Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
par Stéphanie Lamome
LA BEUZE est donc loin d'être un délire de potes seulement accessible aux fumeurs de joint patentés. Scénaristes et réalisateurs ont fait preuve de plus d'inventivité que dans la plupart des récentes comédies françaises pour teenagers.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Isabelle Regnier
Gloubiboulga aux vertus hilarantes, pot-pourri des références culturelles d'une génération élevée devant Casimir, La Beuze jongle avec les codes et les mythes des années 1970, 1980, 1990.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
De LA BEUZE, film culte, à la bouse, la frontière est ténue. Pourtant, dans cette invitation à la consternation - les gags sont épais comme de la corde de chanvre - il y a sans nul doute matière à décrypter une époque.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Course-poursuite banale entre deux benêts, des dealers, des flics et des nazis argentins, ce film est avant tout un projet musical, un vaste tissu de clips déconnants, conçu par des requins du show-biz pour rééditer le coup juteux de Stash Stash.
MCinéma.com
par Benjamin Braddock
Youn pourrait bien être le Mike Myers français. Il ne lui reste plus qu'à trouver des projets moins bâclés.
Nova
par Alex Masson
En attendant de savoir si Youn est un grand comédien, on pourra apprécier ici une vraie sincérité d'acteur.
La critique complète est disponible sur le site Nova
Aden
par Philippe Piazzo
Un peu de fumette, quelques hallus (...), de la musique et les trémoussements de Michaël Youn, des gags qu'on voit venir de loin... L'accompagnement idéal pour un gobelet de pop-corn.
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Si l'on sourit deux ou trois fois devant des situations à la Wayne's world, l'ensemble se rétame péniblement, les répliques tombent à plat, et l'intrigue mêlant bimbo aguicheuse et gangsters à la noix se délite régulièrement pour s'achever dans un bâclage total, sans que cette confusion potache ne fasse jaillir en nous la moindre once de plaisir vicelard.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
L'enjeu de cette comédie policière inconsistante, truffée de digressions vaseuses -en fait de simples clips-, semble plus se trouver du côté de l'industrie du disque que du côté du cinéma.
L'Obs
Las, le présentateur hystérique du "Morning Live" a troqué sa nudité et son mégaphone contre un emploi de brave type dans un scénario écrit avec les pieds par un escouade de tâcherons.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Didier Péron
Ex-animateur disjoncté des matins de M6 (Morning live), Michaël Youn n'a pas perdu de temps. Disques, spectacle, film, bientôt probablement un livre, une marque de vêtements, un restaurant parisien, une franchise d'exploitation de la betterave : il applique à la lettre le programme dit du "braquage de banque" : prends l'oseille et tire toi...
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Aurélien Ferenczi
L'absence de gags, les embarras d'une intrigue emberlificotée n'amènent qu'à une conclusion : pour mieux délirer, amis auteurs, offrez-vous une meilleure "beuze"...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
LA BEUZE est donc loin d'être un délire de potes seulement accessible aux fumeurs de joint patentés. Scénaristes et réalisateurs ont fait preuve de plus d'inventivité que dans la plupart des récentes comédies françaises pour teenagers.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Gloubiboulga aux vertus hilarantes, pot-pourri des références culturelles d'une génération élevée devant Casimir, La Beuze jongle avec les codes et les mythes des années 1970, 1980, 1990.
Le Parisien
De LA BEUZE, film culte, à la bouse, la frontière est ténue. Pourtant, dans cette invitation à la consternation - les gags sont épais comme de la corde de chanvre - il y a sans nul doute matière à décrypter une époque.
Les Inrockuptibles
Course-poursuite banale entre deux benêts, des dealers, des flics et des nazis argentins, ce film est avant tout un projet musical, un vaste tissu de clips déconnants, conçu par des requins du show-biz pour rééditer le coup juteux de Stash Stash.
MCinéma.com
Youn pourrait bien être le Mike Myers français. Il ne lui reste plus qu'à trouver des projets moins bâclés.
Nova
En attendant de savoir si Youn est un grand comédien, on pourra apprécier ici une vraie sincérité d'acteur.
Aden
Un peu de fumette, quelques hallus (...), de la musique et les trémoussements de Michaël Youn, des gags qu'on voit venir de loin... L'accompagnement idéal pour un gobelet de pop-corn.
Chronic'art.com
Si l'on sourit deux ou trois fois devant des situations à la Wayne's world, l'ensemble se rétame péniblement, les répliques tombent à plat, et l'intrigue mêlant bimbo aguicheuse et gangsters à la noix se délite régulièrement pour s'achever dans un bâclage total, sans que cette confusion potache ne fasse jaillir en nous la moindre once de plaisir vicelard.
L'Humanité
L'enjeu de cette comédie policière inconsistante, truffée de digressions vaseuses -en fait de simples clips-, semble plus se trouver du côté de l'industrie du disque que du côté du cinéma.
L'Obs
Las, le présentateur hystérique du "Morning Live" a troqué sa nudité et son mégaphone contre un emploi de brave type dans un scénario écrit avec les pieds par un escouade de tâcherons.
Libération
Ex-animateur disjoncté des matins de M6 (Morning live), Michaël Youn n'a pas perdu de temps. Disques, spectacle, film, bientôt probablement un livre, une marque de vêtements, un restaurant parisien, une franchise d'exploitation de la betterave : il applique à la lettre le programme dit du "braquage de banque" : prends l'oseille et tire toi...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
L'absence de gags, les embarras d'une intrigue emberlificotée n'amènent qu'à une conclusion : pour mieux délirer, amis auteurs, offrez-vous une meilleure "beuze"...