Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Chen Kaige n'évite pas le mélo. On lui pardonne. L'histoire est belle et finalement plus personnelle qu'il n'y paraît. Chen Kaige, qui fut pris, adolescent, dans le tourment de la Révolution culturelle, écoutait, en cachette, de la musique classique occidentale. Et cette musique n'a plus jamais quitté son coeur.
Aden
par Philippe Piazzo
Certes, la parabole frise la caricature ; certes, la dénonciation de la corruption et de l'occidentalisation des élites libérales a, tout au long du film, des relents de maoïsme postmao (...) Mais avouons-le, ça fait parfois du bien, ce " Debout, les damnés de la terre ! " De quoi pleurer toutes les larmes de son corps, pour peu qu'on aime le mélo
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Obs
par François Forestier
Le film est simple, mélodramatique, parfois convenu. Surtout, il souffre d'un pesant sentiment de déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-Luc Douin
On a reproché à l'auteur d'Adieu ma concubine (Palme d'or à Cannes en 1993) de sacrifier son talent à des fresques historiques grandiloquentes. Ce film édifiant dans la forme comme dans le fond, et paradoxalement dénué d'émotion, fait regretter les flamboyances du mésestimé L'Empereur et l'assassin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
Si le cinéaste n'évite pas les bons sentiments, ses personnages sont d'autant plus attachants qu'ils ne maîtrisent pas leur destin. Une fable universelle poignante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
Kaige a choisi, avec L'Enfant au violon, un sujet déjà vu mille fois, donnant lieu à des passages obligés agaçants sur le papier et, de ce point de vue-là, "parfaitement" rendus sur grand écran ! (...) Néanmoins, malgré cet "emballage" plutôt désagréable, [le film] réserve des moments qui font rêver de ce qu'[il] aurait pu être.
Positif
par Adrien Gombeaud
Il y a dans les films de Chen quelque chose de magistral, une autorité qui force le spectateur à penser que chacune de ses scènes ne peut être tournée autrement. Il plane pourtant sur les premières images de L'Enfant au violon une étrange timidité qui ira en s'accentuant au fil de l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Première
par Gérard Delorme
Puisant sans retenue dans les recettes du mélo à l'ancienne, Chen Kaige n' a peur ni des clichés ni des sentiments simples et naïfs. Ce film est son plus gros succès chinois.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Après un désastreux film anglophone (Feu de glace), Chen Kaige s'offre un mélo pékinois un brin dégoulinant : un enfant prodige du violon doit-il renier sa famille pour tenter une carrière à l'étranger ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
Chen Kaige n'évite pas le mélo. On lui pardonne. L'histoire est belle et finalement plus personnelle qu'il n'y paraît. Chen Kaige, qui fut pris, adolescent, dans le tourment de la Révolution culturelle, écoutait, en cachette, de la musique classique occidentale. Et cette musique n'a plus jamais quitté son coeur.
Aden
Certes, la parabole frise la caricature ; certes, la dénonciation de la corruption et de l'occidentalisation des élites libérales a, tout au long du film, des relents de maoïsme postmao (...) Mais avouons-le, ça fait parfois du bien, ce " Debout, les damnés de la terre ! " De quoi pleurer toutes les larmes de son corps, pour peu qu'on aime le mélo
L'Obs
Le film est simple, mélodramatique, parfois convenu. Surtout, il souffre d'un pesant sentiment de déjà-vu.
Le Monde
On a reproché à l'auteur d'Adieu ma concubine (Palme d'or à Cannes en 1993) de sacrifier son talent à des fresques historiques grandiloquentes. Ce film édifiant dans la forme comme dans le fond, et paradoxalement dénué d'émotion, fait regretter les flamboyances du mésestimé L'Empereur et l'assassin.
Les Inrockuptibles
Si le cinéaste n'évite pas les bons sentiments, ses personnages sont d'autant plus attachants qu'ils ne maîtrisent pas leur destin. Une fable universelle poignante.
MCinéma.com
Kaige a choisi, avec L'Enfant au violon, un sujet déjà vu mille fois, donnant lieu à des passages obligés agaçants sur le papier et, de ce point de vue-là, "parfaitement" rendus sur grand écran ! (...) Néanmoins, malgré cet "emballage" plutôt désagréable, [le film] réserve des moments qui font rêver de ce qu'[il] aurait pu être.
Positif
Il y a dans les films de Chen quelque chose de magistral, une autorité qui force le spectateur à penser que chacune de ses scènes ne peut être tournée autrement. Il plane pourtant sur les premières images de L'Enfant au violon une étrange timidité qui ira en s'accentuant au fil de l'histoire.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Puisant sans retenue dans les recettes du mélo à l'ancienne, Chen Kaige n' a peur ni des clichés ni des sentiments simples et naïfs. Ce film est son plus gros succès chinois.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Après un désastreux film anglophone (Feu de glace), Chen Kaige s'offre un mélo pékinois un brin dégoulinant : un enfant prodige du violon doit-il renier sa famille pour tenter une carrière à l'étranger ?