Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
Certes, il ne fallait pas attendre du réalisateur d'UN BEAU JOUR un film culte comme LE CERCLE DES POETES DISPARUS ou un sujet à débat comme ETRE ET AVOIR. Mais si vous aimez les ambiances feutrées, les trahisons discrètes et les déceptions muettes dans un environnement cossu, LE CLUB DES EMPEREURS est pour vous.
Première
par Christian Jauberty
Le film, en général, ne manque pas de qualités mais, pour qui connaît ses classiques (Le Cercle des poètes disparus ; Au revoir Mr Chips), il est difficile de ne pas avoir l'impression de redoubler.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Pour un peu, Le Club des empereurs ferait entendre une note grinçante sur l'éducation et les illusions dont se bercent les professeurs... Mais ce supertéléfilm rentre sagement dans le rang.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Dès qu'il s'agit de dévier du film initiatique pour s'avancer sur un terrain ambigu (comment faire l'apologie de valeurs qu'une époque entière a, selon un axiome posé d'emblée, rejetées ?), le réalisateur démissionne à toute allure.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Zurban
par Etienne Sorin
Ne pas se laisser abuser par le faux happy-end et sa morale un peu niaise. Bell, devenu adulte, triche comme avant, brigue un siège de sénateur, sera un politicard comme son père et fera la guerre en Irak.
MCinéma.com
Certes, il ne fallait pas attendre du réalisateur d'UN BEAU JOUR un film culte comme LE CERCLE DES POETES DISPARUS ou un sujet à débat comme ETRE ET AVOIR. Mais si vous aimez les ambiances feutrées, les trahisons discrètes et les déceptions muettes dans un environnement cossu, LE CLUB DES EMPEREURS est pour vous.
Première
Le film, en général, ne manque pas de qualités mais, pour qui connaît ses classiques (Le Cercle des poètes disparus ; Au revoir Mr Chips), il est difficile de ne pas avoir l'impression de redoubler.
Télérama
Pour un peu, Le Club des empereurs ferait entendre une note grinçante sur l'éducation et les illusions dont se bercent les professeurs... Mais ce supertéléfilm rentre sagement dans le rang.
Chronic'art.com
Dès qu'il s'agit de dévier du film initiatique pour s'avancer sur un terrain ambigu (comment faire l'apologie de valeurs qu'une époque entière a, selon un axiome posé d'emblée, rejetées ?), le réalisateur démissionne à toute allure.
Zurban
Ne pas se laisser abuser par le faux happy-end et sa morale un peu niaise. Bell, devenu adulte, triche comme avant, brigue un siège de sénateur, sera un politicard comme son père et fera la guerre en Irak.