revu mais j'avais totalement zappé l'histoire hier à la télévision. j'ai l'impression que le film a très mal vieilli, les gags semblent éculés et l'histoire ne passionne pas vraiment. reste Pierre Richard toujours aussi maladroit.
Un film daté, déjà à sa sortie. Comment pouvait-on en 1978 oser encore sortir un pareil nanar ? Bien que l'action soit sensée se passer en mai 68 (avec des coupes de cheveux de 78 !) On a plutôt l'impression d'assister à une de ces typiques comédies de la première moitié des années 60. Oury ne se renouvèle pas et deviens même très mauvais. Un scénario vraiment débile qui part très rapidement sur la série Z et donc sans aucun intérêt. Victor Lanoux est insupportable dans son rôle caricatural de brut au grand cœur. On ne parle même pas de la réalisation et de la mis en scène : tout est appuyé sans aucune finesse. Grand Guignol pour les enfants à coté, c'est du Kubrick.
Même si La Carapate ne tient pas la comparaison avec les précédentes comédies de Gérard Oury (La Grande Vadrouille, Rabbi Jacob, Le Corniaud), ce film est tellement bien rythmé qu'on ne voit pas les 1h45 passer. C'est drôle, sans être non plus hilarant, et Pierre Richard y est fidèle à lui-même. Victor Lanoux, est également drôle. 12/20
Cette comédie rythmée est vraiment drôle. Victor Lanoux est excellent en gangster brutal et gouailleur. Il entraîne dans sa fuite son avocat interprété par Pierre Richard, l’éternel distrait. Leur cavale est ponctuée de rencontres mouvementées (l’actrice Katia Tchenko dont le strip-tease est à l’origine d’un carambolage monstre ; la belle, l’amant et le cocu dans la ferme ; les riches qui fuient Paris vers la Suisse à bord de leur Rolls remplie de lingots d’or ; la rencontre avec le Général De Gaulle dans les toilettes etc.). Sur fond de révolution, mai 68 oblige, les gags se ramassent à la pelle. Le couple de riches interprété par Jean-pierre Darras qui n'arrête pas de trépigner sur place avec son petit chien en laisse et Yves Gaudeau (« Vous pouvez faire la queue comme tout le monde ! » - « Mais nous ne sommes pas tout le monde ! ») forment un autre duo irrésistible. J’adore la scène avenue Foch où la bourgeoise, le sac de la rançon à la main sur un trottoir, est prise pour une prostituée par un client en voiture ; ou lorsqu’elle et son mari sont entraînés par des manifestants dans une ronde autour de leur Rolls en feu. J’ai retrouvé ici la qualité des précédentes réalisations de Gérard Oury. Impossible donc de résister aux gags du couple Richard/Lanoux comme à ceux du couple De Funès/Bourvil en son temps. Les duos mal assortis restent une valeur sûre du cinéma français. Et celui-ci fait partie du haut du panier.
film excellent avec LE Pierre Richard qu'on adore, cette comedie nous fait passer un bon moment avec des gags excellent De plus, Raymond Bussières est toujours aussi bon dans ce second rôle
Même si La Carapate ne tient pas la comparaison avec les précédentes comédies de Gérard Oury ( La Grande Vadrouille, Rabbi Jacob, Le Corniaud), ce film est tellement bien rythmé qu'on ne voit pas les 2 heures passer.C'est drôle, sans être non plus hilarant, et Pierre Richard y est fidèle à lui-même. Petit point noir: Pierre Richard fait vite oublier Victor Lanoux,transparent et en-deça de ce qu'on pouvait espérer de lui.
Bon il faut quand même admettre que c'est une sacrée bouffonade. Une course-poursuite sans fin avec de multiples rebondissements assez niais et le pompon est quand même l'histoire de la rolls et le couple qui la poursuit. C'est pas terrible.
Pas drôle. Comment peut-on à ce point rater une comédie ? Les acteurs ne sont pas en cause, bien que Pierre Richard en fasse beaucoup trop. Un film à recommander aux fans inconditionnels, les autres s'ennuiront à mourir.
Pas drôle. Comment peut-on à ce point rater une comédie ? Les acteurs ne sont pas en cause, bien que Pierre Richard en fasse beaucoup trop. Un film à recommander aux fans inconditionnels, les autres s'ennuieront à mourir.
Un condamné à mort s'échappe de prison et prend la fuite avec son avocat. Pierre Richard très drôle se retrouve confronté à un Victor Lanoux toujours aussi monolithique. Les références à mai 68 sont souvent ridicules, faussement naïves et véritablement niaises. C'est agréable à regarder, mais il y a quelques longueurs.
Un très bon film comique qui joue surtout sur la différence entre les deux principaux personnages, interprêtés par Pierre Richard et Victor Lannoux, que le premier reprendra ensuite, avec le succès que l'on sait, avec Gérard Depardieux. On rigole d'un bout à l'autre du film.