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weihnachtsmann
1 272 abonnés
5 339 critiques
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4,0
Publiée le 19 août 2015
Très bon film d'une époque passée. SI on le compare aux films policiers français avec Gabin par exemple, il tire son jeu avantageusement. Fernandel est ici charmeur et l'on apprécie le rythme lent qui convient à cette idylle naissante. On a presque deux films en un. L'intrigue policière est peut-être légère et surtout sans violence (ou à peine). Si on le compare aux comédies d'aujourd'hui, on y trouve un charme authentique et une préférence sur les dialogues et le développement de l'intrigue amoureuse. Très sympathique en tout cas.
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3,0
Publiée le 26 janvier 2012
Le monde est petit mais Honfleur n’est pas grand…Comèdie policière divertissante signèe Gilles Grangier, artisan abondant et règulier qui a eu parfois de bons moments dans la comèdie en se mettant souvent au service de Jean Gabin ou Fernandel! Dans "L'homme à la Buick" et sous des apparences bourgeoises, Fernandel est un caïd connu sous le nom de monsieur Jo! D'après le roman de Michel Lambesc, "Cher voyou", Fernandel ne se doute pas que la sèduisante Danielle Darrieux est en fait recherchèe par la police pour des activitès aussi peu recommandables! Le film est aussi l'occasion de voir les Rousses dans le Jura et surtout le Honfleur des sixties et sa côte durant la morte saison avec son bistro-restaurant le "Pèle Mèle" (Whisky avec de la glace pour Fernandel, jus de pamplemousse pour Darrieux), ses plages normandes où l’on fait de l’équitation et ses gueules comme Mario David ou Jean-Pierre Marielle dans les seconds plans! Une comèdie qui emporte l’adhèsion grâce à ses deux interprètes principaux, avec en prime la joyeuse chanson du film "A vivre d’aventures" chantèe par un certain Josè Bartel...
L’homme à la buick est un bon film de Gilles Grangier. Le scénario n’a rien d’original et de très intéressant, mais l’humour du film est très efficace et le film divertissant. La mise en scène du réalisateur est correcte et les acteurs comme Fernandel, Danielle Darrieux ou encore Jean-Pierre Marielle sont convaincants dans leurs rôles. Bref, c’est un très bon divertissement…
Bon petit film qui fleure bon les années 60, ou on savait faire des films enjôleurs avec un scénario basique. Ici, Fernandel, n'est pas là pour faire rire, mais distraire et pourtant et pourtant en tant que truand ; ce qui est rare dans sa carrière. A voir pour Fernandel, le plongeon dans Honfleur des années 60 ou la ville n'était pas encore le pôle touristique qu'elle est maintenant et pour une certaine culture cinématographique.
Fernandel en crapule...et en plus il s'en sort magnifiquement, comme d'habitude et comme dans n'importe quel autre rôle, il y est excellent. Il donne même des cours de "voyouterie" aux dévoyés de Paris, dont Marielle, Mario David (comme à l'accoutumée) et quelques autres acteurs abonnés aux rôles de malfaiteurs. Pour le reste lisez donc les critiques trois étoiles, moi j'en donne quatre pour Grangier et pour ce très bon divertissement !
Ce film de Gilles Grangier qui est tiré du roman « Cher Voyou » de Michel Lambesc, est plutôt moyen. Le casting reste intéressant puisqu’on retrouve autour de Fernandel de bons acteurs comme Jean-Pierre Marielle, Danielle Darrieux, Mario David ou encore Claude Pieplu. Mais voilà, l’histoire souffre visiblement d’un manque de rythme, c’est lent. Les acteurs n’arrivent à aucun moment à l’emballer. Même s’il porte une bonne partie du film à lui tout seul, on sent un Fernandel pas dans un grand jour. C’est dommage. Sinon dans l’ensemble, « l’homme à la Buick » reste un petit film honnête et regardable qui est surtout destiné aux fans de l’acteur afin qu’ils le découvrent dans un rôle plus dramatique que comique. Même si j’aime beaucoup Fernandel, j’ai été un peu déçu, je m’attendais à mieux.
L'idée du film est probablement de faire tenir à Fernandel un contre-emploi et, peut-être aussi, à Danielle Darrieux, dont on comprend vite qu'elle n'est pas cette bourgeoise de province occupée à ses tombolas de charité. Le problème, c'est qu'il y a si peu d'idée et de convictions dans la mise en scène de Gilles Grangier que Fernandel n'est lui-même, pas très convaincant. Il fait peu illusion dans son rôle de gangster, face cachée de sa double vie. A Honfleur, Armand et Michèle se rencontrent. La réalisation est d'une platitude coupable et les dialogues de Henri Jeanson sont loins d'être aussi spirituels qu'il le croit et sont même franchement rudimentaires. Les seconds rôles, pour la plupart les complices d'Armand, sont aussi conventionnels et ternes que les premiers. On s'ennuie ferme, même lorsque la comédie, personnages obligent, prend un tour policier On ne sauvera guère de ce film poussif que la légèreté et le charme de Danielle Darrieux.
C'est un belle petite comédie tournée et sortie en 1968. L'histoire se passe entre Paris et Honfleur. Fernandel joue la comédie, mais quant il s'agit de jouer les hommes sérieux, il a de la peine. Mais il reste néanmoins assez crédible. Par contre c'est un grand spécialiste pour dissimuler son emploi principal. Honfleur en hiver c'est chouette, une petite ville calme, elle reste sur la route du débarquement. Après les truants restent tout de même très caricaturales, mais bon, c'est une comédie et pas un vrai polar. Par contre quant un homme généreux arrive dans une petite ville, il y a toujours du monde pour bien le recevoir et lui expliquer comment il peut dépenser son argent. C'est marrant.
Un film qui m’a beaucoup fait penser au Corniaud ... mais en moins amusant. L’homme à Buick un des derniers rôles de Fernandel est une comédie policière amusante, sans grands éclats qui vaut plus pour son interprète principale et ses seconds rôles (notamment Jean Pierre Marielle dont la présence seule arrive à m’intéresser à un film) que pour le reste qui semble ronronner. C’est de la comédie à la grand papa ou les méchants ne sont pas vraiment méchants, du cinéma populaire bien exécuté mais qui manque un peu d’originalité.
Film tourné en fin de carrière pour Fernandel (suite à celui-ci, il tournera uniquement dans Heureux qui comme Ulysse et le début de Don Camillo et les contestataires qui vit son décès), L’Homme à la Buick est une banale comédie policière typique du "cinéma de papa". L’histoire se laisse suivre en particulier grâce aux comédiens (outre Fernandel, on y trouve plusieurs visages familiers du cinéma français comme Danielle Darrieux, Jean-Pierre Marielle, Mario David, Michael Lonsdale et Claude Piéplu) mais l’ensemble n’est pas spécialement drôle ou passionnant. Le long-métrage de Gilles Grangier est ainsi le type de films que l’on regarde plus pour accompagner un repas familial que pour assister à un grand moment de 7ème Art.
C'est une comédie dont la fin est bien morale. En vedette Fernandel et Danielle Darrieux avec une pléiade de bons acteurs de cette époque 1968. Un film policier mais malgré que ce soit un de ses derniers rôles, Fernandel y instille une présence qui donne un vrai ton humoristique à ce film très plaisant servi par des dialogues qui vont dans ce sens.
Il est peu dire qu'elles étaient légions ces petites comédies françaises dans les années 60 et à vrai dire cet « Homme à la Buick » n'a rien de plus ou de moins que les autres. Dialogues de Jeanson infiniment moins inspirés que d'habitude, mise en scène on ne peut plus fade de Gilles Grangier et scénario sans grande surprise : c'est donc une fois de plus dans ce genre de films les acteurs qui font le (tout) petit intérêt de l'oeuvre, et ce même si là aussi on a connu Fernandel et Jean-Pierre Marielle plus inspirés... Reste le plaisir de voir la toujours aussi délicieuse Danielle Darrieux ainsi qu'un petit rythme permettant de rendre l'ensemble vaguement regardable, mais nul doute que vous aurez mieux à faire que de voir de film anecdotique et sans grande saveur.