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    La Porte du paradis
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    4,0
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    162 critiques spectateurs

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    TUTUR29
    TUTUR29

    32 abonnés 1 115 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 juin 2024
    J’avais beaucoup aimé Voyage au bout de l’enfer de Micheal Cimino et c’était donc avec curiosité que je voulais découvrir La Porte du paradis, film encore plus long. Malheureusement, sa longueur a justement eu raison de moi. Attention, le film est beau, à des supers acteurs, un scénario solide et une soundtrack exceptionnelle mais le film est tellement long et lent que difficile de s’accrocher et apprécier de A à Z… je ne peux clairement pas cracher sur le film mais j’ai passé un moment vraiment très long, je ne vais pas mentir.
    Lord LYNDON
    Lord LYNDON

    19 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 août 2010
    La version longue de ce film est l'un des plus beaux films de l'histoire du cinéma. Intelligent, remarquablement mis en scène, très spectaculaire et violent. Une oeuvre inoubliable dont le réalisateur peut être fier ! Les acteurs sont remarquables.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    297 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 juin 2008
    Malgre de belles images, ce film a la reconstitution historique digne de Cecil B. De Mille ( ou d'une production Playboy ) possede le meme defaut que ce ceux confondant - par exemple - libertinage & porno infantile : Donc decevant et finalement peu interessant au final.
    Shephard69
    Shephard69

    333 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 avril 2013
    Un western qui possède certes une photographie absolument fantastique et un casting incroyablement imposant mais dont la mise en scène se révèle trop cérébrale, ennuyeuse et pleine de longueurs qui affaiblissent l'ensemble. Une promesse charmeuse mais au final une grosse déception.
    maxime ...
    maxime ...

    240 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2016
    On ne se lance pas dans La Porte du Paradis sans quelques appréhensions. Ces peurs s’estompent assez rapidement pour laisser place à la beauté et aux lyrisme de ce film. Le romantisme et le regard de Michael Cimino m'avais déjà attendrit dans Le Voyage aux bout de l'enfer qui était jusqu'à ce jour l'unique long métrage dont j'avais eu la chance de voir. Cette sensation ne m'a pas quitté tout au long des 216 minutes du film, bouleversant !
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    168 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2013
    Certes, c'est un morceau de l'histoire du cinéma. Il est intéressant de voir ce film pour sa vision très noire de l'Amérique des pionniers, pour son aspect documentaire, pour le rôle tenu par l'étonnante Isabelle Huppert. Mais pour le reste, il est difficile d'adhérer à cette histoire irrationnelle où l'on ne comprend rien aux motivations des personnages et qui culminent dans un excès final qui est lui-même d'une irrationalité absolue.
    sword-man
    sword-man

    85 abonnés 1 017 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2012
    "La porte du paradis" est surtout connu pour être un énorme four commercial à sa sortie, et c'est un euphémisme. Four qui a entraîné la ruine de la United Artist et mis fin à la carrière de Cimino jusqu'à so retour sept ans plus tard avec "L'année du dragon". Projet d'une ampleur démeusuré, dépassant son réalisateur, le résultat à l'écran est malade. Malade dans sa construction tantôt contemplatif, tantôt passionnant, ou encore à l'ouest sans mauvais jeu de mot. Malgré le chaos, Cimino ne perd jamais de vue sa dénonciation historique, contant une petite histoire dans la grande, la naissance désenchantée d'une nation dans le sang, la xénopobie et l'intolérance. C'est sans doute cela qui a causé son échec commercial et critique, sorti à une époque ou le public ne voulait plus voir ça mais souhaitait plutôt voir du Spielberg et du "Star Wars".
    Quelque soit la scène se déroulant sous nos yeux, le cadrage est exemplaire,la lumière venant d'une fenêtre ou d'une porte sublime, la reconstitution des costumes et des décors bluffants, des paysages authentiques de toutes beauté avec en prime la poussière de ces grands espaces histoire que visuellement l'immersion soit parfaite.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 août 2020
    Comme il l’indique au cours d’un entretien avec Michael Henry Wilson, Michael Cimino ne fait pas un cinéma d’idées mais un cinéma de personnages, accorde une place importante, sinon centrale, à ses acteurs. Heaven’s Gate en est la preuve, puisque c’est bien le personnage qui tient ensemble toutes les époques, tous les lieux, toutes les situations mis en scène par le film, un personnage souvent pris entre deux eaux, indécis quant à son engagement dans une relation, incertain, usé par la vie. Le cœur d’Ella bat pour deux hommes, sommet d’un triangle amoureux dont la base virile reste néanmoins plus trouble qu’il n’y paraît – la lettre écrite parmi les flammes et adressée non pas à Ella, qui ne sait probablement pas lire, mais à James Averill – ; la fonction qu’occupe ledit James, à savoir shérif de son village, ne l’empêche pas de ressentir une lassitude qui augmente à mesure que croît son désarroi sentimental, de tomber dans l’alcool, de fuir le conseil municipal ; Nathan D. Champion hésite entre servir l’Association en commettant des meurtres et défendre la cause de celle qu’il aime et pour qui il a tapissé les murs de sa demeure. Aussi Heaven’s Gate prend-il la forme d’un grand bal dans lequel toutes les confessions religieuses, toutes les origines ethniques, tous les sexes valsent ou dansent montés sur des patins au son du violon et des autres instruments. Car ce n’est pas un hasard si le long métrage adopte pour titre le nom de la salle de fêtes où se tiennent débats virulents et divertissements : le film est tout entier à son image, soit un mouvement parfois imperceptible mais constant, long crescendo dramatique au terme duquel les amants gisent sur le sol de leur foyer, le shérif prend le large sans ne jamais cesser de regarder derrière lui cette femme, Ella, à la sensualité douce et voluptueuse. L’Histoire américaine apparaît telle une toile de fond devant laquelle s’assemblent, s’affrontent et tombent des personnages que Cimino filme avec passion et dirige à la perfection. La photographie signée Vilmos Zsigmond change chaque plan en petit tableau que nous pourrions contempler pendant des heures, portée par la belle partition musicale de David Mansfield. Heaven’s Gate est une œuvre-somme, inclassable parce qu’elle embrasse et épuise de nombreux genres, de la romance la plus pure au film de guerre en passant par le western, la comédie – l’ouverture et ses élèves perturbateurs, fin d’un âge d’innocence –, le drame, le brûlot social etc. Un immense film, aussi dense et inépuisable que le talent de ses acteurs.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    194 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2018
    Mouais, ce film m'a assez moyennement emballé.
    Les décors sont magnifiques, c'est bien là la force du film.
    Mais le rythme est vraiment lent et il n'y a pas beaucoup de péripéties. Je me suis pas mal ennuyé (pour être honnête, je pense être tombé sur la version longue du film). Les relations amoureuses ne sont pas palpitantes et ça ne se ressent pas du tout entre Isabelle Huppert et Christopher Walken. Les acteurs sont très bons, mais clairement sous-employés (notamment John Hurt qui ne sert strictement à rien dans le film, on peut dire de même de Jeff Bridges). En revanche, lors de la scène d'introduction, ils font vraiment jeunes (le maquillage est très réussi).
    Les plans sont beaucoup trop longs, il y a de nombreux moments de silence où il ne se passe strictement rien. Même la fusillade est trop longue malgré son intensité. spoiler: La scène finale est inutile au possible (le personnage principal a refait sa vie ailleurs … et alors).

    Vrai déception de la part du réalisateur de Voyage au bout de l'Enfer.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    155 abonnés 974 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 novembre 2022
    Chef d'œuvre esthétique, La porte du paradis se classe parmi les grands westerns crépusculaires, malgré son unpopularité à sa sortie. Le rythme est malheureusement sacrément lent, avec notamment des dialogues aux silences à rallonge et au sens souvent irréalistement caché. Et 3h40 de film ! Les motivations des personnages sont également assez flous. Les 45 dernières minutes offrent beaucoup plus d'actions et d'émotions que les 2h30 qui les ont précédés. Mais au final, on retiendra surtout de ce film la superbe retranscription d'une époque plus réaliste que celle des autres westerns, la réalisation excellente de Cimino, la beauté de ses images et sa BO. A un niveau rarement atteint dans l'Histoire du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 mars 2011
    le film qui fit couler metro goldwin malgré cette réputation il reste un chef d'œuvre avec une reconstitution superbement fidèle de l'époque puis une critique des états unis et de leur histoire
    Léo M.
    Léo M.

    19 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 février 2019
    Attention chef d’œuvre!

    Cimmino frappe un nouvelle fois sur son propre pays et la barbarie dont il s'est rendu coupable, avec toujours autant de maestria et autant, sinon plus, de brio.

    Dans Voyage au bout de l'enfer, c'était le Vietnam, jours bien peu glorieux dont les pages de l'Histoire sont entachés de sang.
    Dans La porte du paradis, c’est une période sans doute moins connue mais tout aussi sanglante: dans le Wyoming, des migrants massacrés au nom du gouvernement, par des mercenaire,s se croyant dans leur bon droit et tuant, violant, menaçant à la va comme je te pousse.

    Une amitié déchirée par une femme, un amour impossible et l'émergence de la pensée communiste sont quelques uns des nombreux thèmes sous tendus ici.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 mars 2016
    Clairement le réalisateur propose une belle réalisation avec un sujet et plusieurs personnages potentiellement intéressants. Mais Cimino sans doute grisé par le succès du voyage au bout l'enfer multiplie les longs plans pas toujours utiles au lieu de donner une vrai épaisseur aux personnages. Du coup le film est en parti dépourvu du souffle de vie du précédent.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 septembre 2014
    Une belle lumière dans des décors splendides, un scénario qui éclaire sur un évènement méconnu de l'histoire américaine, un casting de rêve, des fusillades grandioses, le tout avec un soucis du détail qui réussit l'exploit de rendre ce film colossal à la fois réaliste et lyrique. Un film fleuve dont la durée de 3h30 pourra en rebuter. Toutefois cela en vaut la peine, car le style du réalisateur sans concession et inimitable, nous décrit avec exigence un drame de la construction américaine, en ruinant au passage un peu sa carrière et totalement le studio. Au final le chef d'œuvre maudit de Cimino reste un chef d'œuvre.
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2009
    Un "western" engagé qui dénonce sans concession le mythe de la terre promise américaine, derrière lequel se cachent l'intolérance des latifundiaires natifs, la corruption du gouvernement et de l'armée, ainsi que la faiblesse de l'ordre et de la justice dans les nouveaux territoires, délégués à des seigneurs locaux impitoyables. Les paysages sont beaux, les interprétations bonnes, le scénario intéressant. Plusieurs défauts m'ont cependant quelque peu gâché le plaisir. La narration est trop elliptique, l'enchaînement des scènes parfois bizarre, voire incompréhensible ou maladroit, et l'ensemble, à trop vouloir casser les codes de la narration, devient lent, pesant et manque de "punch". J'attendais mieux du film-qui-a-coulé-la-United-Artist ! La boucherie finale, digne d'un Peckinpah, est bien filmée mais contraste trop avec le reste du film, beaucoup plus pesé. Passer d'un extrême à l'autre est un choix de Cimino, pour ma part le final sanglant, digne de Rambo III, était de trop.
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