Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
Une oeuvre esthétiquement léchée, un véritable régal pour les yeux. En plus, Keanu Reeves, après s'être fourvoyé dans les deux suites de MATRIX et quelques panouilles, est parfait dans le rôle principal (...). Sa présence est incroyable. (...) Francis Lawrence a dirigé son premier long métrage de main de maître. On attend avec impatience ce qu'il nous réserve pour la suite.
Cinéastes
par Sara Ri & Matthieu Santelli
A vouloir gagner tous les suffrages, Constantine n'ose jamais aller au bout de ses idées, produisant un film bancal, faussement original et au final tout à fait consensuel. Ce cinéma de la demi-mesure résume la décadence à l'alcool et au sexe qui deviennent la marque du diable et prône (en retour) des valeurs puritaines. Seul rescapé des enfers, Keanu Reeves livre ici une interprétation très convaincante, dans un rôle qui le change de son emploi coutumier (...).
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
A partir d'une BD culte, sombre et nauséeuse, le premier film, bourré d'action et d'humour décalé, d'un clipper qui n'a pas hésité à donner dans le paroxysme. [...] On pourra certes reprocher au film un scénario quelque peu fourre-tout [...] et un certain manque de conviction. [...] Reste un rythme qui ne faiblit jamais, des effets spéciaux toujours convaincants et l'impression durable d'aboir rencontré un film qui [...] ne ressemble à rien de ce qu'on pouvait connaître.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
par La Rédaction
Une énième variation sur le thème [lutte du bien contre le mal] (...) Pour peu qu'on accepte d'être entraîné dans son univers, on y découvre ensuite des personnages plus nuancés que ne l'impose la traditionnelle répartition entre bons et méchants. C'est tout aussi conventionnel peut-être, mais l'ambiguïté qui s'attache aux uns et aux autres permet de nourrir rebondissements et intérêt.
TéléCinéObs
par Jennifer Picard
Keanu Reeves, jusqu'ici cantonné aux rôles de beaux innocents, campe avec brio un anti-héros cynique et suffisant. (...) Bien qu'étonnante, la direction artistique de ce premier long-métrage du réalisateur de clips Francis Lawrence ne parvient pas à faire oublier la faiblesse du scénario, sorte de compilation indigeste des différents volumes du comic book original.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Olivier Pélisson
Duel entre Bien et Mal, invocation divines, effets spéciaux, plans stylés. Tout y est, avec aux commandes un pro du clip, et face caméra, Keanu Reeves. Toujours aussi monolithique, il incarne la triste chair de ce soufflé aux démons, cependant truffé de bonnes surprises : le "Frenchie" Philippe Rousselot à la lumière, le Suédois Peter Stormare en Lucifer, et la Britannique Tilda Swinton, troublante en archange Gabriel pas si blanc que ça !
Brazil
par Caroline Vié
Deux énormes handicaps : un scénario bavard et la présence (absence ?) de Keanu Reeves, l'acteur le plus transparent de la création. On comprend l'étendue des dégâts dès les premières minutes car l'ennui ne tarde pas à s'installer entre bondieuseries et bestioles en images de synthèse.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Sans effets spéciaux, ce film réalisé par un ponte du vidéo-clip, ne serait rien. Toutes les horreurs qui s'y manifestent sont virtuelles, et en tant que telles, inconsistantes. C'est presque aussi irracontable que Matrix, mais moins nouveau puisqu'on fait la part belle au retour du refoulé chrétien, avec une déco piquée aux " gothiques " branchés (...). Les maigres et rares velléités humoristiques sont noyées dans le fracas de ces visions.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Le problème, c'est que tout semble déjà vu.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Ce qui amuse un temps, ici, c'est un univers déterminé par une vision catholique de la damnation, du ciel et de l'enfer, des anges et des démons. Mais cette représentation d'une stricte littéralité du dogme illustre un déroulement progressif des évènements vers n'importe quoi. (...) Un nanar coûteux, quoi.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
C'est durablement plombé dans le gothique, malgré de faibles tentatives pour alléger le propos. (...) Ici, on nage dans la fantasmagorie clipeuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Stephane Moïssakis
Alors certes, Constantine n'est pas le premier empapahoutage de comics recensé, mais tendre à ce point vers le produit calibré pour le catho du Middle-West, en balayant d'un revers de main l'univers nauséeux et fascinant de la BD, revient quand même à tourner le dos aux fans du plus nihiliste des détéctives de l'Occulte.
Paris Match
par Alain Spira
Nicotine contre soufre, qui va gagner ? Certainement pas le spectateur. Constantine, c'est vraiment consternant.
Positif
par Yannick Dahan
Ou comment transformer un comics subversif, ultra violent mais au nihilisme fortement anticlérical, en parangon d'orthodoxie religieuse et de bonne conscience moralisatrice.[...]Constantine dévoie totalement Hellblazer, sa source d'inspiration culte.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Guillemette Olivier
Ridicule. Mais au point qu'un plaisir - pervers - de série B s'installe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Soyons clairs : on n'a rien contre les divertissements bourrins qui affichent zéro neurones au compteur, mais cette fois-ci, c'est l'overdose, il y en a franchement marre de ce cinéma prétendument divertissant qui, en sus de ne rien apporter, tape ostensiblement à l'oeil du spectateur sans rien lui donner en retour. Pas de peur, pas de suspense, pas de surprise.
MCinéma.com
Une oeuvre esthétiquement léchée, un véritable régal pour les yeux. En plus, Keanu Reeves, après s'être fourvoyé dans les deux suites de MATRIX et quelques panouilles, est parfait dans le rôle principal (...). Sa présence est incroyable. (...) Francis Lawrence a dirigé son premier long métrage de main de maître. On attend avec impatience ce qu'il nous réserve pour la suite.
Cinéastes
A vouloir gagner tous les suffrages, Constantine n'ose jamais aller au bout de ses idées, produisant un film bancal, faussement original et au final tout à fait consensuel. Ce cinéma de la demi-mesure résume la décadence à l'alcool et au sexe qui deviennent la marque du diable et prône (en retour) des valeurs puritaines. Seul rescapé des enfers, Keanu Reeves livre ici une interprétation très convaincante, dans un rôle qui le change de son emploi coutumier (...).
L'Ecran Fantastique
A partir d'une BD culte, sombre et nauséeuse, le premier film, bourré d'action et d'humour décalé, d'un clipper qui n'a pas hésité à donner dans le paroxysme. [...] On pourra certes reprocher au film un scénario quelque peu fourre-tout [...] et un certain manque de conviction. [...] Reste un rythme qui ne faiblit jamais, des effets spéciaux toujours convaincants et l'impression durable d'aboir rencontré un film qui [...] ne ressemble à rien de ce qu'on pouvait connaître.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
Une énième variation sur le thème [lutte du bien contre le mal] (...) Pour peu qu'on accepte d'être entraîné dans son univers, on y découvre ensuite des personnages plus nuancés que ne l'impose la traditionnelle répartition entre bons et méchants. C'est tout aussi conventionnel peut-être, mais l'ambiguïté qui s'attache aux uns et aux autres permet de nourrir rebondissements et intérêt.
TéléCinéObs
Keanu Reeves, jusqu'ici cantonné aux rôles de beaux innocents, campe avec brio un anti-héros cynique et suffisant. (...) Bien qu'étonnante, la direction artistique de ce premier long-métrage du réalisateur de clips Francis Lawrence ne parvient pas à faire oublier la faiblesse du scénario, sorte de compilation indigeste des différents volumes du comic book original.
Zurban
Duel entre Bien et Mal, invocation divines, effets spéciaux, plans stylés. Tout y est, avec aux commandes un pro du clip, et face caméra, Keanu Reeves. Toujours aussi monolithique, il incarne la triste chair de ce soufflé aux démons, cependant truffé de bonnes surprises : le "Frenchie" Philippe Rousselot à la lumière, le Suédois Peter Stormare en Lucifer, et la Britannique Tilda Swinton, troublante en archange Gabriel pas si blanc que ça !
Brazil
Deux énormes handicaps : un scénario bavard et la présence (absence ?) de Keanu Reeves, l'acteur le plus transparent de la création. On comprend l'étendue des dégâts dès les premières minutes car l'ennui ne tarde pas à s'installer entre bondieuseries et bestioles en images de synthèse.
L'Humanité
Sans effets spéciaux, ce film réalisé par un ponte du vidéo-clip, ne serait rien. Toutes les horreurs qui s'y manifestent sont virtuelles, et en tant que telles, inconsistantes. C'est presque aussi irracontable que Matrix, mais moins nouveau puisqu'on fait la part belle au retour du refoulé chrétien, avec une déco piquée aux " gothiques " branchés (...). Les maigres et rares velléités humoristiques sont noyées dans le fracas de ces visions.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Le problème, c'est que tout semble déjà vu.
Le Monde
Ce qui amuse un temps, ici, c'est un univers déterminé par une vision catholique de la damnation, du ciel et de l'enfer, des anges et des démons. Mais cette représentation d'une stricte littéralité du dogme illustre un déroulement progressif des évènements vers n'importe quoi. (...) Un nanar coûteux, quoi.
Les Inrockuptibles
C'est durablement plombé dans le gothique, malgré de faibles tentatives pour alléger le propos. (...) Ici, on nage dans la fantasmagorie clipeuse.
Mad Movies
Alors certes, Constantine n'est pas le premier empapahoutage de comics recensé, mais tendre à ce point vers le produit calibré pour le catho du Middle-West, en balayant d'un revers de main l'univers nauséeux et fascinant de la BD, revient quand même à tourner le dos aux fans du plus nihiliste des détéctives de l'Occulte.
Paris Match
Nicotine contre soufre, qui va gagner ? Certainement pas le spectateur. Constantine, c'est vraiment consternant.
Positif
Ou comment transformer un comics subversif, ultra violent mais au nihilisme fortement anticlérical, en parangon d'orthodoxie religieuse et de bonne conscience moralisatrice.[...]Constantine dévoie totalement Hellblazer, sa source d'inspiration culte.
Télérama
Ridicule. Mais au point qu'un plaisir - pervers - de série B s'installe.
aVoir-aLire.com
Soyons clairs : on n'a rien contre les divertissements bourrins qui affichent zéro neurones au compteur, mais cette fois-ci, c'est l'overdose, il y en a franchement marre de ce cinéma prétendument divertissant qui, en sus de ne rien apporter, tape ostensiblement à l'oeil du spectateur sans rien lui donner en retour. Pas de peur, pas de suspense, pas de surprise.