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L. Lawliet
20 abonnés
357 critiques
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3,0
Publiée le 10 septembre 2021
Pour ce film avec le 4ele opus, il est plutôt bon mais reste inférieur au 1 et 3. En effet L’absence de Cornelius et Zira se font bien ressentir car c’était les perso les plus intéressantes de la saga. Caesar est très bon quand même avec beaucoup de scènes ou il m’a littéralement fait pleurer ! Bref je préfère la première partie. Bref’ 6,5:10
Troisième suite et sûrement la meilleur pour le moment. On se retrouve 20 ans après les événements du film précédent. On va suivre le fils de Zira et Cornelius qui avait été caché dans un zoo pour sa survie, le prénommé César. Le monde y est complètement qu'il y a 20 ans. Les Hommes ont compris que les singes étaient des bons animaux domestiques, plutôt des bons esclaves. César qui a lui été préservé de ce monde par Armando, son maître au cirque. Quand un jour il découvre le traitement de ses congénères il se met à parler en public, ce qui relancera la piste que l'enfant de Zira et Cornelius ne soit pas mort. De la César montera la révolte en tant que meneur. Les dernières 20 minutes sont d'ailleurs exclusivement des affrontements super épiques et plutôt bien filmé. J'ai aussi trouvé très intéressant la façon dont l'Homme est montré et comment il considère les singes. En tout cas ce film est très bon et il nous annonce une suite finale qui je l'espère va être incroyable.
Ce quatrième épisode de la saga de la planète des singes version 70’s est plutôt une réussite. Imaginant le début du conflit entre singes et humains le film fait un portrait assez percutant des inégalités aux États-Unis, d’une société qui s’est construite en partie sur l’esclavage, sur les brutalités des autorités, sur tout ces aspects le film garde aujourd’hui une pertinence certaine. Celle ci permet de passer un peu outre son aspect parfois un peu Cheap. Mais dans l’ensemble il réussit plutôt bien à conjuguer divertissement et discours pertinent, même s’il est très loin de conserver la puissance du premier film il en est une suite assez honorable.
Et c'est encore un très bon film !! Peut-être un peu moins bon que les précédents, mais qui est très bon quand même. Le scénario est très bien écrit, nous faisant suivre la vie de César, fils de Zira & Cornelius, subissant l'esclavage. Le film est violent, tant visuellement que émotionnellement. Le personnage de César, joué par Rossy McDowald (qui jouait son père Cornelius dans le premier et troisième film de la sage) est passionnant, et va se développer au fur et à mesure du film.
LA CONQUETE DE LA PLANETE DES SINGES (1972): Depuis 1973, vingt année se sont écoulées. La société a changé. Une ville moderne se dresse, froide par son béton, austère par ses bureaux, vivante par ses commerces, ses appartements et ses restaurants. Un complexe urbain d'une grande propreté, entretenu par des singes esclaves. C'est par cette vision qui nous sera faite, qu'une haine grandira à l'intérieur de ce singe intelligent.. Des singes domestiqués qui continueront à évoluer et deviendront par la suite esclaves des hommes. Le quatrième et sûrement le plus dur des épisodes de cette saga. Un scénario dramatique mettant en place une politique humaine autoritaire, pour une dictature au penchant SS. Des hommes de pouvoir sans scrupule, violents. Des singes soumis, meurtris, assoiffés de vengeance. Eclateront alors des émeutes simiennes brutales et sauvages. Un épisode renversant, la chute de l'humanité, rien ne pourra arrêter l'odyssée de cette espèce primate. Un volet d'une grande noirceur, marqué par des reflets d'une politique de ségrégation, mais aussi par un cruelle soumission animalière qui basculera dans un K.O meurtrier. Certes, cette insurrection ne nous fera pas voyager dans de splendides espaces, et ne développera pas de grans effet-spéciaux, mais ici, de l'action pour une épopée qui continuera intelligemment dans sa continuité. Cela restera pour moi un bon film de science-fiction, cohérant, sans artifice, et sans bouffonnerie.
Quatrième film de la série débutée en 1968 où apparaît le fils de Zira et Cornélius nommé César par son ami et éducateur humain. Les singes devenus des esclaves des hommes finissent par se révolter. Le nom de César sera repris pour le personnage principal de la trilogie de 2011/17 qui renouvelle et donne une dimension même plus grande à cette histoire de révolte des singes sur fond de virus et de déclin des humains.Le genre S.F. post apocalyptique a connu beaucoup de développement dont les 8 longs métrages à ce jours issus de l'histoire du roman de Pierre Boulle de 1963. Le film de 1972 est basé surtout sur des scènes d'actions un peu violentes et n'a pas un scénario trop original.
La Conquête de la Planète des Singes est un chapitre plutôt correct (par rapport aux deuxième et troisième volet de cette saga, manquant cruellement de peps), voire convaincant de la franchise La Planète des Singes. Le deuxième volet s'était complètement perdu dans des métaphores religieuses et métaphysiques et le ton humoristique du troisième chapitre coupait maladroitement avec la puissances des thématiques qu'il abordait. Ici, le film revient vers une histoire plus simple peut-être, mais clairement plus efficace et surtout, le film constitue enfin une suite logique (qui ne donne pas l'impression de venir de nulle part) à son prédécesseur et offre une vraie continuité à la saga. Le film démarre presque vingt ans après le troisième film (Les évadés de la Planète des Singes) qui s'était terminé sur la mort de Cornelius et Zira et sur l'échange salvateur de leur bébé (César) avec celui d'un chimpanzé lambda. Ce nourrisson est désormais devenu un jeune adulte et va découvrir le monde des hommes qui a bien changé depuis sa naissance. J'ai d'ailleurs trouvé cela très maladroit la vitesse à laquelle les hommes ont perdu les chiens et les chats, ont réussi à complètement domestiquer les singes (jusqu'à leur faire appliquer des tâches assez complexes) et ont mis en place un système d'esclavage extrêmement bien bâti, le tout en moins de vingt ans (ça me paraît peu crédible). La réaction et l'évolution de César est extrêmement intéressante à suivre et c'est bien là que le film parvient à être plus réussi que les deux précédents volets.spoiler: La mort d'Armando ici est extrêmement palpable et la tristesse de César est bien perceptible malgré le port de prothèse plastique de moins en moins réussies. La révolte des singes est très réussie et le personnage de César est marquant par son sens stratégique et son leadership. Les scènes d'émeute sont particulièrement convaincantes. Ces scènes sont parsemées de discours de la part de César ou du gouverneur Breck très prenants. Côté maquillage, cette première saga reste toujours coincé dans son époque et les masques de singes manquent complètement de réalisme. Là encore, lorsque durant le film un vrai singe est mis à côté d'un acteur sous un costume, il n'y a pas photo. D'une manière plus générale, le gros point noir de ce film réside dans l'intégration de singes dans un monde réaliste. Leur façon de parler ne sonne pas du tout naturelle à l'écran et leur façon de déambuler entre la marche humaine normale et la démarche actuelles des grands singes fait très bizarre et n'a pas du tout l'air ergonomique. Roddy McDowall est extrêmement convaincant en César et il arrive à transmettre beaucoup d'émotion malgré son maquillage. Bref, malgré des problèmes techniques qui affaiblissent terriblement la qualité du film, ça reste quelque chose de très séduisant.
le film est le 4e opus de la première saga de la planète des singes. Cet opus nous raconte comment le monde des Humains à évolué suite à l'apparition de Zira et Cornélius. Leur fils spoiler: ayant survécu au dernier film s'est fait élevé par le propriétaire du cirque du dernier film. première observation le monde à effectivement pris la tournure que Zira et Cornélius avait déclaré aux humains dans le dernier film. la paranoïa des humains à atteint un paroxysme au point de mettre en place une forme d'esclavagisme des singes .le film est très appréciable si vous avez vu les opus précédents. les points faible se trouve parfois dans certains décors et certaines exposition parfois trop longues. mais le film à une qualité d'écriture supérieure au 2e (bien que ce ne soit pas compliqué) au 3e et 5e opus. le discours final est glaçant et porte incroyablement le film avec ses scène de torture des singes et les répliques toujours utiles à l'intrigue de la saga. l'évolution de César est, à mon sens, réussi via les horreurs qu'ils observe et subit. la baisse de budget pour ce film ne l'empeche pas d'avoir des décors mémorables et des plans très bien pensé. la version originale est à voir également comme bonus car le film version cinéma prépare au 5e opus et est moins sombre.
les points positifs:les personnages, les décors, le scénario et les dialogues les points négatfs: le film ne respire pas beaucoup et précipte les évènements parfois trop rapidement et la musique n'est pas très impressionnante.
Ce quatrième volet de la saga "La Planète des singes", réalisé cette fois par J. Lee Thompson et sorti en 1972 n'est vraiment pas terrible. Les prédictions de Zira sont exactes : les chats et les chiens ayant disparus, les humains prennent au départ les singes comme animaux de compagnie et puis les prennent peu à peu pour des esclaves. Mais César (initialement appelé Milo par ses parents mais enfin bon) essaye de mener une révolte. C'est donc, jusqu'ici, le plus noir de la saga et le plus violent mais également le plus ennuyant et c'est bien dommage car il y avait pourtant matière à faire quelque chose de bien mieux. On est également ici dans l'explication puisqu'on a enfin une réponse aux questions que l'on pouvait déjà se poser lors du premier film mais les choses sont malheureusement assez mal amenées. Le film commence plutôt bien, on retrouve César adulte, en 1991 accompagné de son "maître", qui voit avec horreur toutes les choses qu'infligent les humains aux singes. Et puis, le film prend vite un certain tournant et devient assez mou et ennuyant, ce qui est très dommage avec un propos aussi important et surtout pour un film d'une heure et demie. La réalisation est quant à elle assez décevante puisqu'elle est moins bonne que celles des précédents films et puis, elle correspond au rythme du film, c'est à dire qu'elle est assez molle et n'apporte pas grand chose d'intéressant. Les effets spéciaux ont quant à eux bien vieillis notamment pour tous les effets "gores" mais il ne faut pas non plus oublier l'époque de la réalisation du film. Du côté des acteurs, nous retrouvons Roddy McDowall cette fois dans la peau de César qui est le seul acteur marquant du film, tous les autres s'oubliant assez vite. "La Conquête de la planète de singes" est donc, jusqu'à maintenant (je précise que je n'ai pas vu les autres suites), le plus mauvais de la saga.
« La conquête de la planète des singes » présente une facture un brin honorable comparé au précédent. Plus vraisemblable mais l’ensemble est faible, très faible. Dans le volet précédent, Zira avait nommé sa progéniture Milo et voilà que par la magie de la production reniflant le bon filon commercial, elle rebaptise Milo en César. C’est plus évocateur, plus majestueux, ça sonne mieux que Milo. Que dire après ça ? Au-delà d’une lecture transposition-révolte-raciale-patin-couffin, pas grand-chose, trop précipité et élémentaire. Plus on avance dans la saga, plus je m’enfonce dans l’ennui. Charlton Heston ne voyait aucune utilité d’une suite à « La planète des singes ». On en est à trois déjà ! Avec l’âge, je partage la réflexion de l’acteur, surtout après le navrant second volet.
Je m'étais posé la question avant de voir ce quatrième film de la saga, à savoir si celui-ci allait s'inscrire dans la lignée du précédent opus ? Je n'ai pas été tout de suite persuadé par son potentiel, j'y ai même vu des longueurs et des ratés mais au vu de la dernière demi-heure j'ai fini par réviser mon jugement ! Je trouvais dans un premier temps que ce long métrage était quelque peu désincarnés, César, le Gouverneur et MacDonald m'ont prouvé le contraire dans ces ultimes minutes. La violence et la terreur s'inscrivent dans chaque gestes, mots ou attitudes pour un résultat fascinants et effrayant. Le tiraillement émotionnel est une nouvelle fois de mise et apporte son lot de complexités et de questions. Don Taylor avait déjà accomplit quelques prouesses et J. Lee Thompson est doté du même instinct et d'une perspicacité similaire. Un choc émotionnel, encore, pourvu que le cinquième conclu le tout avec la même maestria !
4ème opus de la pentalogie, la conquête est sans nul doute le plus violent, aux propos aussi le plus politique dans un contexte d'époque qui en avait besoin. La conquête avec les évadés sont une parfaites suites du 1er et nous apportent toutes les explications sur le basculement de ce monde inversé. La mise en scène des émeutes et à proprement parlé incroyable pour l'époque, Cesar s'impose comme le personnage phare d'une saga qui aurait mérité de se terminé avec un message plus pessimiste, comme tous les films de la franchise. Pour moi le 2ème meilleur film de la saga.
[Pour situer la chronologie de l'histoire : année 1991]. Vingt ans plus tard, notre petit chimpanzé délaissé au propriétaire du cirque a bien grandi. Les chiens et les chats ayant disparus suite à un virus, c'est au tour des singes domestiques de devenir monnaie courante dans la société américaine. Cependant, un seul et unique singe est doté de la parole, le fils de Cornelius et Zira. Le scénario est encore bien perché, effectivement ; et il sera tellement tiré par les cheveux qu'il laissera derrière lui une sensation de facilité, envenimée par des idées bancales (pour ne pas dire idiotes). En effet, les États-Unis ne souhaitent pas avoir de singes intelligents dans leur société de peur que ces derniers exterminent la race humaine suite au message de Cornelius et Zira dans le précédent épisode, mais se donneront pourtant la peine d'inculquer notre mode de vie et notre savoir-faire à une véritable armée de singes, même si soit-disant "domestiques" (contradiction quand tu nous tiens). C'est aussi à se demander d'où sortent tous ces singes, au point d'assister à une véritable cohabitation homme/singe avec un effectif de singes supérieur à celui des forces de l'ordre (c'est en tout cas l'impression que les images nous donnent). Notre singe savant, désormais dénommé César, joue la carte de l'infiltration et devient le leader de cette rébellion par la violence, bien que celle-ci débarque de façon facile et évidente, de quoi faire passer les américains (ou peut-être tout simplement l'homme) pour de véritables demeurés. En résumé, "La conquête de la planète des singes" est un opus bien fait visuellement, plus sombre et plus brutal que les précédents, mais qui ne tiendra pas debout, malgré l'intéressante dimension paradoxale qu'il offrira à la saga. Car en effet, si César est à l'origine de cette planète des singes, et sachant qu'il provient de l'union de deux êtres futuristes (Cornelius et Zira), "La planète des singes" ne pourra donc être que le fruit d'un paradoxe temporel, à l'image de l’œuf ou de la poule, ici représenté par César ou ses parents.
un film à redécouvrir au plus vite, très en avance sur son temps et son époque, une critique de la société problèmes raciaux et sociaux qui prédominent aujourd'hui , un film sur la révolte des plus faibles et des opprimés a noté une superbe réalisation et des décors géniaux sans doute l, un des meilleurs films de la franchise