. Le combat final improbable avec le marshal Stockburn (John Russell) et ses six séides, valide logiquement cette hypothèse. Le pasteur en question rejoindrait ainsi les trois autres justiciers vengeurs des quatre westerns réalisés par Eastwood. Le réalisateur madré joue pourtant l’ambiguïté, le pasteur ne résistant pas au plaisir charnel, mêlé à une certaine duplicité quand la femme (Carrie Snodgress) dont est amoureux Hull Barret (Michael Moriarty), le chef de file des mineurs, s’offre à lui. Si Clint Eastwood fait une fois de plus référence aux vertus du groupe et de la famille chères à John Ford, un de ses modèles, son héros est très loin de la pureté quasi virginale qui émanait de la blondeur de Shane, le héros de « L’homme des vallées perdues » qui avait su résister aux avances de la femme (Jean Arthur) de celui (Van Heflin) qui était devenu son ami. Curieux et délicieux mélange proposé par « Pale Rider » qui oscille allègrement entre le profane et le mystique. Moins lyrique et épique que « Josey Wales hors-la-loi », « Pale Rider » se veut encore une fois la synthèse réussie du cinéma sans afféterie de Don Siegel avec celui baroque de Sergio Leone. Le combat final dantesque entre le pasteur soudain doté du don d’ubiquité et le marshal voyant impuissant ses adjoints tous habillés de longs manteaux poussiéreux tomber comme des mouches, n’aurait certainement pas déplu au grand Sergio Leone qui, au Paradis des réalisateurs, a dû esquisser un léger sourire de contentement.
    Rockman
    Rockman

    33 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mai 2021
    Pale Rider, le Cavalier Solitaire, le titre est explicite
    Clint interprète un homme solitaire et mystérieux qui par un concours de circonstances se retrouve dans une concession indépendante de chercheurs d'or, ses derniers vivent dans la peur à cause des provocations incessantes d'un homme puissant qui se croit tout permis avec ses nombreux hommes de mains
    Mr Eastwood signe ici un western classique au scénario simple mais efficace. La tension est l'action monte crescendo, Clint fait en sorte que le téléspectateur soit tenu en haleine tout au long du film jusqu'à la scène finale
    Un bon western pour passer un très bon moment
    Starwealther
    Starwealther

    74 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2021
    Western de Clint Eastwood assez classique dans son scénario mais vraiment efficace. Ce pasteur altruiste incarné par Eastwood en personne a en fait un double visage et se révèle être un redoutable tireur. La photographie faite de montagnes enneigées sous fond de rivières aurifères atteint parfois des sommets de beauté. Eastwood par son jeu d'acteur et sa classe crève l'écran. Bien qu'assez conventionnel dans son déroulement, ce western est un très agréable moment de cinéma.
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