Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
(...) il n'est pas besoin de connaître l'oeuvre de Fei Mu, ni d'ailleurs d'aucune érudition particulière, pour goûter la finesse, la sensualité et le radical mais sobre désespoir qui irradient du film de Tian.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Les partis-pris de mise en scène sont ici d'autant plus impressionnants qu'ils sont au service d'une maîtrise invisible, d'une manière magistrale, d'une précision d'orfèvre de scruter les vibrations intimes et les désespoirs rentrés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier Péron
Le film de Tian est lui-même splendide à tous égards : scénario (de l'écrivain Ha Cheng, d'après le script original de Fu Mei), acteurs, lumière (par l'immense chef opérateur Mark Lee Pingbin, compagnon de travail de Hou Hsiao-hsien), musique et mise en scène.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Si le dispositif familial et amoureux ressortit à première vue au mélodrame ou à la farce, jamais le film ne s'engage dans ces traces. La rigueur de la mise en scène permet que s'opèrent en une succession iridescente les affleurements et enfouissements pulsionnels que chacun subit comme à son corps aussi défendu que défendant.
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Hubert Niogret
(...) la version 2002 était une entreprise risquée que Tian Zhuangzhuang conduit magnifiquement à son terme, à l'exception d'une mise en place un peu hésitante (...) Son utilisation de l'espace est parfois proche d'une conception théâtralisée et distanciée, mais jamais dépourvue d'émotions.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Les blessures de la guerre, les beautés naissantes du printemps, la confusion des sentiments (...) sont évoquées avec subtilité, donnan toute sa mesure à la grande délicatesse, toute chinoise, des habitants de cette petite ville.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
C'est assez beau, même au prix d'un classicisme un peu compassé (...) Un film désespéré, alors ? On serait tenté de le dire mais le mot paraît impropre à cet univers atone, à ce mélodrame retenu, presque sans pleurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Une mise en scène délicate, mais d'une virtuosité sclérosante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
(...) la version 2003 paraît malheureusement plus fade et sur bien des points moins avant-gardiste (...) un bon mélo sur une trame universelle (...) De bonnes scènes se détachent d'une légère torpeur, notamment un long repas qui se délite en beuverie. L'ensemble est bien joué, subtil et sensuel (...)
Première
par Olivier de Bruyn
Malgré quelques jolis effets de mise en scène, là où certains sont dans la retenue volontaire, on est ici dans l'inertie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
par Philippe Piazzo
(...) la mise en scène des sentiments verse dans une théâtralité qui nous laisse bien loin de ressentir le début d'une émotion. Cette histoire d'amour impossible (...) finit par s'user elle-même entre les quatre murs de cette maison utilisée comme un décor de carton-pâte, et reste définitivement du côté de l'artificiel.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Charlotte Garson
(...) Tian Zhuangzhuang (...) n'esthétise pas à outrance ce semi huis clos dans une grande maison du XVIIe siècle ravagée par la guerre. Il opère comme la beauté de sa protagoniste, Yuwen, d'abord insoupçonnée, éclatant à la faveur d'un coup violent qui brise une vitre, d'un regard trop longtemps soutenu.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cahiers du Cinéma
(...) il n'est pas besoin de connaître l'oeuvre de Fei Mu, ni d'ailleurs d'aucune érudition particulière, pour goûter la finesse, la sensualité et le radical mais sobre désespoir qui irradient du film de Tian.
Le Monde
Les partis-pris de mise en scène sont ici d'autant plus impressionnants qu'ils sont au service d'une maîtrise invisible, d'une manière magistrale, d'une précision d'orfèvre de scruter les vibrations intimes et les désespoirs rentrés.
Libération
Le film de Tian est lui-même splendide à tous égards : scénario (de l'écrivain Ha Cheng, d'après le script original de Fu Mei), acteurs, lumière (par l'immense chef opérateur Mark Lee Pingbin, compagnon de travail de Hou Hsiao-hsien), musique et mise en scène.
L'Humanité
Si le dispositif familial et amoureux ressortit à première vue au mélodrame ou à la farce, jamais le film ne s'engage dans ces traces. La rigueur de la mise en scène permet que s'opèrent en une succession iridescente les affleurements et enfouissements pulsionnels que chacun subit comme à son corps aussi défendu que défendant.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
(...) la version 2002 était une entreprise risquée que Tian Zhuangzhuang conduit magnifiquement à son terme, à l'exception d'une mise en place un peu hésitante (...) Son utilisation de l'espace est parfois proche d'une conception théâtralisée et distanciée, mais jamais dépourvue d'émotions.
TéléCinéObs
Les blessures de la guerre, les beautés naissantes du printemps, la confusion des sentiments (...) sont évoquées avec subtilité, donnan toute sa mesure à la grande délicatesse, toute chinoise, des habitants de cette petite ville.
Télérama
C'est assez beau, même au prix d'un classicisme un peu compassé (...) Un film désespéré, alors ? On serait tenté de le dire mais le mot paraît impropre à cet univers atone, à ce mélodrame retenu, presque sans pleurs.
Les Inrockuptibles
Une mise en scène délicate, mais d'une virtuosité sclérosante.
MCinéma.com
(...) la version 2003 paraît malheureusement plus fade et sur bien des points moins avant-gardiste (...) un bon mélo sur une trame universelle (...) De bonnes scènes se détachent d'une légère torpeur, notamment un long repas qui se délite en beuverie. L'ensemble est bien joué, subtil et sensuel (...)
Première
Malgré quelques jolis effets de mise en scène, là où certains sont dans la retenue volontaire, on est ici dans l'inertie.
Studio Magazine
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Aden
(...) la mise en scène des sentiments verse dans une théâtralité qui nous laisse bien loin de ressentir le début d'une émotion. Cette histoire d'amour impossible (...) finit par s'user elle-même entre les quatre murs de cette maison utilisée comme un décor de carton-pâte, et reste définitivement du côté de l'artificiel.
Chronic'art.com
(...) Tian Zhuangzhuang (...) n'esthétise pas à outrance ce semi huis clos dans une grande maison du XVIIe siècle ravagée par la guerre. Il opère comme la beauté de sa protagoniste, Yuwen, d'abord insoupçonnée, éclatant à la faveur d'un coup violent qui brise une vitre, d'un regard trop longtemps soutenu.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr