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    La Porte du paradis
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    162 critiques spectateurs

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    CH1218
    CH1218

    200 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 avril 2014
    Tout le monde connait les déboires de ce film maudit : la mégalomanie de son réalisateur, son budget explosé et son planning de tournage largement dépassé. Descendu à sa sortie par les critiques avant son échec cuisant au box-office, malgré un retour à la table de montage et une nouvelle version allégée de 300 coupes qui ne sauva pas United Artist de la faillite. Avec ses prises de vue de toute beauté, sa photographie pleine de poussière et d'effets de luminosité, ainsi que le soin apporté aux décors, «La Porte du Paradis» est une réussite visuelle. Ce n’est pas la longueur du film qui m’a le plus dérangé mais le peu d’intérêt suscité par la trame amoureuse autour du trio interprété par Kris Kirstofferson, Christopher Walken et Isabelle Huppert. La caméra de Michael Cimino prend alors beaucoup trop de temps sur ces personnages-là au lieu de nous conter cette tragédie basée sur des faits historiques peu glorieux. Vu dans sa version remasterisée, ce film n'est ni mauvais, ni un chef d'oeuvre, juste un bon western épique.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 24 août 2009
    Trés moyen.On comprend que le film ait fait un flop.C'est pas le genre de film que les américains apprécient.La premiére heure est constitué de danse,de musique folklorique et d'isabelle huppert toute nue.Le jeu d'acteur est correct mais on n'arrive pas à s'émouvoir du sort des personnages,les scénes de combat pas très bien filmés.Mais les paysages magnifiques et la musique rattrape un peu le tout.Je suis vraiment deçu,je m'attendais à mieux.
    ygor parizel
    ygor parizel

    240 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juin 2013
    J'ai vu la version de 2h30 et je suppose que j'aurais préféré la version longue (je trouve qu'il manque des morceaux de l'histoire). Superbe western l'Histoire des personnages et de la région où ils vivent est vraiment magnifique. Les acteurs sont tous très bon et rare au cinéma surtout les décors sont beaux, la fusillade finale est immense. Malheureusement je trouve que plusieurs scènes même si elles sont très bien filmées (celle du bal notamment) sont de trop et n'apporte rien.
    Léa H.
    Léa H.

    32 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mai 2014
    Le cinéma de Cimino est celui d’un homme seul, luttant envers et contre tous pour imposer un projet singulier et non référentiel (contrairement aux Scorcese, Spielberg, Coppola ou De Palma). L’attirance du cinéaste pour les paysages sauvages et la nature inviolée traduit son désir de filmer un endroit, un groupe, comme si c’était pour la première fois, sans être influencé par une vision antérieure. C’est ainsi que l’espace de l’Ouest n’aura jamais été aussi bien rendu que dans La Porte du Paradis. Se dessine le rêve d’une autosuffisance absolue, d’une orgueilleuse indépendance (celle de Salvatore Giuliano sur son île, décrit comme s’étant «inventé lui-même ») que la figure favorite du cinéaste, le cercle, laisse clairement deviner.
    Les sept films de Cimino sont bâtis sur une mythologie personnelle des plus puissantes que la mise en scène habille de vérité par un scrupuleux travail sur le détail. Ce sont ces détails, parfois reconstitué à force de décors spectaculaires ou de descriptions précises des us et coutumes d’une époque (l’ouverture de La Porte du Paradis en serait le parangon), qui aboutissent à des épisodes souvent étirés démesurément au détriment de la narration mais qui en deviennent, par leurs correspondances et leurs résonnances, les pièces maîtresses d’un vaste poème épique. Le récit de « La Porte du Paradis » est organique, par opposition au « récit synthétique » prédominant dans le cinéma américain. Le film apparaît comme formé de blocs où l’action dramatique parfois se dilue ou s’accélère. Plus important est le prodigieux enchevêtrement de rimes et d’associations qui fournit au film sa vraie texture et son énergie. « La Porte du Paradis » est ainsi une superproduction expérimentale, dans le sillage de certaines grandes œuvres de Kubrick (2001) qui fonctionnent avant tout aux niveaux poétique et musical. Ces œuvres, comme certains films muets, sont souvent composés de différents volets, chacun annoncé par un carton, parfois sans rapport de causalité évidente les uns par rapport aux autres (ou tout du moins reliés par des ellipses conçues comme des béances narratives). Loin des habitudes normatives du récit classique, Cimino ne nous expliquera ainsi jamais comment son personnage principal, après de brillantes études à Harvard se retrouve simple marshall en plein Wyoming, ce qui le pousse dans les bras d’une prostituée ou comment amasse-t-il la fortune qui lui permettra de vivre comme un prince sur un yacht. De même, on ne saura jamais rien de la mystérieuse amitié qui le lie avec Nate Champion (Christopher Walken), le personnage le plus opaque (et fascinant) du film. Le prologue du film établit pourtant, de façon diffractée, la plupart des ressorts formels et thématiques. Il souligne d’abord des divisions et des contrastes qui seront celles de l’histoire : entre le discours du Révérend (Joseph Cotten) qui appelle les finissants à un « devoir impératif », éduquer une nation hostile au savoir et à la réflexion, et celui de Billy (John Hurt) qui loue pour rire la loi de la gravité, allégorie de la fatalité, et partant l’inutilité de forcer son talent, donc le refus de toute vocation, c’est l’antinomie de l’humanisme démocratique et du sarcasme imbu d’impuissance. Entre Billy, que l’ivresse fait tituber, et Jim (Kris Kristofferson), plein d’ardeur juvénile, l’amitié n’efface pas l’antithèse du bouffon pitoyable et d’une ébauche de héros qui ne se réalisera jamais. Mais l’alternative la plus importante de ce prologue demeure celle de l’individu et du groupe : Jim rejoint en courant le défilé des diplômés, Billy sort des rangs. Pour l’un comme pour l’autre, appartenir à un camp et se détacher d’une foule forment l’intrigue. Le mariage, la relation avec les femmes, concernent Jim à tout moment. L’adhésion de Jim à la cause des faibles, son souci persistant du droit et son courage sont malheureusement vains, mais affirment son rôle antinomique à celui de Billy, pitre impertinent. Ils illustrent pourtant l’un et l’autre l’échec pratique des deux discours d’Harvard : la mission civilisatrice se brise devant le cynisme des puissants, tandis que l’insouciance ne peut rester folâtre quand l’histoire devient tragique.
    On reprochera au film de commencer un western dans une université pour le terminer dans la cabine d’un yacht comme on avait signalé, au sujet de 2001, l’étrangeté d’un film de science-fiction débutant dans la préhistoire et s’achevant dans une chambre Louis XVI. A la manière de Kubrick, Cimino cherche à dépasser le film de genre pour explorer de nouveaux territoires cinématographiques, d’où sa structure inattendue et originale. L’idée ici est que l’énergie dramatique et l’émotion sont moins amenées par les scènes elles-mêmes que par le « jeu » ou le « manque » existant entre les différentes scènes. Contrairement à « Voyage au bout de l’enfer » ou « L’Année du dragon », « La Porte du Paradis » ne joue pas la carte du romanesque. Doté d’une trame très linéaire, il ne possède pratiquement pas de progression dramatique. Cimino revendique cette intention dès le prologue à Harvard, lorsqu’il fait dire à Billy Irvine (John Hurt) : « Tout est fini ! ». L’essentiel de l’intrigue (la liste noire et le massacre des immigrants) est annoncé dès le début du deuxième volet et tout le film n’est que l’attente d’une tuerie inévitable qui ne surprend pas lorsqu’elle arrive enfin. On voit que la part de suspens est assez réduite et que, manifestement, Cimino a préféré s’intéresser à autre chose (comme Coppola s’était délibérément écarté du livre de Conrad pour « Apocalypse Now »). Le film tel que l’entendent ces metteurs en scène doit avant tout être une « expérience sensorielle, une expérience « non verbale », comme dirait Kubrick. Pour Cimino, il s’agit moins de raconter la Johnson country war que de faire ressentir l’Ouest, ou un rêve de l’Ouest.
    Cette dimension onirique, au-delà de la lumière dé-réalisante de Zsigmond, est soulignée par l’épilogue sur le yacht. Lorsque la femme demande une cigarette à un Averill encore hanté par le souvenir d’Ella, c’est toute l’horreur d’une existence dorée résumée en une seule phrase, laquelle par sa banalité même fait ressentir la parenthèse du Wyoming comme un fragment de vie rêvée. On songe à la dernière image d’Il était une fois en Amérique qui possèdera elle aussi cette façade onirique. Dans le regard halluciné de Kris Kristofferson, les questions semblent se bousculer : « Ma vie s’est-elle vraiment déroulée comme dans mon souvenir ? Comment en suis-je arrivé là ? Comment et pourquoi ai-je survécu ? L’Ouest n’a-t-il été qu’un rêve ? ». Dans ce questionnement mélancolique , se concentre le projet même du film : faire se croiser réflexion historique (le fantasme de l’Ouest comme l’imposture d’une violence séminale), existentielle (les idéaux de jeunesse confrontés aux renoncements adultes, la vieillesse, la vie comme un rêve) et cinématographique (le fantasme d’un art cinématographique pur, la position de l’artiste hollywoodien, annonçant spectaculairement la prochaine chute du cinéaste).
    L’Ouest aura toujours été un rêve, pour Cimino comme pour tous les poètes, tous ces hommes qui durent se déplacer pour aller à sa rencontre, reproduisant en cela le mouvement des pionniers. Certains étaient originaires de la côte Est (Ford, Vidor, Walsh, Cimino), d’autres venaient de plus loin (Léone), mais tous virent leur passion pour l’Ouest naître en même temps que leur attirance pour le cinéma (alors que les grands cinéastes nés dans l’Ouest cherchèrent souvent à le fuir : Welles, Losey…). Ce sont ceux qui en ont rêvé qui le filment le mieux et c’est probablement en cela que « La Porte du Paradis » est l’un des plus beaux films « rêvés » de l’histoire du cinéma.
    Starwealther
    Starwealther

    75 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 avril 2007
    Ce film, financé par Hollywood avec 40 millions de dollars, est certainement un des plus gros bides que le cinéma américain est connu. Pourtant il n’est pas mauvais loin de là mais le hic c’est qu’il critique l’Etat américain et ses actions xénophobes.
    En effet, plusieurs groupes de gens venant de pays d’Europe Centrale sont venus aux Etats Unis pour fuir la misère ou la famine de leurs pays. Ceux-ci n’ont pas toujours été acceptés et parfois même exterminés pour de fausses motivations comme par exemple pour le fait de dire que c’était des anarchistes ou des brigands. Dans ce film, Cimino dénonce toute cette histoire ; cela n’a pas vraiment plu c’est le cas de le dire. Celui-ci d’ailleurs désormais pris ses distances avec le cinéma en raison de trop grosses difficultés pour convaincre les producteurs.
    Pourtant ce film est un chef d’œuvre, certains plans sont magistraux de beauté, Cimino montre la nature américaine dans toute sa splendeur. Tout au long du film, il prédomine une couleur ocre par la terre, le bois et les roches. Les acteurs sont par dessus ça magnifiques. Isabelle Huppert joue très bien malgré son accent anglais pas terrible, je découvre un Kris Kristofferson qui a du talent et un Christopher Walken toujours égal à lui même. Certains passages sont longs et j’avoue qu’il faut être motivé pour se lancer dans ce film qui dure 3h40 !!!Mais on ne le regrette pas. Dépaysement garanti.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 juillet 2010
    Un des plus beau chef d'oeuvre du septième art.
    La Porte du Paradis est d'une beauté visuelle rarement égalé.
    Michael Cimino est sans aucun doute, l'un des plus grand réalisateur au monde. Ce film a fait crouler la United Artists, Cimino ne s'en ai jamais vraiment remis.
    Bref, visuellement parfait, Kris Kristofferson, Isabelle Hupert et Chistopher Walken sont excellents.
    Un très grand moment de cimino et de cinéma.
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    Une très grande bien qur très longue fresque historique. Une vision sans concession de l'histoire américaine. Des séquences incroyablement filmées, une photographie et une bande son inoubliables. L'un des plus grands films maudits de l'histoire du cinéma. Ce film qui ruina son producteur et qui compromit la carrière de son cinéaste est aujourd'hui considéré à juste titre comme un très grand film américain.
    kray
    kray

    50 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 août 2009
    Film maudit ? Pas pour tout le monde et en tout cas , certainement pas pour moi qui le considère comme l'un des plus grands films de tous les temps ! Il s'agit en effet d'un film prodigieux par son envergure , son message , sa violence et sa magnificience absolue. A voir dans sa version originale plutôt que la minable version "producteurs" actuellement en vente.
    ClockworkLemon
    ClockworkLemon

    24 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mai 2011
    "Heaven's Gate" est une œuvre cinématographique à part. Flop commercial dans son pays d'origine, qui a couté cher à la boite de production, jusqu'à sa disparition.. certes long.. le troisième film de Michael Cimino a ses détracteurs mais aussi ses admirateurs, dont je fais partie !
    Si la première partie souffre de quelques longueurs minimes, la deuxième partie est une véritable réussite, un moment fort du cinéma. Sublimé par ses lumières, ses fastueux décors américains et sa musique lyrique et envoutante, "Heaven's Gate" est une superbe fresque d'une partie honteuse de l'histoire des États Unis... Critique aigüe d'une société américaine, de l'impossible rêve américain, le film enterre le genre du western en montrant de nouveaux paysages, de nouveaux visages et de nouveaux conflits. Beau, émouvant et terriblement cruel par son réalisme, porté par des acteurs magistraux, ce film est un petit chef d'œuvre, une perle rare du cinéma américain.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 octobre 2013
    Je me plais toujours a regarder les critiques négatives afin d'augmenter ma misanthropie.
    Nous voila en face d'un chef d’œuvre et je ne supporterai pas que l'on dise du mal de ce film, tout comme "The Deer Hunter".
    C'est un film complexe et mature, peu de monde pourront l'apprécier à sa juste valeur.
    Lightning_Mc_Queen
    Lightning_Mc_Queen

    23 abonnés 280 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 octobre 2006
    Allez , on va se la jouer paresseux : relisez toutes les critiques des spectateurs qui ont mis 3 ou 4 étoiles et dites-vous que c'est encore 3 fois mieux que ça ! Sans vouloir faire de la pub , un immense merci au cinéma Utopia de Toulouse d'avoir permis à de jeunes cinéphiles comme moi (ainsi qu'à beaucoup d'autres) de découvrir cette superbe fresque sur grand écran. Cimino à tout compris au cinéma , mais son cinéma est sans doute l'un des plus incompris , ce qui renforce encore plus son aspect funèbre et désespéré. Un film véritablement habité donc , et dans tous les sens du terme. Respect.
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 janvier 2023
    « La port du paradis » (« Heaven’s gate ») est un western qui situe son action principale vers 1890 au Wyoming. Le postulat de départ est l’opposition entre des migrants d'Europe de l'Est récemment arrivés sur place contre de riches propriétaires de bétail qui ne sont pas partageurs. Je n’ai vu que la version « courte » qui s’intéresse pendant les deux tiers du film aux rapports amoureux d’un triangle composé de Kris Kristofferson, Isabelle Huppert et Christopher Walken. Là, j’avoue mettre un peu ennuyé, l’intrigue du départ devenant une sorte de fil rouge peinant à se développer au détriment de l’intrigue amoureuse. La dernière partie du film, quand tout s’emballe, est totalement débridée. La folie meurtrière accaparant les deux camps, dans une sorte de bataille rangée hystérique, fait froid dans le dos, voire fascine. Les cinq dernières minutes m’ont semblé totalement inutiles. Les paysages sont magnifiques et la reconstitution très réaliste : décors à l’image de la ville, costumes, mélanges des langues, rapports de classes… Quelques scènes sublimes comme celle du bal des étudiants. Néanmoins, je ne suis pas tenté d’aller me frotter à la version longue !!!
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
    artemus4
    artemus4

    10 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2013
    Juste pour signaler à quel point la critique de TF1 (voir critiques presse) est hallucinante : quand on travaille pour TF1, on la joue profil bas sur la spoliation, le vol, et le mensonge ! lol, le foutage de gu*ule !
    Sans compter le parti-pris raciste de ces mots assénés sans la moindre nuance, comme si notre cher pays n'était pas à mettre dans le même sac.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 avril 2015
    Film maudit, qui parle d'une histoire enfouie des Etats-Unis, sous la grandeur et le rêve américain, ici totalement détruit par M. Cimino, qu'il dépeint avec un talent fou et une précision hors du commun. C'est simple, il fait du grand cinéma avec une histoire simple, des personnages ultra-développé et des relations compliquées, humaines et vivantes. Les décors sont somptueux, les acteurs géniaux et la violence horrible. Il ne glorifie rien, tout est montré avec une réalité impressionnante et la mise en scène magnifique, en plus d'être imposante, donne au film des moments uniques et magiques. Une simple danse en patin à roulettes devient un moment de contemplation merveilleux où le pur plaisir de la rétine est sollicité. De surcroît, le film arrive a allier les deux. Grand profondeur dans son propos et pur plaisir visuel. Et il atteint le climax du film dans un torrent de violence et de poussière ahurissants tout autant qu'assourdissant qui n'a rien a envier aux films épiques de maintenant. Surtout, qu'ici, l'histoire est menée avec tellement de précision et de sens, que l'éclat de violence final est une suite logique à l'histoire en plus d'être horriblement vraie. Un film où la postérité a pu redonner ses lettres de noblesses et le juger à sa juste valeur.
    gerald_w-a
    gerald_w-a

    11 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 février 2020
    Je peux apprécier les films très longs où il ne se passe pas grand-chose, comme le sublime Arbre aux sabots. Mais là, cest trop. Le scénario est bien ténu, ça ne justifie pas de nous imposer 2h20.
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