Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Brazil
par Sam Lowry
Sans tomber dans la comédie facile, Bill Condon réussit presque tout le long de son film à nous tenir en haleine, en jouant la carte de l'émotion, autant que faire se peut, il est vrai soutenu par une brochette d'acteurs tous aussi bons et juste les uns que les autres, Laura Linney et Liam Neeson en tête. Un beau film, en somme...
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Obs
par Philippe Boulet-Gercourt
Tout le mérite du film de Bill Condon, servi par le talent de Liam Neeson, est de restituer la complexité de ce héros tragique que fut Kinsey. D'une scène à l'autre l'homme séduit, irrite, touche ou répugne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Bruno Bayon
Qu'attendre d'un film 2005 sur un Rapport sexuel de 1948 signé Condon (sic) et débattant coït, onanisme, vagin, etc. Cassage de couilles en vue. Oui mais non. Grâce à Liam Neeson. Prestance (...), tempes rasées sous brosse ananas, Neeson en routard du genre épique (Schindler, Michael Collins, Rob Roy) compose un Kinsey plus Beckett que nature (prochain rôle ?), démultiplié en variables ado et vermeil crédibles.
Première
par Christian Jauberty
La construction du film est élégante, pleine de jolie idées de mise en scène et de montage. Le résultat est sobre mais pas austère, éducatif sans être pédant, excitant mais jamais graveleux.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Cette noirceur, certes noyée sous des nappes de violons, rehausse l'intérêt du film, d'un classicisme formel absolu. Si certaines scènes valent le détour par leur justesse (...) c'est avant tout la qualité de l'interprétation qui marque le film ! (...) Intéressant en dépit des longueurs.
Paris Match
par Alain Spira
Ce film rend hommage à cet universitaire qui s'impliqua très intimement dans ses recherches. [...] Réalisé de façon un peu trop classique et sage, ce film biographique est admirablement servi par l'intépretation de Liam Neeson.
Score
par Miguel Almereyda
Liam Neeson nous livre une interprétation sobre, couvrant son personnage sur plusieurs décennies avec conviction (même quand il est supposé avoir 20 ans). Le film a l'audace d'être à la fois académique et osé.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Une tornade sur l'Amérique puritaine derrière le noeud papillon du doc.
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guérand
Liam Neeson se révèle une fois de plus prodigieux dans ce rôle de composition, mais c'est Laura Linney qui crève l'écran dans le rôle de sa fidèle compagne. [...] Bill Condon démontre brillament sa fascination pour les manipulateurs.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Pour que sa piqûre de rappel touche un large public, Bill Condon a choisi la forme classique, au point de frôler l'académisme, du biopic - le film-biographie. Le " matériau ", lui, n'est pas banal, même si le réalisateur a fait le choix d'expulser hors champ tout ce qui pourrait être scabreux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Charlotte Lipinska
S'appuyant sur le contexte moral de l'époque autant que sur les contradictions de la vie privée du Dr Kinsey, le film est historiquement pasionnant mais un peu décevant par sa facture, prude et classique au regard de la personnalité de ce "Freud américain" avant-gardiste.
aVoir-aLire.com
par Sophie Lecerf
Si la première partie du film, consacrée à la fulgurante et enthousiasmante ascension du professeur Kinsey est très réussie, Bill Condon se contente, dans la deuxième, de narrer sa disgrâce, sans analyser véritablement les raisons de son échec. [...] A croire que les cinéastes américains sont encore malgré eux taraudés par le complexe du Cercle des poètes disparus, autrement dit le bon professeur incompris. Il a beau avoir la tête de Liam Neeson, ça devient lassant...
France Soir
par Laurent Mereu-Boulch
Biographie certes très rigoureuse sur un plen factuel, donc forcément pédagogique, le fil pêche malheureusement par son académisme hollywoodien, une réalisation sans originalité et une direction d'acteur très convenue. Le réalisateur ne s'est pas assez attaché à la psychologie de son personnage principal, pourtant parfait client pour Freud.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Sexe sans appeal (...) Ici, l'interprète, Liam Neeson, a autant de charisme qu'une poêle à frire, et la mise en scène reste timorée. Le réalisateur est conforme à l'aseptisation prophylactique suggérée par son patronyme (Condon).
Le Monde
par Jen-Luc Douin
Cette plongée dans une Amérique qui déguise la morale en statistiques et reste obnubilée par la délinquance sexuelle autant que par le racisme s'avère plus passionnante que son traitement cinématographique. De facture assez lourde (...) Dr Kinsey fige les protagonistes dans ce que la biographie à l'hollywoodienne produit de plus académique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
D'un sujet passionnant - l'invention de la sexologie en 1948 par un entomologiste, Alfred Kinsey - le réalisateur Bill Condon, malgré son nom prédestiné, à fait un biopic ordinaire et sans relief.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Brazil
Sans tomber dans la comédie facile, Bill Condon réussit presque tout le long de son film à nous tenir en haleine, en jouant la carte de l'émotion, autant que faire se peut, il est vrai soutenu par une brochette d'acteurs tous aussi bons et juste les uns que les autres, Laura Linney et Liam Neeson en tête. Un beau film, en somme...
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Tout le mérite du film de Bill Condon, servi par le talent de Liam Neeson, est de restituer la complexité de ce héros tragique que fut Kinsey. D'une scène à l'autre l'homme séduit, irrite, touche ou répugne.
Libération
Qu'attendre d'un film 2005 sur un Rapport sexuel de 1948 signé Condon (sic) et débattant coït, onanisme, vagin, etc. Cassage de couilles en vue. Oui mais non. Grâce à Liam Neeson. Prestance (...), tempes rasées sous brosse ananas, Neeson en routard du genre épique (Schindler, Michael Collins, Rob Roy) compose un Kinsey plus Beckett que nature (prochain rôle ?), démultiplié en variables ado et vermeil crédibles.
Première
La construction du film est élégante, pleine de jolie idées de mise en scène et de montage. Le résultat est sobre mais pas austère, éducatif sans être pédant, excitant mais jamais graveleux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Cette noirceur, certes noyée sous des nappes de violons, rehausse l'intérêt du film, d'un classicisme formel absolu. Si certaines scènes valent le détour par leur justesse (...) c'est avant tout la qualité de l'interprétation qui marque le film ! (...) Intéressant en dépit des longueurs.
Paris Match
Ce film rend hommage à cet universitaire qui s'impliqua très intimement dans ses recherches. [...] Réalisé de façon un peu trop classique et sage, ce film biographique est admirablement servi par l'intépretation de Liam Neeson.
Score
Liam Neeson nous livre une interprétation sobre, couvrant son personnage sur plusieurs décennies avec conviction (même quand il est supposé avoir 20 ans). Le film a l'audace d'être à la fois académique et osé.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Une tornade sur l'Amérique puritaine derrière le noeud papillon du doc.
TéléCinéObs
Liam Neeson se révèle une fois de plus prodigieux dans ce rôle de composition, mais c'est Laura Linney qui crève l'écran dans le rôle de sa fidèle compagne. [...] Bill Condon démontre brillament sa fascination pour les manipulateurs.
Télérama
Pour que sa piqûre de rappel touche un large public, Bill Condon a choisi la forme classique, au point de frôler l'académisme, du biopic - le film-biographie. Le " matériau ", lui, n'est pas banal, même si le réalisateur a fait le choix d'expulser hors champ tout ce qui pourrait être scabreux.
Zurban
S'appuyant sur le contexte moral de l'époque autant que sur les contradictions de la vie privée du Dr Kinsey, le film est historiquement pasionnant mais un peu décevant par sa facture, prude et classique au regard de la personnalité de ce "Freud américain" avant-gardiste.
aVoir-aLire.com
Si la première partie du film, consacrée à la fulgurante et enthousiasmante ascension du professeur Kinsey est très réussie, Bill Condon se contente, dans la deuxième, de narrer sa disgrâce, sans analyser véritablement les raisons de son échec. [...] A croire que les cinéastes américains sont encore malgré eux taraudés par le complexe du Cercle des poètes disparus, autrement dit le bon professeur incompris. Il a beau avoir la tête de Liam Neeson, ça devient lassant...
France Soir
Biographie certes très rigoureuse sur un plen factuel, donc forcément pédagogique, le fil pêche malheureusement par son académisme hollywoodien, une réalisation sans originalité et une direction d'acteur très convenue. Le réalisateur ne s'est pas assez attaché à la psychologie de son personnage principal, pourtant parfait client pour Freud.
L'Humanité
Sexe sans appeal (...) Ici, l'interprète, Liam Neeson, a autant de charisme qu'une poêle à frire, et la mise en scène reste timorée. Le réalisateur est conforme à l'aseptisation prophylactique suggérée par son patronyme (Condon).
Le Monde
Cette plongée dans une Amérique qui déguise la morale en statistiques et reste obnubilée par la délinquance sexuelle autant que par le racisme s'avère plus passionnante que son traitement cinématographique. De facture assez lourde (...) Dr Kinsey fige les protagonistes dans ce que la biographie à l'hollywoodienne produit de plus académique.
Les Inrockuptibles
D'un sujet passionnant - l'invention de la sexologie en 1948 par un entomologiste, Alfred Kinsey - le réalisateur Bill Condon, malgré son nom prédestiné, à fait un biopic ordinaire et sans relief.