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Un visiteur
2,5
Publiée le 16 mai 2007
Un Robert Duvall impressionant de sincérité n'a pas suffit a rendre ce film sur un sujet super tendance(le poker) en chef d'oeuvre. Tous les ingrédients y sont; de bons acteurs, un bon sujet et un bon réalisateur...Mais ca reste très "gentil" sans gros suspens avec un rythme ultra monotone. Des coups qui n'arrivent qu'une fois dans la vie sont le commun de ces joueurs...Cela tue le réalisme aussi du poker...Ce film fait bien passer le temps. Je le déconseille aux fans de pokers aussi, il vaut mieux voir les parties de la télévision ou internet. Le seul véritable point positif que j'en ai tiré, a été de voir quelques grands noms du poker autour des acteurs...
Après « 8Miles » et « In her shoes », Curtis Hanson continue dans la même lignée et poursuit sa réalisation de films divertissants et agréables. Cette fois-ci, le sujet est le poker. Ce jeu de cartes est à la mode en ce moment doù lémission avec Patrick Bruel sur Canal+ ! Je nai donc pas été dépaysé mais attention quand on ne connaît pas les règles le film doit être horriblement ennuyeux. Lopposition fils-père entre Erice Banna et Robert Duvall est plutôt pas mal vue, le père ne fait aucun cadeau à son fils, il veut quil comprenne lui-même lart de deviner le jeu des autres joueurs. Une dualité qui paraît du déjà vu, le père est le modèle mais la chose qui change cest que pour une fois le fils ne dépassera pas le père. En plus du poker, jai beaucoup apprécié la photo de la ville de Las Vegas. On retrouve le boulevard des casinos du nom de « The Strip », plusieurs hôtels sont visibles comme Paris-Las Vegas, MGM Hotel et New York-New York. Lhistoire damour entre Huck (Eric Banna) et Billie (Drew Barrymore) est un peu simplette et facile, elle sonne un peu clichée. Cest la rencontre entre le beau gosse instable autant financièrement que sentimentalement et la fille mignonne et fragile qui pourrait souffrir avec un homme comme ça. Déjà rien de facile et cest pour cela quil vont se plaire, la facilité sest pas marrant ! Le film nest daucune manière moralisateur mais jai interprété que le jeu dargent nest pas sain du tout autant pour le porte monnaie que pour la tête. La vie de Huck est comme celle dun drogué qui a besoin de sa dose mais ici ce nest pas de la cocaïne mais le besoin de jouer au poker. Son appartement est dailleurs très drôle, il a été obligé de vendre tous ses meubles pour faire de largent et pouvoir continuer à jouer, il est complètement vide.Je pense quil est impossible à un homme joueur davoir une vie sentimentale stable si il ne sarrête pas et sendette jusquau cou. Un exemple parfait du divertissement de qualité.
Film pas trop mal. Il faut savoir que l'histoire d'amour avec le personnage de Drew Barrymore est largement en retrait, et c'est tant mieux d'ailleurs, parce qu'elle n'apporte presque rien au scénario, et s'avère plus irritante qu'autre chose. Lucky You porte sur l'univers du poker dans les salons de Las Vegas, et se révèle être un assez bon moment de divertissement : bonne ambiance, suspense, humour... sont au rendez-vous.
Un peu déçu par la dernière réalisation du génial metteur en scène de l'excellent "LA Confidential". En effet, en dépeignant le monde du pocker et des casinos de Las Vegas (déjà il faut aimer le poker!!!), il nous offre un portrait d'homme un peu immature qui décide enfin de laisser place à la maturité en soldant ses comptes (si je puis dire!) avec son père. Bien sûr, et comme on ne s'y attendait pas, cette belle leçon de vie nous est servie sur le mode de la métaphore de la partie de poker... Bref, le film est long (plus de 2h!) et se résume à d'interminables parties de cartes, pour finir sur une leçon un peu hypocrite de fair-play... Les interprètes ne brillent pas réellement dans ces rôles où ils se contentent minimum syndical (Eric Bana en particulier), les autres cabotinant à mort dans des rôles où on les a déjà vu 100 fois (Robert Duvall en vieux filou grande gueule). Seule Drew Barrimore s'en sort par son naturel charmeur. Manque de bol, son histoire d'amour avec Eric Bana n'est jamais vraiment développée et ne prend donc jamais vraiment vie. Pour les amateurs de poker uniquement...sinon, faut s'accrocher!
Le film en lui meme est assez réussi mais surtout pour les amateurs de poker. De plus l'apparition des stars de poker américaine est assez pathétique je trouve. Dans le meme genre le film "Rounders" est nettement mieux.
Le film n'a rien d'extraordinaire, les acteurs sont bien, Barrymore et Bana forment un jolie couple, l'histoire est sympathique mais il manque surtout suspens, dans le même genre Maverick était plus drôle, là il manque un petit quelque chose pour que l'on soit complètement dedans. Ca se regarde sans difficulté et avec plaisir mais on ne va pas se mettre à jouer au poker pour autant.
3 étoiles vraiment parce que je suis fan sinon pour les non initiés le film a très peu dintérêt. Une histoire damour bateau, des relations père et fils intéressantes mais pas assez creusé. Cest gentillet !!!
Ormis des parties de poker assez réalistes (apparition furtives de Daniel Negreanu ou Doyle Bronson) et une drew barrimore charmante, le film tourne un peu en rond autour d'une histoire d'amour à l'eau de rose jusqu'au tournoi finale assez captivant. Conseillé aux amateurs de poker car on a pas souvent de film sur ce sujet.
Très déçu par la VOST de ce film : <ul><li>les termes liés au monde du jeu sont au mieux non traduits ou au pire très approximatifs,</li> <li>des expressions anglophones sont traduites littéralement et deviennent incompréhensibles,</li> <li>des plaisanteries récurrentes en VO deviennent différentes dans le sous-titre,</li> <li>des tournures de phrases et mots de vocabulaires ne sont carrément pas corrects (un passage en "petit nègre" alors que la VO parle normalement, "compulsionnel" utilisé pour "compulsif"...),</li></ul> Bref, à aller voir en VF pour (espérons-le, je n'ai vu que le VOST) éviter le pire.
Tout d'abord, je pense que ce film ne présente réellement aucun intérêt si on ne connait pas les règles du Poker. Au delà de cela, c'est ce qu'on peut appeler un film vraiment mauvais : les personnages sont inintéressants, les acteurs ne jouent pas bien, ils sont vides (Extrément déçue par ces 2 acteurs que j'aime pourtant beaucoup ). Il n'y a pas d'histoire, le scénario ne possède aucune originalité ; même pendant les parties de jeu, tout est prévisible. L'hitoire d'amour n'existe preque pas tellement elle est fade... Bref, un film que j'ai trouvé mauvais mais presque pas ennuyant (d'où l'étoile, c'est tout).
Sappuyant sur un duo dacteur très glamour, Eric Bana et Drew Barrymore, Lucky You nous plonge dans le monde du Poker à Las Vegas, capital du jeu et des paris de toutes sortes! Un monde devenu très populaire grâce au show télévisé du World Poker Tour dans lequel des spécialistes nous décortiquent le jeu à travers les calculs statistiques et lanalyse psychologique et stratégique des joueurs. Cette popularité touche même la France actuellement avec des émissions animées par Patrick Bruel sur canal plus ex champion du Poker ! Hélas, malgré un casting prometteur et un réalisateur reconnu, le film sessouffle progressivement dans une histoire damour sans intérêt et une rivalité père et fils très redondant frisant parfois le ridicule. Reste les parties de poker où lon peut voir des vrais joueurs professionnels hommes et femmes affrontant les acteurs pour renforcer le côté réaliste. Mais même là on ne parvient pas à ressentir les frissons que procurent les jeux de hasard tellement le personnage de Bana semble être blasé par ce jeu, et quil a le mauvais goût de faire des paris aussi stupides quinvraisemblables avec ses compagnons de jeux, soit sur un coups de tête ou pour gagner des droits dinscriptions aux tournois. Bref ce film na aucun jeu et se contenter de vous bluffer avec son casting !
Alors... Accroc de poker et ayant aimé les précédentes réalisations de Curtis Hanson, c'est avec hate que j'attendais de découvrir Lucky You.
La vache... Toute cette attente pour ça! ce navet insipide! Là où certain trouve de la poésie je ne vois que de la niaiserie remplie de bons sentiments made in us. Entre l'amour pure pour la "belle éplorée" qui montre la lumière, la quête de rachat d'un père trop absent, celle de l'enfant qui grandit sans repère parentaux et qui dès lors ne peut que reproduire les schèmas désastreux du passé, blablabla... A en avoir la nausée (ou le fou rire, c'est selon)
On me parle de "pesanteur"? je ne vois que lourdeur et manque de rythme! Le jeu des acteurs est désespérant de vacuité; exception faite de Robert Duval; qui pour essayer de sauver le coup en fait 10 fois trop... Mais au moins, lui, est VIVANT!
Quant au poker, ce jeu n'est ici que prétexte et ne sert en rien l'intrigue et l'(in)action. Bref, c'est une comédie à l'eau de rose qui empile les clichés et qui, sans vergogne, surfe sur la mode poker.
Avec « Lucky you », Curtis Hanson vient de signer un euphorisant petit chef d’œuvre de mise en scène et de direction d’acteurs sous la forme d’une déclaration d’amour au milieu du poker doublée d’une métaphore du monde du spectacle (des coulisses à la scène en passant par le public). Le tour de force du réalisateur réside dans le fait que l’on s’attache immédiatement au film grâce à sa formidable scène d’introduction et que le scénario devient ensuite un modèle de fluidité, ou chaque séquence est d’une grâce insolente par ses dialogues savoureux et l’énergie et l’intensité que procure la totalité des interprètes. La réussite provient également dans la manière dont Curtis Hanson filme les parties du poker, comme un véritable spectacle ou se côtoient moments de tension, ruptures, relâchements, imprévus et l’envie intacte de se dépasser et prendre des risques pour d’une part son ego personnel et l’envie de faire plaisir au public. Son point de vue sur les coulisses de ce microcosme est particulièrement bien senti, puisqu’on y croise les vrais passionnés, les têtes brûlées, les calculateurs obsédées par l’argent et sacrifiant tout plaisir du jeu, encore une fois, la comparaison avec le milieu du spectacle prend ici tout son sens, et enfin la place du public, vu comme moteur de la soif de faire et se faire plaisir est également très palpable. Grâce à ce parti pris, les thèmes des relations difficiles entre père et fils, ainsi que l’histoire d’amour complexe sont ici abordées avec un regard neuf, d’autant que Eric Bana, Drew Barrymore et Robert Duvall livrent des prestations d’une grande classe. La BO, rock, folk et country finit de conquérir les spectateurs qui aussitôt le film terminé ont une furieuse envie de se lancer dans le poker. Une œuvre riche d’un réalisateur au regard dépaysant. Immanquable.