Blonde platine installa défintivement Jean Harlow comme le sex-symbol de son temps. Ainsi, la popularité de l'actrice (et du film) fut telle qu'elle entraîna une mode capillaire chez les femmes de l'époque. En outre, l'actrice garda le sobriquet Blonde platine jusqu'à sa mort en 1937.
Blonde platine était, selon son réalisateur, un film purement commercial destiné à remplir les caisses après l'échec commercial de son précédent film The Miracle woman.
Par ailleurs, Blonde platine fut considéré par les exploitants américains comme le meilleur titre de film de l'année 1931. Ironie du sort, le film devait s'appeler The Gilded cage (La Cage dorée).
Blonde platine était seulement le quatrième film de Robert Williams, un acteur de théâtre. Ce fut également son dernier puisqu'il décéda d'une péritonite trois jours seulement après l'avant-première de Blonde platine.