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    Pale Rider, le cavalier solitaire
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    Régis L.
    Régis L.

    9 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2015
    Un chef d'œuvre. Un très beau western avec le légendaire Clint Eastwood. Ce film s'inspire fortement de L'Homme des vallées perdues réalisé par George Stevens et sorti en 1953.La regrettée Carrie Snodgress tenait le rôle de Sarah Wheeler.
    Tedy
    Tedy

    249 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2007
    Clint Eastwood endosse le rôle d'un héros quasi christique dans ce western sobre et un peu mou.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 avril 2013
    Clint Eastwood retrouve le personnage de l'homme sans nom qu'il a incarné chez Sergio Leone, pour un western relativement classique.
    stallonefan62
    stallonefan62

    287 abonnés 2 554 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 juillet 2024
    Un western de et avec Clint Eastwood dans lequel je n'ai jamais vraiment réussi à m'intéresser !! Ca reste de facture correct mais je m'attendais à mieux
    Chevtchenko2
    Chevtchenko2

    42 abonnés 1 212 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 septembre 2024
    Le film tient uniquement à l’incroyable charisme de Clint Eastwood. Le scénario est des plus classiques (un mystérieux cavalier solitaire vient en aide à une bande de mineurs maltraités par un puissant industriel) et ne révèle aucune véritable surprise. Un peu longuet, entrecoupé de dialogues peu ou pas intéressants, Pale Rider est un western moyen qui, je trouve, ne mérite pas tous ces éloges. Peut-être aussi a-t-il pris un petit coup de vieux (presque 40 ans tout de même).
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 24 février 2012
    Mouai... Pas une référence absolue du western. Quand on voit Impitoyable et Il Etait Une Fois Dans L'Ouest on rigole cinq minutes quand on repense à celui-ci.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 772 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2019
    Avec le temps qui passe, ce western garde le charme des histoires simples, avec des hommes droits, loyaux et courageux beaux héros, prêts à s'opposer à de moches méchants, avides de puissance et d'argent. En revanche Pale riderse termine avec une part d'inconnu, d'inexpliqué qui laisse une petite marque indélébile dans la cinématographie foisonnante du grand Clint. Un pasteur, défroqué, un diable revenu de l'enfer pour se venger, et qui repart sans demander son reste: "Qui est-il?" se demandent une mère et sa fille, toutes les amoureuses du sauveur improbable. Le western selon Clint applique encore les standards de l'univers de Leone: la lenteur avant l'action, l'humour, les manteaux cache poussières. Il faudra encore attendre quelques années avant de savourer Unforgiven et constater que l'élève s'est affranchi du maitre. TV3 vo - mars 2019
    rocky6
    rocky6

    30 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2021
    Un très bon western, assez classique mais très bien mis en scène par Clint Eastwood. Ce dernier est juste parfait en héros solitaire qui vient en aide à une petite communauté de prospecteur d'or harcelé par un riche propriétaire. Le film prend son temps et monte en puissance jusqu'au combat final qui est l'apothéose de ce film. Un film à voir ou revoir sans modération.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 359 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2022
    Dans “Pale Rider, le cavalier solitaire”, Clint Eastwood reprend sa casquette de cowboy sans nom. Cette fois pasteur, il débarque dans une ville minière dont les ressources s’épuisent et où les chercheurs d’or sont sur le point d’abandonner leurs recherches car harcelés par le puissant entrepreneur Coy LaHood. Sur un scénario plutôt classique dans le genre, Eastwood donne à son personnage une aura mystique grâce à un jeu de lumière épatant. Tout dans la mise en scène est d’ailleurs maîtrisé. La photographie naturelle de Bruce Surtees ou la musique à suspense de Lennie Niehaus s’ajoute à un casting investi dans des rôles suffisamment travaillés pour être remarqués. Prenant avec intensité, “Pale Rider, le cavalier solitaire” est également un joli clin d'œil à Sergio Leone.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    590 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 août 2017
    Il est évident que Eastwood a voulu laisser des messages dans son films, messages bibliques avec une sorte de revenant (les impacts des balles reçues qui ressortent dans son dos ne laissent aucun doute sur ce point) mi Dieu mi Diable, messages provenant de sa philosophie personnelle qui par moment ne manque pas de sagesse, messages cinématographiques en s’inspirant fortement de Stevens pour le scénario et de Leone pour la forme. C’est d’ailleurs cette forme plus lourde encore que celle de Leone qui empêche Pale Rider d’être un bon western. Leone avait apporté une nouveauté qui n’était faite ni pour durer, ni pour être imitée. Cela dit, on ne s’ennuie pas et bien que l’on devine l’histoire jusque dans ses moindres détails, le charisme d’Eastwood opère. Les extérieurs sont beaux lorsqu’ils sont filmés lentement mais mal utilisés des que l’action intervient,ce qui provoque des ruptures dans la mise en scène. Que vient faire ce cavalier solitaire ? Pourquoi fait–il croire qu’il est pasteur ? En dehors de justifier la suite du scénario, j’aimerais avoir une explication sensée car la mythologie ne gène en rien l’intelligence.
    Grouchy
    Grouchy

    123 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mars 2016
    Ce film de Eastwood est un remake un peu forcé d'un western de Stevens, grand classiques avec des acteurs charismatiques et une histoire proche de la chevalerie.
    L'acteur-réalisateur emblématique du genre reprend la même histoire, à peine modifiée, en changeant le contexte et certains personnages, sans garder la puissance de l'original. Les acteurs incarnant les rôles les plus importants n'ont pas la même force que Palance, Cook Jr ou Ladd. De la romance à deux sous est rajoutée, ce qui donne une histoire ridicule entre Eastwood et Penny, proche du malsain en raison de l'écart d'âge important. La mise en scène conserve un côté naturaliste, loin du Technicolor d'autrefois, mais cela n'enlève pas l'extrême médiocrité des éclairages d'intérieurs qui sont proche de l'obscurité complète ; on ne distingue presque pas les visages ou les objets. Espérons que ce soit voulu, sinon c'est fort dommage. Le rapport avec le christiannisme ( la prière de Penny avec l'apparition de Eastwood en fondu ) est évoqué mais pas subtil. Le début peine à démarrer, on suit une histoire plus manichéenne que l'originale, la fin n'est pas émouvante, Eastwood s'enfuit, point barre. Pas de grands effets, mais c'est pourtant ce qui fit le succès de son prédécesseur.
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    82 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 septembre 2013
    S’étant fait connaître dans une série de ce genre (Rawhide) et demeurant à jamais grâce à la Trilogie du dollar de Sergio Leone (Pour une poignée de dollars, Et pour quelques dollars de plus et le fameux Le Bon, la Brute et le Truand) comme la figure emblématique de ce cinéma hollywoodien, il est normal que Clint Eastwood, pour ses essais de réalisation, s’est beaucoup plongé dans le western. Une ambition qui lui vaudra enfin la reconnaissance en 1992 via Impitoyable. Une renommée tardive qui n’exclut pas la qualité de certaines de ses anciennes réalisations, comme ce Pale Rider – Le Cavalier Solitaire, l’un des films les plus connus de la carrière de cinéaste de ce cher inspecteur Harry.

    Dès le début, on sent bien que le bonhomme est un habitué du genre, au point d’en reprendre tous les clichés qui existent depuis les premiers films sur le sujet. À savoir un groupe de personnes innocentes, maltraitées par une bande de méchants personnages, qui vont enfin trouver une lueur d’espoir en la personne d’un héros solitaire de passage qui va les seconder dans leur lutte, sur le papier, perdue d’avance. Sans oublier les fameux duels de revolvers, ces plans mettant en valeur les paysages de l’Ouest sauvage (grandes plaines, collines…), ce silence de mort qui règne lors des combats à morts, cette bande son à l’harmonica qui accompagnent le bruit des éperons… Tout y passe ! Et pourtant, Clint va contourner le côté « déjà-vu » du western par le biais du statut sociétal de son personnage (même si Pale Rider est le remake de L’Homme des Vallées Perdues, le cinéaste / acteur s’est permis certaines libertés) : un héros solitaire donc qui est en réalité un homme d’Église, au passé bien mystérieux.

    De ce postulat, Pale Rider prend une toute autre direction que celle de l’hommage au genre. Mais plutôt ce lui de la vénération du mythe que suscite ce genre cinématographique. Ce fameux Cavalier Solitaire prenant du coup une apparence ni plus ni moins religieuse. La venue du héros juste après une prière et sa disparition après l’accomplissement des faits confirment ce constat. Et avec Clint Eastwood comme interprète, le côté christique n’en est que plus renforcé. En effet, il suffisait d’un comédien adepte du western pour déclarer au monde entier à quel point il ne serait rien sans ce genre de film et à qui lui rend hommage en le vénérant de la sorte. Un rapprochement biblique qui ne s’arrête pas là, mais qui continue également par des détails visuels calculés d’avance (le cheval pâle qui rappelle Quatre Cavaliers de l’Apocalypse).

    Et puis, Clint, au lieu de se poser tranquillement et de préparer la fusillade finale en cousant petit à petit sa trame, préfère aussi de s’intéresser à certains personnages secondaires. Dont le leader des chercheurs d’or (les gentils, évidemment), jugés comme un rêveur qui ne peut se défendre, et qui va pourtant trouver la foi en lui, ce qui lui permettra de réussir en amour, dans ses relations avec ses compagnons et dévoiler un grand courage. D’une fillette de 16 ans mature au possible qui veut à tout prix avoir pour époux notre héros solitaire. Quant à ce dernier, tout reste mystérieux en ce qui le concerne. Son passé (même les rares révélations à son sujet n’en disent pas long). Son identité (pas de nom ou d’origine, juste l’appellation du Pasteur se fait entendre pendant tout le film). Rien qui pourrait ôter le côté religieux de ce personnage que tout le monde voit tel le Messie.

    Après, il est étonnant de voir que le reste du film ne soit pas si travaillé que ça. Le scénario sort de l’ordinaire et pourtant, on a vraiment l’impression de voir un western classique. Qui propose des méchants payés par d’autres pour accomplir la sale besogne, une fusillade finale attendue malgré son incontestable efficacité, des séquences prévisibles et quelques longueurs un peu lourdes. Mais fort heureusement, cela n’enlève en rien le plaisir que l’on a à regarder ce western qui propose aussi bien des moments de réflexions que d’actions (une séquence d’ouverture violente, un corps-à-corps sympa, une attaque explosive et le final). Sans pour autant oublier une petite touche humoristique comme sait si bien les faire Clint Eastwood en ce qui concerne ses personnages. Un comique qui se résume en une scène par la présence de Richard Kiel (le Requin de la saga James Bond), gros bras qui va pourtant en baver.

    Ajoutez à cela une bonne interprétation et vous obtenez un western de très bonnes factures. Qui prouve que son réalisateur / acteur sait faire un film, voire le hisser à un niveau jamais pensé (celui de la vénération du genre). Mais quand même, il aurait été souhaitable que dans sa recherche à innover le genre, Clint aille encore plus loin que dans son remaniement du mythique héros solitaire loin de chez lui.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    65 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2024
    Emblématique de son auteur, ce western de 1985 radicalise la figure du justicier sans nom jusqu'à le mythifier! Le mystère est plus total que jamais et empreint de références bibliques, le "pasteur" fascine hommes, femmes et enfants sans renoncer à son mutisme, ni à la violence de sa justice. Un cavalier de l'apocalypse fantomatique qui fait flirter le western avec le fantastique (procédé entamé sur "HIgh Plains Drifter" en 1973) dans une oeuvre crépusculaire mais divertissante, point culminant du mythe initié par Leone mais dont Eastwood s'affranchit définitivement, accouchant d'un film radical et décomplexé, avant d'entamer la déconstruction de son personnage légendaire (d'abord avec "Josey Wales" puis "Unforgiven")! Culte!
    gregbox51
    gregbox51

    37 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 septembre 2014
    Bon western bien péchu. Le scénario ne casse pas des briques mais l'histoire est fort bien contée, les personnages bien représentatifs d'un monde autrefois bien cruel ...
    Fabios Om
    Fabios Om

    52 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2021
    Clint Eastwood toujours grandiose dans ce western , qui parfois est un peux longuet, dans certaine scène,
    mais de la bravoure, courage , la famille sont au premier plan de ce film, ou il la'que vraiment une bonne original . Un film trop porter sur la croyance et la religion , mais un pasteur bien particulier .
    Un film qui a une force de nous tenir jusqu a la fin pour savoir ce qui arriver et ce que va faire le grand Clint
    qui ici pour une fois ne fume pas et c'est tant mieux (lui qui déteste cela ) les chevaux toujours une place dans ses films. Réalisation de Clint Eastwood qui est plutôt bonne .


    résumer ;
    Les derniers chercheurs d'or indépendants de LaHood, bourgade minière de Californie, sont harcelés par les hommes de main du puissant Coy LaHood. Ce dernier a fondé la ville qui porte son nom et exploite une mine qui s'épuise. Il cherche à récupérer les parcelles des indépendants. Les malfrats partis, la jeune Megan (Mélanie dans la version française) Wheeler enterre son chien, innocente victime, et prie. C'est à ce moment que surgit de la montagne un cavalier solitaire tout de noir vêtu. Il est pasteur, comme en atteste son col blanc, mais nul ne connaît son passé ni même son nom. On l'appelle le Prédicateur (the Preacher en VO). Hull Barret, opposé depuis longtemps à Coy LaHood, l'accueille sous son toit. Coy Lahood fait appel à des tueurs à gages.
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