Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Une oeuvre intense mais sobre et tout en retenue, un grand film dont les dernières minutes sont d'une bouleversante sérénité.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Les Echos
par Annie Coppermann
Peu bavard, avec pour seule musique une chanson de Marianne Faithful, le film est pourtant... une épreuve. Cinéphiles déprimés, angoissés, fatigués, passez votre chemin ! Un film exigeant, habité par deux comédiens, Bruno Todeschini et Eric Caravaca, dont Patrice Chéreau a tiré une vérité bouleversante.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marie Durand
Au plus près des corps, Chéreau scrute la souffrance et la mort au travail. De la grâce, son film ne manque pas, ne serait-ce par le parcours tortueux qu'il impose avant la libération, par l'âpreté d'une mise en scène risquée, aérienne et pleine de chair.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Un quasi huis clos de Patrice Chéreau, à la fois clinique et charnel, magistrale nature morte.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Sans complaisance, sans fausse pudeur non plus, Chéreau montre ici un corps dans son lent acheminement vers la mort.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Patrice Chéreau a réalisé un film intense et pudique, où le désespoir se dilue insensiblement dans la tendresse. Car ce n'est pas la mort au travail qu'il filme, mais une lente, longue et difficile résurrection. Celle de Luc qui renaît à la fraternité. Au sentiment. Et à la vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Charlotte Garson
Si Patrice Chéreau, qu'on a connu plus ambitieux, a pu réaliser ce film en six mois à la suite d'un projet avorté aux Etats-Unis, c'est qu'il n'a apparemment pas songé à apporter une quelconque vie cinématographique au roman déjà mince de Philippe Besson dont il est tiré.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Aller au-delà de cette dramatisation brute n'est pas si simple. Plutôt que de styliser son récit, d'amplifier les mouvements des sentiments et des sensations, Patrice Chéreau reste au plus près de la réalité. Les péripéties restent minuscules, les coups de théâtre se font éternellement attendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
Une oeuvre intense mais sobre et tout en retenue, un grand film dont les dernières minutes sont d'une bouleversante sérénité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Echos
Peu bavard, avec pour seule musique une chanson de Marianne Faithful, le film est pourtant... une épreuve. Cinéphiles déprimés, angoissés, fatigués, passez votre chemin ! Un film exigeant, habité par deux comédiens, Bruno Todeschini et Eric Caravaca, dont Patrice Chéreau a tiré une vérité bouleversante.
Les Inrockuptibles
Au plus près des corps, Chéreau scrute la souffrance et la mort au travail. De la grâce, son film ne manque pas, ne serait-ce par le parcours tortueux qu'il impose avant la libération, par l'âpreté d'une mise en scène risquée, aérienne et pleine de chair.
Libération
Un quasi huis clos de Patrice Chéreau, à la fois clinique et charnel, magistrale nature morte.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Sans complaisance, sans fausse pudeur non plus, Chéreau montre ici un corps dans son lent acheminement vers la mort.
Télérama
Patrice Chéreau a réalisé un film intense et pudique, où le désespoir se dilue insensiblement dans la tendresse. Car ce n'est pas la mort au travail qu'il filme, mais une lente, longue et difficile résurrection. Celle de Luc qui renaît à la fraternité. Au sentiment. Et à la vie.
Chronic'art.com
Si Patrice Chéreau, qu'on a connu plus ambitieux, a pu réaliser ce film en six mois à la suite d'un projet avorté aux Etats-Unis, c'est qu'il n'a apparemment pas songé à apporter une quelconque vie cinématographique au roman déjà mince de Philippe Besson dont il est tiré.
Le Monde
Aller au-delà de cette dramatisation brute n'est pas si simple. Plutôt que de styliser son récit, d'amplifier les mouvements des sentiments et des sensations, Patrice Chéreau reste au plus près de la réalité. Les péripéties restent minuscules, les coups de théâtre se font éternellement attendre.