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9 critiques presse
Aden
par La rédaction
De film en film Angelopoulos continue d'explorer son pays intérieur, la Grèce. On peut se sentir étouffé par l'outrance tragique de ce portrait de femme guidé par un regard très masculin, mais la force de la mise en scène, sa poésie, s'impose comme une évidence.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Angelopoulos retrouve dans Eleni le mystère de ses rituels oniriques : ses pluies et ses rêves, ses mariages poignants, ses pas de danse éphémères, ses horizons bouchés, ses airs d'accordéon interrompus par la guerre, ses visions expressionnistes. Le nouveau Angelopoulos à tout du songe.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Syvie Rollet
Le film marque un nouveau déplacement au sein de l'oeuvre d'Angelopoulos. Une oeuvre magistrale et poignante.
La critique complète est disponible sur le site Positif
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Prosaïque, linéaire, elliptique, abstrait, foisonnant, poignant et d'une noirceur terrible : du pur Angelopoulos.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Le film présenté comme le premier volet d'une trilogie dédiée à l'histoire du siècle ambitionne de se placer dans le registre de la tragédie...pourquoi pas ? Mais là il s'agit juste d'une grave dépression. Cependant Angelopoulos conserve ce style si particulier qui a fait sa renommée.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Olivier de Bruyn
Ce nouvel ouvage d'Angelopoulos malgré ses intenses beautés formelles, est écrasé par la lourdeur théorique et la solennité.
La critique complète est disponible sur le site Première
MCinéma.com
par Rémy Batteault
En refusant tout humour, tout recul sur les événements qu'il présente, se contentant de montrer le malheur jusqu'à plus soif, le cinéaste se coupe d'une bonne partie des spectateurs.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
(...) le réalisateur peine à donner chair à des personnages trop archétypaux. On reste avec l'impression d'un film monumental figé.
Aden
De film en film Angelopoulos continue d'explorer son pays intérieur, la Grèce. On peut se sentir étouffé par l'outrance tragique de ce portrait de femme guidé par un regard très masculin, mais la force de la mise en scène, sa poésie, s'impose comme une évidence.
Le Monde
Angelopoulos retrouve dans Eleni le mystère de ses rituels oniriques : ses pluies et ses rêves, ses mariages poignants, ses pas de danse éphémères, ses horizons bouchés, ses airs d'accordéon interrompus par la guerre, ses visions expressionnistes. Le nouveau Angelopoulos à tout du songe.
Positif
Le film marque un nouveau déplacement au sein de l'oeuvre d'Angelopoulos. Une oeuvre magistrale et poignante.
aVoir-aLire.com
Prosaïque, linéaire, elliptique, abstrait, foisonnant, poignant et d'une noirceur terrible : du pur Angelopoulos.
Cahiers du Cinéma
Le film présenté comme le premier volet d'une trilogie dédiée à l'histoire du siècle ambitionne de se placer dans le registre de la tragédie...pourquoi pas ? Mais là il s'agit juste d'une grave dépression. Cependant Angelopoulos conserve ce style si particulier qui a fait sa renommée.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Ce nouvel ouvage d'Angelopoulos malgré ses intenses beautés formelles, est écrasé par la lourdeur théorique et la solennité.
MCinéma.com
En refusant tout humour, tout recul sur les événements qu'il présente, se contentant de montrer le malheur jusqu'à plus soif, le cinéaste se coupe d'une bonne partie des spectateurs.
TéléCinéObs
(...) le réalisateur peine à donner chair à des personnages trop archétypaux. On reste avec l'impression d'un film monumental figé.