Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Un film généreux, humaniste, plein d'humour, de tendresse et d'émotion.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Point
par Olivier De Bryun
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Deux Frères (...)est moins un manuel d'éthologie assaisonné d'écologie new age qu'un solide film d'aventures exotiques, plutôt bien ficelé (...). Idéal pour remplacer une visite au zoo en famille, en cas de pluie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Thibault Lang-Willar
(...) même si les personnages du film semblent parfois servir de prétexte à la mise en scène des tigres, ils n'en ressort pas moins un bon équilibre entre les scènes de jungle, purement animales, et l'intrigue humaine.
Aden
par Philippe Piazzo
Le livre d'images ne prend pas vraiment vis sur l'écran, mais quelques-unes de ses pages ont un certain panache, du moins pour ceux qui ont encore en tête les récits de safaris de la bibliothèques verte et qui ont rêvé sur des traversées de forêts à dos d'éléphants.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Une intrigue désuète, située dans une Indochine qui fait penser au Congo de Tintin.
Libération
par Gilles Renault
(...) obnubilé par ses bestioles, au pelage prévisiblement filmé sous toutes les coutures ralentis compris , Jean-Jacques Annaud en oublie vite que des acteurs ordinaires traversent également le cadre à intervalles réguliers. Or le récit à proprement parler ne possède pour ainsi dire aucune densité et les personnages qui le peuplent sont autant de caricatures ridicules, achoppant sur des scènes tendres ou burlesques, qui n'auront guère d'impact que sur les enfants.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
On n'a jamais vu des fauves mis en scène de cette façon, notamment dans les scènes des arènes et du dressage. Le problème de ce film, puissant mais raté, est ailleurs. Malgré une saine volonté de suivre le genre " aventures pour enfants ", DEUX FRERES perd son cap en s'engluant dans un mauvais scénario, peuplé de personnages bâclés.
Première
par Olivier De Bruyn
Emotions dans les regards, sentiments bruts, romanesque franc... le film, malgré sa toile de fond coloniale ironique ne cavale point après le réalisme documentaire mais plébiscite la fable enfantine et le divertissement transgénérationnel.
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Le résultat tient du carnet de voyage, du livre d'images ramenées du bout du monde. Le message écolo-humaniste est bien convenu ; la gestion du temps, parfois étrange, mais franchement, que pèsent ces réserves face à l'exploit ?
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dans cette fable exotique pour enfants, Annaud tente de rééditer son succès de l'Ours en faisant plier la nature à des fantasmes simplistes. Ce qui a pour effet d'appauvrir le réel, de transformer les fauves en automates, et les acteurs en caricatures.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Un film généreux, humaniste, plein d'humour, de tendresse et d'émotion.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Deux Frères (...)est moins un manuel d'éthologie assaisonné d'écologie new age qu'un solide film d'aventures exotiques, plutôt bien ficelé (...). Idéal pour remplacer une visite au zoo en famille, en cas de pluie.
aVoir-aLire.com
(...) même si les personnages du film semblent parfois servir de prétexte à la mise en scène des tigres, ils n'en ressort pas moins un bon équilibre entre les scènes de jungle, purement animales, et l'intrigue humaine.
Aden
Le livre d'images ne prend pas vraiment vis sur l'écran, mais quelques-unes de ses pages ont un certain panache, du moins pour ceux qui ont encore en tête les récits de safaris de la bibliothèques verte et qui ont rêvé sur des traversées de forêts à dos d'éléphants.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Une intrigue désuète, située dans une Indochine qui fait penser au Congo de Tintin.
Libération
(...) obnubilé par ses bestioles, au pelage prévisiblement filmé sous toutes les coutures ralentis compris , Jean-Jacques Annaud en oublie vite que des acteurs ordinaires traversent également le cadre à intervalles réguliers. Or le récit à proprement parler ne possède pour ainsi dire aucune densité et les personnages qui le peuplent sont autant de caricatures ridicules, achoppant sur des scènes tendres ou burlesques, qui n'auront guère d'impact que sur les enfants.
MCinéma.com
On n'a jamais vu des fauves mis en scène de cette façon, notamment dans les scènes des arènes et du dressage. Le problème de ce film, puissant mais raté, est ailleurs. Malgré une saine volonté de suivre le genre " aventures pour enfants ", DEUX FRERES perd son cap en s'engluant dans un mauvais scénario, peuplé de personnages bâclés.
Première
Emotions dans les regards, sentiments bruts, romanesque franc... le film, malgré sa toile de fond coloniale ironique ne cavale point après le réalisme documentaire mais plébiscite la fable enfantine et le divertissement transgénérationnel.
TéléCinéObs
Le résultat tient du carnet de voyage, du livre d'images ramenées du bout du monde. Le message écolo-humaniste est bien convenu ; la gestion du temps, parfois étrange, mais franchement, que pèsent ces réserves face à l'exploit ?
L'Humanité
Dans cette fable exotique pour enfants, Annaud tente de rééditer son succès de l'Ours en faisant plier la nature à des fantasmes simplistes. Ce qui a pour effet d'appauvrir le réel, de transformer les fauves en automates, et les acteurs en caricatures.