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Un très bon film avec de très bons acteurs,on rit mais on y ressent une certaine poésie,on passe un beau et bon moment.Je mettrais à ce film un 16,5/20.
Aux abords des arènes d'Arles, Marc-Antoine, employé communal, est une figure incontournable de son quartier.
Les auteurs de "Cocagne", comme d'autres souvent avant eux, prétendent faire du Pagnol avec des personnages et des dialogues méridionaux complètement factices. C'est de l'imagerie provençale pour touriste, et pas de la meilleure, avec ses conversations de bistrots et parties de pétanque.
Il n'y a rien à sauver de ce roman d'Yvan Audouard, tel qu'il l'adapte lui-même, et de la réalisation de Maurice Cloche, tellement superficielle et lacunaire qu'on croirait qu'une partie du film a disparu au montage. Les personnages, dont la plupart sont futiles ou inutiles, comme ce jeune couple d'amoureux venant comme un cheveu sur la soupe et introduisant une note dramatique ridicule, n'ont pas la moindre authenticité humaine. Fernandel, dans un rôle insincère et dépourvu de cohérence, cabotine dans la fantaisie d'abord puis dans la gravité ensuite. Car l'insignifiante comédie se prend au sérieux, à partir du moment ou Marc-Antoine spoiler: se met à peindre et quitte le foyer
.
Comment en vouloir aux comédiens d'être mauvais; les rôles sont si creux. Les échanges entre Fernandel et Rellys sont d'une grande pauvreté. Et que dire de la pauvre Dora Doll qui, quand elle n'est pas derrière le bar, est envoyée en cuisine...Car le film, volontiers réac, reflète un esprit patriarcal hors d'âge.
Les auteurs de "Cocagne", comme d'autres souvent avant eux, prétendent faire du Pagnol avec des personnages et des dialogues méridionaux complètement factices. C'est de l'imagerie provençale pour touriste, et pas de la meilleure, avec ses conversations de bistrots et parties de pétanque.
Il n'y a rien à sauver de ce roman d'Yvan Audouard, tel qu'il l'adapte lui-même, et de la réalisation de Maurice Cloche, tellement superficielle et lacunaire qu'on croirait qu'une partie du film a disparu au montage. Les personnages, dont la plupart sont futiles ou inutiles, comme ce jeune couple d'amoureux venant comme un cheveu sur la soupe et introduisant une note dramatique ridicule, n'ont pas la moindre authenticité humaine. Fernandel, dans un rôle insincère et dépourvu de cohérence, cabotine dans la fantaisie d'abord puis dans la gravité ensuite. Car l'insignifiante comédie se prend au sérieux, à partir du moment ou Marc-Antoine spoiler: se met à peindre et quitte le foyer
.
Comment en vouloir aux comédiens d'être mauvais; les rôles sont si creux. Les échanges entre Fernandel et Rellys sont d'une grande pauvreté. Et que dire de la pauvre Dora Doll qui, quand elle n'est pas derrière le bar, est envoyée en cuisine...Car le film, volontiers réac, reflète un esprit patriarcal hors d'âge.
Je ne classerai pas ce film parmi les meilleurs de Fernandel même si son jeu d'acteur lui, reste excellent
spoiler:
On regrette que tout ne se finisse pas si bien pour tout le monde
. Il se laisse malgré tout regarder.
. Il se laisse malgré tout regarder.
Ici Fernandel est chauffeur d'un camion-benne à ordures, il a comme collègue Préboist, et est marié à une pieuse
Italienne qui pourtant se plaint qu'il ne la "touche" plus depuis longtemps. Membre d'un club bouliste, on leur fauche un Douanier Rousseau emblème de cette association, en regardant travailler un peintre abstrait il decide d'en faire une autre copie, devient une célébrité et sombre dans la "débauche". Film pas trop génial, avec une fin conventionnelle et trop moraliste pour moi (l'époque voulait ça !), réservé aux très grands fans de l'homme au faciès chevalin.
Italienne qui pourtant se plaint qu'il ne la "touche" plus depuis longtemps. Membre d'un club bouliste, on leur fauche un Douanier Rousseau emblème de cette association, en regardant travailler un peintre abstrait il decide d'en faire une autre copie, devient une célébrité et sombre dans la "débauche". Film pas trop génial, avec une fin conventionnelle et trop moraliste pour moi (l'époque voulait ça !), réservé aux très grands fans de l'homme au faciès chevalin.
Une petite historiette, teintée de comédie humaine, qui pourrait ravir les moins exigeants. Fernandel est toujours aussi bon et c'est bien lui qui nous fait tenir jusqu'au bout tant sa verve et sa gouaille savent nous captiver.
A voir par les fans de Fernandel
A voir par les fans de Fernandel
Un film gentillet où les acteurs jouent un peu comme dans les films des années 30 de Marcel Pagnol alors qu'il s'agit du début des années 60. Clairement pas le meilleur des films de Fernandel.
Un film pastiche des Pagnol d'avant-guerre, avec un non-sujet basé intégralement sur Fernandel, qui s'en sort plutôt bien dans ce rôle d'illuminé. A ne voir que si - comme moi - vous êtes fan de l'acteur. Egalement pour vous faire une idée de ce qu'était la ville d'Arles voilà 60 ans, avant la "restauration" pour les touristes.
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