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Un visiteur
0,5
Publiée le 9 mai 2010
Nanar oui mais pas jouissif, si l'on sourit aux réflexions ultra-conservatrices sur la drogue et la violence, qui décomposent le monde en deux parties (méchants dealeurs et gentils enfants), on s'ennuie surtout devant un film qui à l'image de Bronson est fatigué de s'auto-parodier, d'où des scènes d'action ultra-lentes (la scène des menottes!?!), un scénario pourri, des punchlines mal placées et toutes nazes. Même un nanar ça se travaille pour un pur plaisir débile
Le justicier est de 4, sauf que là, le pistolet s'enraye... Bonjour l'ambiance film TV, ce volet manque de crédibilité, dans le genre je tombe de haut et attérit sur un petit tas de sacs poubelles puis je me relève sans rien. Ensuite, même si une certaine violence est présente le charme se perd. Autant se taper un Seagal en DTV.
Et on repart pour un tour avec notre cher justicier pour aller casser de la vilaine racaille ! Le résultat est similaire aux autres: c'est bête, c'est méchant, c'est réac et c'est mauvais au point d'être drôle. Paul Kersey (Charles Bronson) vit maintenant avec Karen (Kay Lenz) et Erika. Cette dernière va succomber à une overdose de cocaïne. Après avoir tué le dealer responsable de sa mort, Paul est contacté par Nathan White (John P. Ryan), un homme puissant qui propose à Kersey de débarrasser la ville de deux puissants barons de la drogue... La réalisation n'est pas mauvaise mais pas grandiose non plus. Les prises de vues restent très simples, la mise en scène est pas mal, la profondeur de champ n'est pas toujours exquise, le cadrage majoritairement bon et les mouvements assez réussis. Le scénario n'est pas lent mais très répétitif: Bronson va passer son temps à éliminer les grosses huiles de la drogue pendant une heure de film jusqu'à un climax aussi farfelu que stupide. Le rythme est là mais cela n’empêche pas un certain ennui. Les rebondissements ne sont guère impressionnants et les scènes d'action manquent de punch. Les acteurs sont assez mauvais, ils surjouent beaucoup. Les personnages sont des coquilles vides très stéréotypées. Les dialogues fonctionnent (un peu) la plupart du temps. La photographie est pas trop mal, la lumière est bien travaillée et les lumières passables. Le montage est très anarchique, il semble avoir été fait au hasard. Les costumes ne sont pas très bons, les décors sont vides et la musique est moins insupportable que dans les films précédents mais c'est pas toujours très subtil. "Le Justicier braque les dealers" (Oscar du titre le plus ridicule ?) est un concentré de stupidité et de ringardise qui est amusant à voir au moins une fois.
"C'est pas ta faute si ta fille est morte... C'est la faute de cette drogue de merde!" Ça s'annonce assez fort, mais il n'en est rien... On quitte le (bon) nanar pour la (mauvaise) série B. Fini les bonnes vieilles exécutions sommaires, on entre dans le petit film à soi-disant suspense. Papi Bronson se balade tranquillement dans l'histoire, en exécutant tous les méchants, du petit dealer au gros bonnet, en passant par le flic ripou. On attend notre lot de viande froide comme dans les premiers opus, malheureusement Charles se contente de passer d'un méchant à l'autre, au gré d'un scénario basique qui nous réserve quand même une fin inattendue... Mais avait-on besoin d'un twist-ending dans ce genre de film? On veut voir notre vigilante préféré dessouder du dealer, pas une vieille histoire de qui a tué qui! Dommage, le vigilante avait de quoi nous faire rêver, il nous propose ici une (trop) simple histoire de série B sans originalité...
Alors que la fille de sa nouvelle compagne meurt d'une overdose, Paul Kersey reprend les armes, et part dans une croisade contre les cartels de la drogue. Si "Death Wish 3" était un nanar amusant, ce quatrième volet a malheureusement tout du nanar mou du genou, façon téléfilm d'action au rabais. La réalisation est fade à souhait, les dialogues pauvrissimes, et les acteurs souvent à côté de la plaque. Charles Bronson semble à peine concerné par ce qu'on lui fait jouer, tandis que l'on retrouve l’immanquable message propagandiste en faveur des armes à feu et de l'auto-justice, typique de cette franchise sécuritaire. A noter que le scénario du film contient pas mal de crétineries : outre l'idée qu'exterminer les dealers résout forcément le problème de la drogue (aucune remise en question des consommateurs !), on a le droit à quelques scènes d'action assez débiles. Mais l'ensemble demeure mauvais et ennuyeux.
En-dessous de son prédécesseur, clairement moins spectaculaire mais aussi moins prenant dans son intrigue, puisqu'il ne s'agit plus de s'en prendre à des petites frappes de la rue mais au trafic de drogue, ce n'est pas le même type d'adversaires, c'est plus un film d'action standard j'ai envie de dire.
Jusqu'au bout du ridicule, Charles Bronson incarne à nouveau ce justicier afin de combattre la drogue présente partout. Se foutant de tout et de tout le monde, n'ayant aucune considération pour personne, totalement inexpressif, il ne se contentera pas de braquer des dealers. Mais de les traquer méthodiquement, de les liguer les uns contre les autres, et continuer son œuvre de mort même sur les miettes qu'il reste. A la même époque, les films de Stallone et Schwarzenegger étaient drôles volontairement ou involontairement avec le recul et reflétaient leur époque. Des supers-héros bodybuildés qui avaient tous un idéal, un but, une quête à accomplir : devenir champion du monde de boxe pour Rocky, sauver leur épouse, leur fille, tuer un type. Chez Chuck Norris aussi même si ses films sont critiquables sur bien des points. Bronson n'a rien. Il est tout seul. Il se contente de tuer. Comme un robot sans âme. Au lieu de partir à la retraite et d'arrêter le massacre. Il préfère se ridiculiser à sortir avec une femme qui pourrait être sa fille ou sa petite-fille, à terrasser à l'arme de guerre des armées entières de toxicos ayant l'âge d'être ses petits-enfants et sans jamais se faire toucher. Ridicule. Consternant.
baisse de forme pour Charles Bronson qui commence à accuser le poids des ans. Dans ce 4eme volet de "death wish" fini de se battre avec les voyous de la jungle urbaine qui faisaient une partie du charme de la franchise, cette fois la cible est une banale bande de trafiquants de drogues, moins fun. Le réalisateur a également changé. Moins bon donc mais atteint la moyenne quand meme. 2.5 / 5
Bronson est plus proche d'un exécuteur ici que d'un justicier, un 4ème opus vraiment navrant (le précédent était au moins un nanar amusant à voir), une réelle nullité sans intérêt aux scènes d'action pauvres et médiocres. Pauvre Bronson, seul le 1er justicier est un bon film, ses suites ne font pas honneur au cinéma.
Après trois opus fortement réussis oscillant entre le réalisme violent et l’action bien fun, Death Wish 4 déçoit fortement à cause d’un rythme perfectible, de scènes d’action peu soignées et d’un scénario plutôt maigre sur fond de manipulations. Reste le charisme de Charles Bronson et le plaisir de le retrouver dans son personnage mythique mais dans le fond, cet avant-dernier opus de la saga est moyennement convainquant sans pour autant être désagréable à suivre et s’adresse uniquement aux inconditionnels de la saga.
Décidément, Paul Kersey porte la poisse à ses proches! Dans ce quatrième épisode, c’est l’overdose de sa belle-fille qui pousse papy Bronson à partir en guerre contre le cartel de la drogue. Le film est moins invraisemblable que l’opus précédent mais également beaucoup moins drôle. Et puis, on a beaucoup de mal à comprendre comment le héros reste en vie jusqu’au bout du film avec sa vivacité de tortue anémique et ses plans foireux. Heureusement que les méchants visent comme des pieds…
Pas de surprises avec ce quatrième volet de Death Wish où une fois de plus Paul Kersey perd ses proches et se venge en partant en croisade contre tous les criminels des grandes villes.
On frôle la nullité la, franchement: déjà, le titre "Le justicier braque les dealers" c est le titre le plus con que j'ai jamais entendu! Réalisé par Jack Lee Thompson ( L or de MacKenna, Les canons de Navaronne)et qui dans les années 80 faisait vraiment n importe quoi! 4eme collaboration entre lui et Bronson , c'est vraiment la pire ( quoique "Kinjite, sujets tabous" 1989 n'est pas mieux....) Pourquoi ne laisse t on pas le personnage de Paul Jersey la ou il aurait du rester, c'est a dire dans le premier opus au lieu de le promener dans 4 autres films aussi peu original les uns que les autres! Des ficelles usées et de la violence gratuite que Bronson n'arrive pas a sauver. Le justicier dans son avant dernier opus J osé pas parler du film suivant" le justicier: l ultime combat" . Je préfère largement " Le bison blanc"(1977) et " Le justicier de Minuit"(1983) qui sont des collaborations precedentés du duo Bronson/Lee Thompson qui aurait pu faire autre chose que de malmener ce pauvre justicier et de le faire tourner en rond...
On frôle la nullité avec ce 4ème opus. Papy Bronson sort les gros calibres pour se débarrasser des dealers qui ont tué sa belle-fille et franchement ça en devient lassant. Dès le début du film on sait ce qui va se passer et franchement l'intérêt de le regarder réside par le charisme de Bronson.