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Yannickcinéphile
Peut-être le pire film de Georges Lautner, et encore plus grave, le pire (ou du moins l’un des vraiment pires) films d’Aldo Maccione. Le Cow Boy est une catastrophe intersidérale à tous les niveaux. Je cherche encore quelque chose à sauver ! Le scénario est totalement indigent. Partant d’une idée pas pire qu’une autre, le film n’est qu’un enchainement foutraque de scènes décousues, sans véritable liant, hormis peut-être dans les trente dernières minutes. Les gags sont d’une bêtise crasse, l’introduction du fantastique est débile, les acteurs semblent perdus dans ce gloubi-boulga informe qui fait douter que Lautner n’ait pas pris un peu de la poudre blanche du film. Le métrage dure 1 heure 30 mais il donne l’impression de se traîner tellement il n’a rien à dire, c’est impressionnant de médiocrité.
Le casting n’a guère d’intérêt. Maccione n’a pas grand-chose à défendre, hormis se caricaturer lui-même, ce qui fait un peu pitié. Il est enthousiaste, il n’est pas le seul d’ailleurs, Corinne Touzet (par ailleurs très jolie) est elle aussi investie dans son personnage, et Corine Lorain ose même un topless, mais rien n’y fait. Les personnages sont creux, les acteurs en roue libre pour l’essentiel, pas aidés par des dialogues risibles. La palme du cabotinage revient à Michel Peyrelon, complètement allumé, qui passe son temps à gueuler à 110 décibels et à faire des yeux exorbités.
Formellement, il n’y a rien à sauver. Déjà Lautner n’a jamais été un réalisateur extraordinaire, mais ici il fait 0 effort. La mise en scène est plate au possible, la photographie et les décors n’ont aucune allure, et quand il y a des trucs un peu originaux, notamment avec l’introduction (grotesque et inutile) du folklore asiatique, c’est tellement kitsch et fait avec deux bouts de ficelles que c’est nanardesque au possible. Même musicalement ce film est nul, c’est dire ! Il n’y a rien qui reste en tête, c’est du creux.
Le Cow Boy est donc une affligeante pochade comique des années 80 qui prouve que les mauvais films existaient aussi à cette époque et que c’était de l’artillerie lourde ! C’est même sûrement une des pires comédies de cette époque, et c’est étonnant qu’un tel film n’ait pas enterré Lautner sur l’instant (et Maccione aussi !). 0.5
Le casting n’a guère d’intérêt. Maccione n’a pas grand-chose à défendre, hormis se caricaturer lui-même, ce qui fait un peu pitié. Il est enthousiaste, il n’est pas le seul d’ailleurs, Corinne Touzet (par ailleurs très jolie) est elle aussi investie dans son personnage, et Corine Lorain ose même un topless, mais rien n’y fait. Les personnages sont creux, les acteurs en roue libre pour l’essentiel, pas aidés par des dialogues risibles. La palme du cabotinage revient à Michel Peyrelon, complètement allumé, qui passe son temps à gueuler à 110 décibels et à faire des yeux exorbités.
Formellement, il n’y a rien à sauver. Déjà Lautner n’a jamais été un réalisateur extraordinaire, mais ici il fait 0 effort. La mise en scène est plate au possible, la photographie et les décors n’ont aucune allure, et quand il y a des trucs un peu originaux, notamment avec l’introduction (grotesque et inutile) du folklore asiatique, c’est tellement kitsch et fait avec deux bouts de ficelles que c’est nanardesque au possible. Même musicalement ce film est nul, c’est dire ! Il n’y a rien qui reste en tête, c’est du creux.
Le Cow Boy est donc une affligeante pochade comique des années 80 qui prouve que les mauvais films existaient aussi à cette époque et que c’était de l’artillerie lourde ! C’est même sûrement une des pires comédies de cette époque, et c’est étonnant qu’un tel film n’ait pas enterré Lautner sur l’instant (et Maccione aussi !). 0.5
L'inspecteur de police César Capucino, aussi maladroit que téméraire, est envoyé à Paris pour élucider un trafic de drogue dans le quartier chinois.
C'est l'époque du Lautner déclinant, filmant n'importe quoi, n'importe comment. Je n'irai pas jusqu'à dire avec n'importe qui, dans la mesure où la personnalité comique d'Aldo Maccione est trop mal encadrée ou exploitée (par tous ses metteurs en scènes) pour qu'on la rejette définitivement. L'acteur fait ce qu'il peut dans cette loufoque comédie policière (co-signée avec Wolinski) aussi ringarde que pitoyable. Mais ses pitreries affligent et son "one man show" consiste en une addition de situations grotesques, plus bêtes les unes que les autres. Lautner se fourvoie, marchant sur les plates-bandes de réalisateurs excécrables tel un Philippe Clair, grand spécialiste des inepties avec Maccione.
Mise en scène et scénario indigents, direction d'acteurs lamentable, tout est réuni pour faire du "Cow-boy" le plus mauvais film de son réalisateur (encore que certains autres...)
C'est l'époque du Lautner déclinant, filmant n'importe quoi, n'importe comment. Je n'irai pas jusqu'à dire avec n'importe qui, dans la mesure où la personnalité comique d'Aldo Maccione est trop mal encadrée ou exploitée (par tous ses metteurs en scènes) pour qu'on la rejette définitivement. L'acteur fait ce qu'il peut dans cette loufoque comédie policière (co-signée avec Wolinski) aussi ringarde que pitoyable. Mais ses pitreries affligent et son "one man show" consiste en une addition de situations grotesques, plus bêtes les unes que les autres. Lautner se fourvoie, marchant sur les plates-bandes de réalisateurs excécrables tel un Philippe Clair, grand spécialiste des inepties avec Maccione.
Mise en scène et scénario indigents, direction d'acteurs lamentable, tout est réuni pour faire du "Cow-boy" le plus mauvais film de son réalisateur (encore que certains autres...)
Bienvenue à Paris! Honnête, fort, irrèsistible avec les femmes, Aldo Maccione dèclare la guerre aux trafiquants de drogue sous la houlette de Georges Lautner! Un inspecteur qui risque sa peau en se fourrant toujours dans des coups pas possibles...et puis ciao ciao la classe! Quand le rèalisateur mythique des « Tontons flingueurs » se met au niveau d'un Michel Gèrard ou d'un Richard Balducci, ça donne une comèdie policière nanardesque de premier ordre! C'est bien le cas lorsque Aldo se grime en Don Vito Corleone, en moine shaolin ou en grand d'Espagne! Le capital sympathie d'Aldo est indèniable, trop de lourdeurs dèsamorcent malheureusement cette dangereuse mission! Reste deux trois gags (cf. les èboueurs, la poudre qui speede et dèprime...) sous l'ère Platini et le charme d'une jolie journaliste (Valèrie Allain) et d'une belle institutrice (Corinne Touzet) pour se refaire la cerise comme on dit...
Après 40 minutes on n'y comprend plus rien à cette histoire d'inspecteur Cappucino. Mais on est là pour Aldo, alors on regarde...Qu'est-ce qui a bien pu se passer dans les tetes de Georges Lautner et Georges Wolinski pour pondre un scénario pareil !
du film de seconde zone, malgré l'énergie de Aldo Maccione !!!!
bsalvert
un mauvais film qui cumule tous ce qui se fait de mauvais : acteur, scénario, mise en scène.
Le Aldo Macione dans toute sa splendeur ! Cette grande epoque où on ne l'embauchait pas pour jouer un role mais on créait un film pour son rôle !
Tout y est dans le navet ! c'est beau et c'est bon, c'est du vrai Aldo !
ps: pas besoin de parler de scenario car comme dans tous grands film d'Aldo il n'y en a pas !
Tout y est dans le navet ! c'est beau et c'est bon, c'est du vrai Aldo !
ps: pas besoin de parler de scenario car comme dans tous grands film d'Aldo il n'y en a pas !
Un jour,je ne sais plus trop pourquoi,je me suis décidé à regarder "le cow boy",film(si on peut l’appeler ainsi) réalisé par le pourtant très bon Georges Lautner,qui nous a livré auparavant de très bonnes oeuvres.En réalité,j'ignorais totalement la réputation du film et comme un abruti je me suis installé dans mon fauteuil(très confortable d'ailleurs) à l'heure ou le film est supposé commencer.Une heure et demie plus tard,je ne réalisais toujours pas le calvaire que j'ai vécu!Imaginez une seconde,une réalisation digne d'un Max Pécas,des acteurs qui feraient passer mon grille-pain pour Marlon Brando et un scénario aussi développé que mes connaissances sur l'invasion du Liechtenstein en 1806 entre midi et treize heures!
Bref,inutile d'aller plus loin,ce métrage trop long est un navet en puissance que je vous déconseille fortement à moins que vous ayez un petit penchant pour le masochisme(et encore,ça ne le justifie pas!).
Bref,inutile d'aller plus loin,ce métrage trop long est un navet en puissance que je vous déconseille fortement à moins que vous ayez un petit penchant pour le masochisme(et encore,ça ne le justifie pas!).
Parodie des polars des années 70-80, Le cow-boy nous faire rire par moment, nous ennuye à d'autres, le tout se terminant par un Aldo Maccione qui s'auto-parodie également. Egalement une petite référence à Flic ou voyou (même musique à certain moment) du même Georges Lautner...
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