Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
0,5
Publiée le 21 août 2008
Ah... Je me souviens avoir vu ce film. Le début m'a horriblement fait chier, le mec qui va dans un hôtel pourrave, l'espèce de maison close, bref rien d'intéressant mais après dès qu'il y a de l'action, bah rien, toujours aussi rébarbatif, le mec sosie de Charles Bronson qui court dans so vieux motel pour zugouiller des gens et le crocodile qui vit dans une marre... Affligeant.
Tobe hooper réalise un film en deça du terrible massacre à la tronçonneuse , mais malsain au possible et bien ancré dans l'ambiance de l'époque. A découvrir.
Eaten Alive constitue un bel hommage au Psycho d’Alfred Hitchcock, hommage doublé d’une dégradation notable puisqu’en lieu et place du motel aux draps changés chaque semaine se trouve un bouiboui infecte dont le gérant, loin de la placidité d’un Norman Bates, agresse ses visiteurs dès les premiers instants de leur séjour. Nous retrouvons le même procédé d’un tournage en studios, le Starlight étant entièrement reconstruit, ce qui permet à Tobe Hooper de réaliser de longs et ambitieux mouvements de caméra ainsi que de composer une atmosphère poisseuse forte de couleurs inhabituelles – du jaune foncé, du violet, du rouge – renforçant ce sentiment de malaise devant l’étrangeté d’une Louisiane transfigurée, exagérée, dont la saleté et l’horreur s’exacerbent ici de façon paroxystique. On retiendra du long métrage sa brutalité inouïe, rappelant qu’il a été tourné deux ans après The Texas Chainsaw Massacre, trouvant en le crocodile une métaphore de la bestialité humaine : l’homme apparaît ici comme un prédateur, soucieux de plier la femme à ses désirs et à ses névroses ; car il n’y a pas que Judd qui atteste un comportement animal, Roy, ce père de famille déséquilibré, ne peut s’empêcher de faire pleurer sa fille en lui remémorant la disparition du petit chien. L’homme, dans le cinéma de Tobe Hopper, est cruel et a le goût du sang, faisant de lui un être dégénéré qui tire de cette dégénérescence un lien direct avec une force primaire, voire primitive qui définit sa nature.
Dans l'histoire de la bouse, je tiens ma palme ! Merci Tobe, pour cette merde incompréhensible, cette réalisation malhonnête, cette direction pathétique, cette histoire... euh... comment dire sans être grossier?... Une sorte de trip sous acide, ni effrayant, ni attrayant. Rien sinon le sentiment d'une arnaque profonde ou bien l'oeuvre d'une huître épileptique. Au choix.
Une belle reussite de tobe hooper. Film tres violent et malsain, disons-le tout de suite,il est reservé a un public non sensible et averti. La crudité des scènes de meurtre peut en choquer pplus d'un. Ici, il est question d'un propriétaire de motel qui nourrit son crocodile avec ses clients quelque peu égarés au cœur de cette campagne moite et sauvage. J'ai trouvé le film réussi car il distille une atmosphère originale, glauque,et l'interprétation des acteurs est saisissante. On retrouve l'excellente marilyn burns , fraichement rescapee du "massacre a la tronconneuse" et robert-freddy krueger-englund dans le role d'un client sadique et obsédé sexuel. Au milieu de tout ce monde, la fameux crocodile attend sagement l'heure de son repas! Une rareté tres interessante.
Suspense au ras des pâquerettes, gamine qui hurle au point que l'on a envie de la gifler, acteurs peu convaincants, bestiole quasi invisible, ce qui ne procure aucune sueur froide...une catastrophe cinématographique.
Enfin un cinéaste qui associe la folie humaine (le psychopathe est aussi fou que ED GEIN) à la véracités d'une bête (en l’occurrence un crocodile) pour réaliser un bon film d'épouvante. Ce film est bourré d'idée, il na rien à envier à massacre à la tronçonneuse et pour temps, il reste très méconnu du grand public. A regretter le faites que l'on ne voit presque jamais le Croco.
Hooper livre un film singulier et radical mais excessivement clinquant et redondant par rapport à son maigre fond. A voir pour se faire sa propre appréciation...
Excellent film. Ce film est un réussite de Tobe Hopper le célèbre réalisateur de Massacre à la tronçonneuse celui qui date de 1974 bien sur. Le film est gore, il y a un bon scénario enfin, le film est bien voila.
De deux choses l’une: soit la vf est défectueuse (ce qui pourrait expliquer le titre français du film, digne d’un gamin de cm2), soit les dialogues originaux sont improvisés tant les répliques sont abscondes. Le vide abyssal du scenario n’a d’égal que la performance pitoyable des acteurs. La présence du crocodile en plastique est quasiment anecdotique. Un des nombreux navets jalonnant la carrière de Tobe Hooper.
4 618 abonnés
18 103 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 4 juin 2021
C'est un peu triste de penser que l'homme qui a réalisé Massacre à la tronçonneuse ai fait un film aussi ennuyeux et lent je sais que je ne devrais pas le regarder en m'attendant à quelque chose du même niveau mais quand même il est difficile de ne pas s'attendre à quelque chose d'au moins décent de la part de Tobe Hooper. L'idée du film est simple et je ne vois aucun problème si elle était bien faite bien sûr. Les lieux sont intéressants et assez terrifiants en soi la lumière rouge en arrière-plan est bonne même si elle est de mauvais goût elle donne une grande représentation du danger et tout comme Spielberg a caché son requin pendant un long moment à l'écran pour créer du suspense Tobe fait de même avec son crocodile. Le problème est que lorsqu'il apparaît enfin il est drôle et ne laisse peser aucune menace et c'est très décevant...
poouuhh !!! Comment peut-on mettre 4 étoiles pour ce film! fan de tobe hooper? ok j'veu bien mais ya des limites! c'est loin de "massacre a la tronçonneuse"! entre le gérant de l'hotel qui gémi tout le film on sait pas pourquoi, complètement dingue! la famille bien stressante avc le père bigleu qui pète des cable lui aussi on comprend pas! la fille qui n'fai qur crié, un cri ultra stressant! les acteurs son franchement pas super, l'histoire non plus, les effet spéciau non plu mais le film est vieu donc ça l'excuse! ah oui le titre est mal choisi, le crocodile c'est un figurant..un intermittent du spectacle même tellement il est inexcistant! j'met 1 étoile pour etre sympa et pcq j'ai quand même vu pire!
Premier long du réalisateur point trop riant surtout quand on devine la fin ; « Eaten alive » ne se laisse voir que très difficilement du fait de ses (nombreuses) incohérences et donc niant son entière réalité - Quand on oublie, par ailleurs , une multiplication de « caractères » inutile et faisant bien sûr oublier les intrigues sinon la principale… De plus, la fin ( assez pathétique & bien trop volontaire pour convaincre ) ne surprend guère comme prévu et ne nous fait pas oublier toutes ces petites piques, autorisations de liberté de script à 1 seul interlocuteur et/ou « oublis » d’invalides responsables tout le temps que dure le film et donc évidemment fort révélatrices…