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Acovariim
44 abonnés
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1,0
Publiée le 8 novembre 2008
Alors comment dire... c'est NUL. Mais nul, alors sans intérêt, je sais même pas si ça vaut le coup de louer en dvd, Marie trintignant est molle ou inexistante, CLuzet est mauvais, et bizarrement le meilleur c'est Lambert! Benchetrit est comme d'hab prétentieux à mourir avec ses réal de merde. Films sans intérêt, et oubliable !
Une comédie sympathique au scénario loufoque et à l'humour décalé, hommage à la culture des sixties, servie par une belle bande d'acteurs, excepté Christophe Lambert assez mauvais dans le rôle du cousin resté perché au LSD.
Une bonne idée au départ, pour arriver en fin de compte à une comédie ennuyante... Seuls Jean-Louis Trintignant et Christophe Lambert - par leurs interprétations convaincantes de leurs personnages - peuvent justifier de regarder ce raté.
On ne va pas tourner autour du pot: j’ai détesté. Je trouve que rien ne fonctionne dans ce film du début à la fin. Les personnages sont inintéressants car mal écrits mal caractérisé la palme revenant à celui de Sergi Lopez qui est rapidement insupportable. Seule Marie Trintignant a une ou deux belles scènes mais rien de bien exceptionnel non plus. L’esthétique fait franchement téléfilm d M6 et ne rend pas le film agréable à regarder. Reste forcément une belle playlist à écouter mais niveau cinéma il n’y a pas grand chose à sauver.
Je n'ai pas accroché. Seuls les numéros d'acteurs et actrices méritent le détour, avec des portraits correspondant à beaucoup de personnages très actuels : le roublard arnaqueur qui prend son retour de baton, l'épouse délaissée qui revit en se mettant à chanter, l'acteur sans boulot prêt à tout pour bosser, le fan qui vit sur une autre planète...La galerie est amusante. Par contre, l'histoire tirée par les cheveux et le film trop long refroidissent. A noter qu'il s'agissait de la dernière apparition de Marie Trintignant, dont je n'ai d'ailleurs jamais été fan, et qui explique sans doute les notes presse bien positives.
Alors ce film est inégale car d'un cotés on a une BO bonne , des personnages bien ficelés, et une idée vraiment bonne et une fin plutôt originale. Mais voila le scénario tourne en rond tous comme le personnage de Sergi Lopez alors que celui de Marie Trintignant son personnage évolue et son dénouement est sympa François Cluzet s'eclipse carrément du film pour revenir bizarrement . Outre ça c'est sympa de le voir dans ce genre de rôle christophe lambert par contre la réalisation est classique alors qu'on aurait pu avoir une realisation plus clipé pour coller au film. Non c'est dommage
Un film à la gloire de Marie Trintignant, où l'excellent Cluzet est littéralement sous-employé. Scenar improbable, le film atteint tout de même un moment de grâce dans une scène où la fausse Janis Joplin chante comme la vraie. Une scène profondément à la gloire de la musique de Joplin qui marie très justement l'image au son. Mais bon y a que cette scène qui vaille le coup...
Un employé malhonnête d'une société d'assurance doit rapidement trouver une grosse somme d'argent pour indemniser un assuré (Jean-Louis Trintignant, épisodique et charismatique) dont il a détourné les primes. Pour arriver à ses fins, Sergi Lopez imagine de dépouiller un lointain cousin illuminé (Christophe Lambert) vénérant John Lennon et Janis Joplin. Voilà pour l'explication du titre. Le sujet est cocasse et ne fonctionne qu'à la condition d'admettre -on n'y parvient à aucun moment- la crédulité et la démence du cousin à qui on fait croire que John et Janis sont ressucités... Ce premier film n'est pas tant mauvais que raté, raté dès l'écriture puis, plus tard, dans la mise en scène. Rien ne fonctionne ici, ni le scénario, trop léger et pas crédible, ni les personnages, dont les caractères sont inaboutis et leur évolution malhabile, voire incohérente. Le plus mal lôti des comédiens est bien Christophe Lambert dont la pige flirte avec le grotesque tant le personnage est figé, inexpressif, insignifiant (tandis que la composition de Sergi Lopez n'est pas loin de nous convaincre de l'erreur de casting) La comédie se traine, prisonnière d'un quiproquo poussif et de séquences comiques convenues (Cluzet -au demeurant le seul vraiment à s'en tirer- se prend réellement pour Lennon) ou artificielles. Elle s'étire d'autant plus que Samuel Benchetrit ne trouve jamais le bon rythme ni le ton juste, notamment dans le registre de l'absurde. Et on peut mesurer plus encore la faiblesse du scénario à la façon trop facile dont le réalisateur conclut sa comédie, fait quitter la scène à ses personnages.
Ce film naurait pas été ce quil est sans la mort de Marie Trintignant survenue peu avant la sortie du film. On est en effet déjà dans un certain état desprit lorsquon va voir ce film. Bien sur ce film à des défauts : quelques longueurs, pas mal de clichés et peu d'originalité, une once de folie aurait été la bienvenue. Mais qu'importe, ce film fait du bien à voir et la scène de fin où Marie chante Janis est inoubliable.
Oubliez le contexte émotionnel intense dans lequel sort ce premier film de Samuel Benchetrit, (dernier tourné par Marie Trintignant), et laissez-vous gagner par le plaisir. C'est une comédie vivifiante et originale, avec des comédiens dont le bonheur de jouer est très communicatif. Bref, courez-y sans tarder !
Un film au scénario loufoque, avec un excellent Christophe Lambert (je ne pensais pas dire ça un jour...) en doux-dingue, un Sergi Lopez énergique égal à lui même et Cluzet et Trintignant qui nous résussitent Janis et John.
Quand le fou rire est déclencheur d'Humanisme. ____________
Sur fond d'arnaques " ordinaires ", nous plongeons dès les premiers plans dans l'extra-ordinaire. Scénario et dialogues doux-dingues dignes des grands moments de l'Institut de Pataphysique nous tirent un éclat de rire à chaque minute. Puis, peu à peu, cet univers en folie dévoile la " vraie vie " et le vide de nos quotidiens sans vie, le ton se fait plus grave. Profond. Humain. Humaniste.
La mise en scène délire avec sobriété, les acteurs se prêtent visiblement à coeur joie au tourbillon d'un " non-sense " qui fait sens à contrepied (à contre-sens ?). Bref, un bijou, un feu d'artifice de vie, et avec quelle éthique !
Samuel Benchetrit s’affirme dès son premier film plein d’ambition sans prétention, diluant une charmante mélancolie pop. Le jeu est juste, avec une préférence pour Cluzet, toujours exquis dans le ridicule pathétique, hilarant John Lennon des « Rolling Stones ».