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NeoLain
4 980 abonnés
4 741 critiques
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1,0
Publiée le 20 mai 2011
Le justicier est de 4, sauf que là, le pistolet s'enraye... Bonjour l'ambiance film TV, ce volet manque de crédibilité, dans le genre je tombe de haut et attérit sur un petit tas de sacs poubelles puis je me relève sans rien. Ensuite, même si une certaine violence est présente le charme se perd. Autant se taper un Seagal en DTV.
Pépé Bronson part en guerre contre les dealeurs ! le plus violent des sexagenaire va faire tomber non pas 1 mais 2 grand trafiquant de drogue c'est completement con mais qu'est ce qu'on se marre
Nanar oui mais pas jouissif, si l'on sourit aux réflexions ultra-conservatrices sur la drogue et la violence, qui décomposent le monde en deux parties (méchants dealeurs et gentils enfants), on s'ennuie surtout devant un film qui à l'image de Bronson est fatigué de s'auto-parodier, d'où des scènes d'action ultra-lentes (la scène des menottes!?!), un scénario pourri, des punchlines mal placées et toutes nazes. Même un nanar ça se travaille pour un pur plaisir débile
Ce qui manque cette fois-ci, c'est la psychologie du premier volet, la vengeance du second et la sauvagerie du troisième. Un thriller tout de même très efficace où Charles Bronson continue à faire le ménage au beau milieu d'une guerre des gangs !
Pas de surprises avec ce quatrième volet de Death Wish où une fois de plus Paul Kersey perd ses proches et se venge en partant en croisade contre tous les criminels des grandes villes.
Bronson est plus proche d'un exécuteur ici que d'un justicier, un 4ème opus vraiment navrant (le précédent était au moins un nanar amusant à voir), une réelle nullité sans intérêt aux scènes d'action pauvres et médiocres. Pauvre Bronson, seul le 1er justicier est un bon film, ses suites ne font pas honneur au cinéma.
Alors là, j'dis chapeau à Charles Bronson. A plus de 60 piges, il arrive à buter tous les trafiquants de drogue de Los Angeles. Faut dire, après avoir buté sa femme, sa fille, son meilleur copain, sa nouvelle copine, ces enfoirés de gangsters s'attaquent à sa nouvelle nouvelle petite ami (sont vraiment cons ces gangsters, à croire qu'ils n'ont pas retenu les leçons des précédents épisodes). Les scènes d'action sont aussi risibles que le scénario (la mort du grand méchant de l'histoire est énorme, les méchants ne touchent jamais Bronson mais lui les tue en 1 coup). Bref, du bon gros nanar bien bourrin à dégustr entre potes.
Après trois opus fortement réussis oscillant entre le réalisme violent et l’action bien fun, Death Wish 4 déçoit fortement à cause d’un rythme perfectible, de scènes d’action peu soignées et d’un scénario plutôt maigre sur fond de manipulations. Reste le charisme de Charles Bronson et le plaisir de le retrouver dans son personnage mythique mais dans le fond, cet avant-dernier opus de la saga est moyennement convainquant sans pour autant être désagréable à suivre et s’adresse uniquement aux inconditionnels de la saga.
Depuis le premier volet, Paul Kersey fait la navette entre New York et Los Angeles, histoire de se faire un peu oublier, vu le carnage à chaque fois. De retour à Los Angeles, il ne fera pas de cadeaux aux trafiquants de drogues. Il n'y a plus la psychologie du premier volet mais Charles Bronson assure toujours autant. Un très bon film.
C'est exagéré mais il faut l'avouer, Bronson sait faire le ménage et il ne se gêne pas de le faire savoir. Un peu moins d'action que dans le 3 mais toujours aussi divertissant.
La série des Death Wish qui avait mal commencé... ne déroge pas à la règle, ça reste mauvais. Seul point positif (quoique) c'est qu'ici il y a quelques clins d'oeil à James Bond !