Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
2,5
Publiée le 8 juin 2009
20 ans plus tard, le petit singe parlant a grandi, il vit toujours dans le cirque qui l’a caché, et avec son sauveur, va devoir affronter une société, avide de réduire à néant le singe, le transformant en animal de compagnie. Au-delà du simple film d’action un brin fantastique, on peut voir dans cette quête pour la liberté, un message anti-dictature, anti esclavagisme ou la sauvegarde d’une espèce l’emporte sur tout le reste. Pas aussi fort que le premier opus de la saga, le meilleur, mais usant d’actions/réflexions, ce quatrième morceau vaut un coup d’œil.
Voila pourquoi je ne suis pas un adepte de la science fiction on est plus dans le livre de Pierre bouille on est maintenant dans un autre parallèle celui de l'animal domestique c'est à dire le singe devient l'esclave de l'homme ceasar fils de Cornelius et Zira va devenir le leader des singes etc...etc je trouve ça idiot d'autant plus que je ne comprend pas très bien ou ce trouve l'histoire ou c'était avant Georges Taylor ou après lui .il parait qu'il va y avoir un remake de ce lui ci c'est à dire un prequel entre les évadés de la...et la conquête de la...J'espère qu'il saura mieux réussis que ces deux la
Le meilleur de la saga pour moi. Entre la déchéance humaine (esclavagisme, torture animale, violence, bombe nucléaire) et l'émergence d'un messie, l'histoire se penche sur le sens de la société et son avenir. Un film très réussi. Avec toujours des maquillages et un jeu d'acteur excellents.
Dans la droite lignée du précédent opus la Conquète de la planète des singes pousse au paroxysme le principe des films. Elle y décrit la société humaine qui a perdu ses animaux domestiques et qui a adopté le singe avant d'en faire son esclave. Elle reste pourtant terrorisée par la menace d'un singe plus intelligent qui lèvera une rebellion qui doit conduire à la domination des singes. C'est bien evidemmment ce qui se profile et le film est de ce fait beaucoup plus violent que les autres. Esclaves comme bourreaux, cédant à leurs pulsions les plus cruelles. Le pas est franchi entre l'anticipation et la science fiction et de grands thèmes humanistes sont traités, nous poussant à nous interroger sur ce qui fait la grandeur d'une civilisation. Enfin à titre personnel le film est resté fidèle à l'image que je m'en étais fait enfant et reste un incontournable du 7ème art.
La série a tendance à s'essouffler, plus personne n'est surpris de voir des singes qui parlent, la mode est quant à elle passée... Mais pourtant ce quatrième film est assez intéressant. Comme d'habitude, au niveau du scénario, c'est la suite directe du précédent (aussi faut-il regarder la saga intégralement pour tout comprendre). Le monde contemporain de l'opus précédent commence à devenir plus futuriste : les singes sont domestiqués après l'éradication des chiens et des chats (décimés par une maladie rare), les vêtements plus proches d'uniformes que de simples habits, les décors plus baroques... Dans cette dictature d'anticipation, on suit le fils de Cornelius et Zira, rescapé de la tuerie des deux singes à la fin des Évadés..., élevé par Armando, menant petit à petit une véritable rébellion contre les hommes, suivie d'une révolution simiesque des plus dantesques. Épisode très noir, très violent, La Conquête de la Planète des Singes n'est pas le meilleur mais a le mérite de s'éloigner des antipodes de la série et propose ainsi un très bon épisode.
Encore une adaptation du livre de Pierre Boulle + ou - réussie : Nonobstant les violentes critiques reçues par cette oeuvre à l'époque et encore maintenant ; on ne niera toutefois pas le vrai du propos écologique du film toujours d'actualité...
Le film "La conquête de la planète des singes ", 4e opus du film "La planète des singes", retrace la révolte des singes face à la condition de vie esclave... Ce film est beaucoup plus sombre et violent ! Ca m'a fait penser à l'esclavage des personnes noires! Ce qui est interessant, c'est de voir comment les êtres humains traitent, les plus faibles, les singes... Au niveau du scénario, ce film n'est pas assez crédible... Les singes envahissent trop facilement et les scènes de combat sont trop lourdes à mon gôut... Dommage!
On est loin de la réussite du 1er mais ce 4ème volet reste intéressant car il montre comment les singes ont pris le pouvoir sur les hommes, de plus c'est une parabole sur le racisme aussi (les singes sont traités comme des esclaves). A l'époque de sa sortie le film avait choqué par sa violence.
Ce quatrième volet est peut être le plus réussi depuis le premier! Plus sombre, il explique comment les singe, devenus esclaves à tout faire, en viennent à se révolter contre l'homme. Une sorte de "I Robot" version simiesque plutôt réussi même si le manque de moyens commence à se faire sentir. En effet, le film sorti en 1971, censé représenter le futur de 1991, n'a rien de bien futuriste et les décors sentent le carton. Dommage.
Quatrième épisode de la saga. Comme bien des suites à succès, les scénariste patine un peu. Mais pas Roddy McDowall (toujours aussi saisissant) : présent depuis l'épisode numéro 1, il interprète le fils de Cornélius, Caesar, qui se révolte contre sa condtion de singe-esclave. Un peut trop de bavardage, mais il reste mon épisode fétiche avec le tout premier volet.
Beaucoup plus sombre et dur que le précédent volet, ce quatrième et avant-dernier film est mon second préféré de la saga après le premier. Il est souvent considére (selon moi, à tort) comme un des moins bons. Force est de constater qu'il est un peu lent au début, mais la réalisation de Jack Lee Thompson (qui fera aussi le cinquième film, et est l'auteur des mythiques "Canons de Navarone") est efficace. J'adore cette troisième suite !
Jack Lee Thompson réalisera les deux derniers films de la saga qui avait commencé dans l'excellence en 1968, notamment grâce à Shaffner. Ce 4e film est une suite presque "directe" du précédent, et, encore une fois, de bonnes idées y sont présentes. Roddy McDowall vit son personnage, et l'intrigue est assez prenante, bien que frôlant parfois le ridicule. Au regard de toutes les faiblesses de réalisation, scénaristique et budgétaire, je ne peux m'empêcher de penser que la franchise aurait dû s'achever dès 1968...
Commencant d'une facon trés ennuyeuse, ce film vaut la peine d'etre vu rien que pour la bataille finale qui est vraiment extraordinaire. La grande force quand meme de "la conquete de la planete des singes" est qu'il nous raconte un peu comment s'est formé cette fameuse planete des singes. Mais le réalisateur aurait du trouver une facon plus interessante de nous la raconter.En bref, des idées bien trouvées mais pas assez bien exploitées.
Sûrement le 3ème meilleur volet, seulement il est en deça du 1er opus et des Evadés..., mais supérieur à "La Bataille de la Planête des Singes" et du bizarre "Secret de la Planête des Singes"!! Ainsi nous avions laissé Cornelius et Zira ... morts sur le paquebot, mais nous n'avions pas oublié notre petit singe Cesar adopté par Ricardo Montalban, le directeur du cirque, remember! Que se passe-t-il donc? Les Singes, mutation oblige par respect à la mythologie Planête des Singes, sont évolués, mais sans paroles, donc les humains les asservilissent, normal... Pas de paroles, pas de liberté!!... Sauf un, César, doté d'un organe vocal qu'il ne peut se servir en public! Ce dernier est effrondré, chamboulé, anéanti quand il déboule en ville et qu'il voit le traitement que l'on inflige à ses frères Simiens: basses besognes, des humains méprisants, des singes auxquels le mot NON est sermoné quotidiennement (ceci aura une grande importance dans l'ultime opus). Trop c'est trop! César, d'abord arrêté puis à deux doigts de la mort, échaudé par la mort de son père adoptif, se révolte, et prend la tête d'un front de libération de chimpanzés dont les actions seront du sabotage et de la désobeissance! Naturellement nous savons tous où tout cela va mener. Toujours dans le rôle titre, Roddy MacDowall, présent dans 4 des 5 épisodes de la saga (il est absent du Secret de la Planête de Singes). Un opus plutôt fort, montrant la deliquescence de la civilisation humaine qui se mène à sa propre perte. Les humains laissent les plus vils tâches à leurs congénères, les premiers n'étant plus que des consommateurs ou des oppresseurs, malmenant cette "main-d'oeuvre" qui gronde! Nous serions même amenés à calquer cette oisiveté humaine à celle de la civilisation Athénienne période Grèce Antique: aux autres la besogne, l'art du combat, la guerre ; à nous les repas, l'oisiveté, la paresse, se laisser bercer et compter sur les autres en cas de périodes difficiles! Mais en cas de révoltes, il n'y
Cet épisode retrace la révolte des singes menée par César (le fondateur mythique de la civilisation simiesque). On retrouve, comme dans l'épisode précédent, la marque des années 70, aussi bien dans les décors, les costumes et la musique que dans la manière de filmer. Moins intéressant que l'épisode précédent, le scénario manque aussi de crédibilité (la facilité de la prise de pouvoir par des êtres inférieurs). Le premier épisode de la série reste encore le meilleur.