Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
(...) on peut être touché par un tel film.
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Un film attachant et plein de promesses, qui on l'espère seront tenues.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce film moderne et sobre sur le désarroi amoureux, sur l'impossibilité de posséder l'objet de sa passion, repose sur le non-dit, l'attente, l'absence, le vide, l'incompréhension, plutôt que sur de longues tirades enflammées. Une belle tragédie au ralenti.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Sous influence stendhalienne, un film qui plonge profondément dans la chair des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Un film attachant, pour découvrir une face cachée de Rome, et peut-être un auteur à suivre ?
Ouirock.com
par Sarah Beaufol
Le résultat est une très belle variation sur les thèmes du désir, de la liberté, et de l'aliénation à l'être aimé. Rodolphe Marconi a réussi à saisir et à transmettre cet instant rare où l'on se sent possédé et démuni à la fois, à la merci de cet autre qui devient tout pour nous, jusqu'à l'obsession.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
Marconi filme avec tendresse une fille légèrement éméchée qui danse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Nicolas Schaller
Si Marconi est proche du pensum nombriliste lors des plates scènes de dialogue, il parvient, en revanche, à rendre touchant son personnage d'amoureux transi par détresse (...) et à jouer sur l'attente.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Marconi interprète le rôle principal avec un mélange de timidité et de cabotinage et évite la complaisance. C'est sans doute ce qui fait le charme trouble de son film.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Des nombreux gros plans de Bruce fumant mélancoliquement sur une musique d'Eric Satie aux vues de Rome à l'amateurisme fictif, le film s'étiole sur ce maigre canevas avec une insoucieuse boursouflure.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Zurban
par Véronique Le Bris
Un jeune réalisateur est envoyé comme pensionnaire à la villa Médicis à Rome. Hélas, la vie l'accable - son frère est mort, sa copine l'a quitté -, et il ne peut que traîner son ennui, sa solitude et sa désolation dans les murs de ce somptueux palais. Il décide d'en faire un film conventionnel, bourré de poncifs et de complaisance pour sa personne - il interprète le rôle-titre -, maltraitant l'image jusqu'à avilir les beautés romaines !
Cahiers du Cinéma
(...) on peut être touché par un tel film.
Chronic'art.com
Un film attachant et plein de promesses, qui on l'espère seront tenues.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Ce film moderne et sobre sur le désarroi amoureux, sur l'impossibilité de posséder l'objet de sa passion, repose sur le non-dit, l'attente, l'absence, le vide, l'incompréhension, plutôt que sur de longues tirades enflammées. Une belle tragédie au ralenti.
Les Inrockuptibles
Sous influence stendhalienne, un film qui plonge profondément dans la chair des sentiments.
MCinéma.com
Un film attachant, pour découvrir une face cachée de Rome, et peut-être un auteur à suivre ?
Ouirock.com
Le résultat est une très belle variation sur les thèmes du désir, de la liberté, et de l'aliénation à l'être aimé. Rodolphe Marconi a réussi à saisir et à transmettre cet instant rare où l'on se sent possédé et démuni à la fois, à la merci de cet autre qui devient tout pour nous, jusqu'à l'obsession.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Marconi filme avec tendresse une fille légèrement éméchée qui danse.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Si Marconi est proche du pensum nombriliste lors des plates scènes de dialogue, il parvient, en revanche, à rendre touchant son personnage d'amoureux transi par détresse (...) et à jouer sur l'attente.
TéléCinéObs
Marconi interprète le rôle principal avec un mélange de timidité et de cabotinage et évite la complaisance. C'est sans doute ce qui fait le charme trouble de son film.
Le Monde
Des nombreux gros plans de Bruce fumant mélancoliquement sur une musique d'Eric Satie aux vues de Rome à l'amateurisme fictif, le film s'étiole sur ce maigre canevas avec une insoucieuse boursouflure.
Zurban
Un jeune réalisateur est envoyé comme pensionnaire à la villa Médicis à Rome. Hélas, la vie l'accable - son frère est mort, sa copine l'a quitté -, et il ne peut que traîner son ennui, sa solitude et sa désolation dans les murs de ce somptueux palais. Il décide d'en faire un film conventionnel, bourré de poncifs et de complaisance pour sa personne - il interprète le rôle-titre -, maltraitant l'image jusqu'à avilir les beautés romaines !