Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Un long dimanche de fiançailles, le film est, comme son modèle, un vrai feuilleton à suspense, mais qui est aussi complètement remodelé par l'univers visuel de Jean-Pierre Jeunet, pour qui un film semble être (...) toujours créateur de surprises. Il n'y a donc pas un, mais dix films, ici. Et le miracle, c'est que tous sont réussis (...).
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
par Pierre Eisenreich
Jean Pierre Jeunet apparaît aujourd'hui comme le cinéaste national dont l'univers visuel est le plus riche, le plus foisonnant, d'une maîtrise technique et artisanale digne de Tim Burton, voire de Francis Ford Coppola. Voilà pour situer le niveau exceptionnel d'Un long dimanche de fiançailles.
Score
par Bob Alcazar
Le film est un véritable travail d'orfèvre, magnifique diaporama sépia traversé de purs instants de poésie visuelle.(...) Le mieux c'est encore d'aller le déguster dans les salles.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Jean Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Jean Philippe Guerand
Pour leurs retrouvailles, le réalisateur et l'actrice d'Amélie Poulain ont placé la barre très haut. (...) La reconstitution de la Grande Guerre est fastueuse, le scénario rocambolesque en diable. (...) Sans jamais perdre de vue l'essentiel : son nouveau film est avant tout une bouleversante histoire d'amour.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
On est certes dans l'imagerie, parfois un peu statique, mais le cinéaste cisèle avec un art admirable des scènes qui touchent la mémoire collective, contiennent les souvenirs et les émotions d'un peuple. L'entreprise est rare et noble.
Libération
par Philippe Azoury et Gérard Lefort
La chose paraît familière : une superprode en costumes, en décors, en morceaux de bravoure, en gueules fameuses (...), bref "un monument" (...) riche en promesse de matinées scolaires édifiantes. Or, pas du tout. (...) Plus proche du Bunker de la dernière rafale, premier court de Jeunet et Caro, que du Fabuleux Destin..., cet opus développe une fascination pour tout ce qui relève du dézingué, mutilé, encastré, broyé. C'est par ce goût des ténèbres que le film nous alpague.
Première
par Olivier de Bruyn
Audrey est parfaite et dans un sens le film aussi. Impeccablement scénarisé, mis en scène et photographié. (...) Problème : cette impressionnante maîtrise formelle transforme plus d'une fois la fiction en bel objet glacé. Cela dit, les réserves (...) ne doivent pas gommer l'essentiel. (...) Si tous les films français de cet acabit faisaient preuve de tant de qualités, on serait ravis.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rock & Folk
par Christophe Lemaire
Des costumes d'époque aux imposants décors en passant par des mouvements de caméra démentiels (...), Jeunet fétichise tout à l'extrême pour le plaisir des yeux. S'il n'y avait ce manque d'émotion inhérent à son cinéma, Un long dimanche de fiançailles friserait le génie.
Rolling Stone
par Sabine Gros la Faige
Si l'on ne peut s'empêcher, surtout dans la partie "France des années 20", de lui trouver des airs d'Amélie (...), on applaudit à tout rompre dès lors que le réalisateur pose sa caméra dans la boue des tranchées. Centré sur le drame des fusillés pour l'exemple, le récit prend alors une force émotionnelle qui fait d'un beau roman au départ, un très grand film à l'arrivée.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Un long dimanche de fiançailles émeut peu, mais séduit pas mal. Jean-Pierre Jeunet ne s'approche guère du mélo flamboyant auquel il a sans doute rêvé, mais les images enluminées qu'il rassemble dans cet album d'antan – ou d'ailleurs –, ne manquent pas de beauté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
Esthétique de bande-annonce? Accumulant en tous cas bios express et rétros minute. (...) Reste surtout une proposition de film populaire français infiniment plus ambitieuse que tous les Arsène Lupin et cie.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Un Long dimanche de fiançailles peut être vu (...) comme le sommet de ce qu'on peut espérer de la marque Jeunet : blockbuster populaire aux allures de gros dirigeable ballot, étrange invention flottant on ne sait trop comment sur un monde de la médiocrité enchantée.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
France Soir
par Richard Gianorio
Le film possède la candeur poétique d'Amélie Poulain, son bon goût rétro mais aussi ses tics (...). C'est une splendeur esthétique, ce que personne ne penserait à contester, c'est un très beau film au sens strict . Hélas les sentiments font défaut (...). Gagné par la frénésie de fabriquer des plans vertigineux, Jean Pierre Jeunet néglige l'émotion (...).
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Jeunet réussit bien les vignettes, il a du mal sur la continuité et se noie dans les péripéties, les acteurs défilent, irréprochables, ils n'ont pas le temps d'incarner (...) Le film est agréable à regarder, même si beaucoup trop long, il est impressionnant par moments, il reste à la surface des êtres et des faits.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Entre (petites) réserves et (gros) compliments, le reproche majeur que l'on pourrait faire à cet exigeant divertissement tient à son déficit d'émotion. (...) Agréable à regarder, ce poétique arsenal visuel n'en fait pas moins barrage à l'expression viscérale de l'amour, de la souffrance, du chagrin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Camille Brun
(...) sous le ciel Amélie Poulain, Un Long Dimanche paraît moins réussi. Il n'en est pas pour autant un mauvais film ! Simplement, le ton très personnel qui faisait le charme des aventures d'Amélie à Montmartre se sent beaucoup moins dans les tranchées de la Somme. Et si l'histoire est belle et offre des moments marquants, on ne retrouve pas toute l'émotion que Jeunet était parvenu à injecter à sa précédente réalisation.
Aden
Un long dimanche de fiançailles, le film est, comme son modèle, un vrai feuilleton à suspense, mais qui est aussi complètement remodelé par l'univers visuel de Jean-Pierre Jeunet, pour qui un film semble être (...) toujours créateur de surprises. Il n'y a donc pas un, mais dix films, ici. Et le miracle, c'est que tous sont réussis (...).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
Jean Pierre Jeunet apparaît aujourd'hui comme le cinéaste national dont l'univers visuel est le plus riche, le plus foisonnant, d'une maîtrise technique et artisanale digne de Tim Burton, voire de Francis Ford Coppola. Voilà pour situer le niveau exceptionnel d'Un long dimanche de fiançailles.
Score
Le film est un véritable travail d'orfèvre, magnifique diaporama sépia traversé de purs instants de poésie visuelle.(...) Le mieux c'est encore d'aller le déguster dans les salles.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Pour leurs retrouvailles, le réalisateur et l'actrice d'Amélie Poulain ont placé la barre très haut. (...) La reconstitution de la Grande Guerre est fastueuse, le scénario rocambolesque en diable. (...) Sans jamais perdre de vue l'essentiel : son nouveau film est avant tout une bouleversante histoire d'amour.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
On est certes dans l'imagerie, parfois un peu statique, mais le cinéaste cisèle avec un art admirable des scènes qui touchent la mémoire collective, contiennent les souvenirs et les émotions d'un peuple. L'entreprise est rare et noble.
Libération
La chose paraît familière : une superprode en costumes, en décors, en morceaux de bravoure, en gueules fameuses (...), bref "un monument" (...) riche en promesse de matinées scolaires édifiantes. Or, pas du tout. (...) Plus proche du Bunker de la dernière rafale, premier court de Jeunet et Caro, que du Fabuleux Destin..., cet opus développe une fascination pour tout ce qui relève du dézingué, mutilé, encastré, broyé. C'est par ce goût des ténèbres que le film nous alpague.
Première
Audrey est parfaite et dans un sens le film aussi. Impeccablement scénarisé, mis en scène et photographié. (...) Problème : cette impressionnante maîtrise formelle transforme plus d'une fois la fiction en bel objet glacé. Cela dit, les réserves (...) ne doivent pas gommer l'essentiel. (...) Si tous les films français de cet acabit faisaient preuve de tant de qualités, on serait ravis.
Rock & Folk
Des costumes d'époque aux imposants décors en passant par des mouvements de caméra démentiels (...), Jeunet fétichise tout à l'extrême pour le plaisir des yeux. S'il n'y avait ce manque d'émotion inhérent à son cinéma, Un long dimanche de fiançailles friserait le génie.
Rolling Stone
Si l'on ne peut s'empêcher, surtout dans la partie "France des années 20", de lui trouver des airs d'Amélie (...), on applaudit à tout rompre dès lors que le réalisateur pose sa caméra dans la boue des tranchées. Centré sur le drame des fusillés pour l'exemple, le récit prend alors une force émotionnelle qui fait d'un beau roman au départ, un très grand film à l'arrivée.
Télérama
Un long dimanche de fiançailles émeut peu, mais séduit pas mal. Jean-Pierre Jeunet ne s'approche guère du mélo flamboyant auquel il a sans doute rêvé, mais les images enluminées qu'il rassemble dans cet album d'antan – ou d'ailleurs –, ne manquent pas de beauté.
Cahiers du Cinéma
Esthétique de bande-annonce? Accumulant en tous cas bios express et rétros minute. (...) Reste surtout une proposition de film populaire français infiniment plus ambitieuse que tous les Arsène Lupin et cie.
Chronic'art.com
Un Long dimanche de fiançailles peut être vu (...) comme le sommet de ce qu'on peut espérer de la marque Jeunet : blockbuster populaire aux allures de gros dirigeable ballot, étrange invention flottant on ne sait trop comment sur un monde de la médiocrité enchantée.
France Soir
Le film possède la candeur poétique d'Amélie Poulain, son bon goût rétro mais aussi ses tics (...). C'est une splendeur esthétique, ce que personne ne penserait à contester, c'est un très beau film au sens strict . Hélas les sentiments font défaut (...). Gagné par la frénésie de fabriquer des plans vertigineux, Jean Pierre Jeunet néglige l'émotion (...).
L'Obs
Jeunet réussit bien les vignettes, il a du mal sur la continuité et se noie dans les péripéties, les acteurs défilent, irréprochables, ils n'ont pas le temps d'incarner (...) Le film est agréable à regarder, même si beaucoup trop long, il est impressionnant par moments, il reste à la surface des êtres et des faits.
Le Monde
Entre (petites) réserves et (gros) compliments, le reproche majeur que l'on pourrait faire à cet exigeant divertissement tient à son déficit d'émotion. (...) Agréable à regarder, ce poétique arsenal visuel n'en fait pas moins barrage à l'expression viscérale de l'amour, de la souffrance, du chagrin.
MCinéma.com
(...) sous le ciel Amélie Poulain, Un Long Dimanche paraît moins réussi. Il n'en est pas pour autant un mauvais film ! Simplement, le ton très personnel qui faisait le charme des aventures d'Amélie à Montmartre se sent beaucoup moins dans les tranchées de la Somme. Et si l'histoire est belle et offre des moments marquants, on ne retrouve pas toute l'émotion que Jeunet était parvenu à injecter à sa précédente réalisation.