Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Le film comporte plusieurs bonnes idées de comédie (une femme chirurgien qui a financé ses études en travaillant dans la boucherie familiale ; le vol avorté de la statue de la Vierge, qui tourne à la farce grinçante). L'interprétation de Romain Duris, impeccable en joueur de trompette qui découvre ses préférences sexuelles en même temps qu'il s'épanouit dans sa musique, contribue à l'intérêt de ce film modeste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Passé l'effet de surprise déstabilisant du premier quart d'heure, on se laisse gagner par la chaleur de cette fiction sympathique, bourrée de clins d'oeil du cinéaste à sa jeunesse et à sa vie, en général.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Sébastien Bénédict
Tout ça, c'est bien cool, un peu nunuche aussi, mais bon, c'est vrai, ce n'est pas grave.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Mais cette comédie chaotique reste bourrée de maldresses. Pas si grave. Puisque le ton reste léger.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Avec une bande-son pleine de soleil, et une bande... de comédiens gentiment déjantés, Sami Bouajila, Romain Duris, Jean-Michel Portal et la ravissante Leonor Varela, Bernard Rapp signe, sur l'exil, la paternité, la recherche d'identité, un film léger, un peu artificiel mais aimable.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Une pochade où les seconds rôles sont plus intéressants que les premiers.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Sophie Grassin
Seul, Romain Duris, lors d'une scène où il relate les circonstances de son adoption, parvient - mais c'est si bref - à installer une émotion.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
Malheureusement, c'est seulement au bout d'une heure quarante que le scénario, bancal et parsemé de clichés, autorise ses personnages à comprendre ce que le spectateur, lui, a compris depuis fort longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Eh oui, c'est guidé par ce genre de clichés et dans une voiture d'un jaune local que Bernard Rapp nous trimballe au gré de ces inventions, multipliant les péripéties hasardeuses, les scènes indigentes bardées de répliques qui tombent à plat.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
par Didier Péron
Le film de Bernard Rapp veut moins être drôle que véhiculer du discours gaga sur la tolérance, la bonté des braves, la générosité des humbles, et les bras vous tombent des cuisses devant tant de naïveté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Benjamin Braddock
Autour de cette idée séduisante, propice à de beaux portraits dans une ambiance quelque peu langoureuse, Rapp s'est hélas planté sur toute la ligne. Le scénario, mal dialogué, bancal du début à la fin, se devine très rapidement. Fidèle à sa réputation british, le réalisateur a choisi un ton résolument flegmatique. Le problème, c'est que sa mise en scène l'est tout autant : tout ceci manque d'entrain, d'ampleur, d'idées. L'ennui poli est souvent au rendez-vous !
Le Monde
Le film comporte plusieurs bonnes idées de comédie (une femme chirurgien qui a financé ses études en travaillant dans la boucherie familiale ; le vol avorté de la statue de la Vierge, qui tourne à la farce grinçante). L'interprétation de Romain Duris, impeccable en joueur de trompette qui découvre ses préférences sexuelles en même temps qu'il s'épanouit dans sa musique, contribue à l'intérêt de ce film modeste.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Passé l'effet de surprise déstabilisant du premier quart d'heure, on se laisse gagner par la chaleur de cette fiction sympathique, bourrée de clins d'oeil du cinéaste à sa jeunesse et à sa vie, en général.
Cahiers du Cinéma
Tout ça, c'est bien cool, un peu nunuche aussi, mais bon, c'est vrai, ce n'est pas grave.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Mais cette comédie chaotique reste bourrée de maldresses. Pas si grave. Puisque le ton reste léger.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Avec une bande-son pleine de soleil, et une bande... de comédiens gentiment déjantés, Sami Bouajila, Romain Duris, Jean-Michel Portal et la ravissante Leonor Varela, Bernard Rapp signe, sur l'exil, la paternité, la recherche d'identité, un film léger, un peu artificiel mais aimable.
Les Inrockuptibles
Une pochade où les seconds rôles sont plus intéressants que les premiers.
Première
Seul, Romain Duris, lors d'une scène où il relate les circonstances de son adoption, parvient - mais c'est si bref - à installer une émotion.
Aden
Malheureusement, c'est seulement au bout d'une heure quarante que le scénario, bancal et parsemé de clichés, autorise ses personnages à comprendre ce que le spectateur, lui, a compris depuis fort longtemps.
Chronic'art.com
Eh oui, c'est guidé par ce genre de clichés et dans une voiture d'un jaune local que Bernard Rapp nous trimballe au gré de ces inventions, multipliant les péripéties hasardeuses, les scènes indigentes bardées de répliques qui tombent à plat.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
Le film de Bernard Rapp veut moins être drôle que véhiculer du discours gaga sur la tolérance, la bonté des braves, la générosité des humbles, et les bras vous tombent des cuisses devant tant de naïveté.
MCinéma.com
Autour de cette idée séduisante, propice à de beaux portraits dans une ambiance quelque peu langoureuse, Rapp s'est hélas planté sur toute la ligne. Le scénario, mal dialogué, bancal du début à la fin, se devine très rapidement. Fidèle à sa réputation british, le réalisateur a choisi un ton résolument flegmatique. Le problème, c'est que sa mise en scène l'est tout autant : tout ceci manque d'entrain, d'ampleur, d'idées. L'ennui poli est souvent au rendez-vous !