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Ti Nou
497 abonnés
3 499 critiques
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3,0
Publiée le 13 juillet 2015
Ce quatrième épisode narre la révolte des singes et leur prise de pouvoir. Malgré, une fois encore, un manichéisme trop appuyé, le scénario est bon et empli de bonnes idées. Malheureusement, la mise en scène ne rend pas compte de l'intensité de la révolte (les scènes d'action sont particulièrement mal dirigées), les figurants sont mauvais et plombent certaines séquences.
Un quatrième épisode plus sombre et violent réalisé par J. Lee Thompson. On retrouve des thèmes comme l'esclavage, la religion et le destin. On découvre un futur froid ou un virus a tué les chiens et les chats, les singes sont devenus les nouveaux animaux domestiques des humains et utilisés comme esclaves. César, le fils de Cornelius et Zira découvre le traitement infligé à ses semblables et prépare la révolte par la force. Roddy McDowall joue bien le rôle de César et le reste de la distribution livre une bonne prestation : Don Murray, Natalie Trundy, Hari Rhodes, Severn Darden et Ricardo Montalban.
Cette fois l'histoire se passant 20 ans plus tard, on se retrouve dans un monde futuriste (et fasciste) dans lequel les singes domestiqués sont traités comme les robots du film "I Robot", ce qui va entrainer les mêmes conséquences. Cette révolte mené par Caesar, le "John Connor" du peuple des Singes, a pour thème principal l’esclavage, l’humain afro-américain n'étant pas là par hasard. Un épisode dans la continuité du précédent, plus court et plus violent mais sans grande surprise, qui offre aux spectateurs ce qu'ils attendaient de voir. (Moyen)
En 1991, dans une société devenue policière et facsiste, César, le fils de Cornelius et Zira a été élévé par Armando, le patron de cirque qui fut un grand ami de ses parents. Mais les singes sont devenus des animaux de compagnie puis des esclaves à la mort virale de tous les chiens et chats...Un événement dramatique va mener César à la révolte des siens et à la prise du pouvoir.... Film très inspiré par les événements liés à la discrimination raciale et aux émeutes aux USA dans les années 60/70.
On sent que le budget à encore réduit, notamment à cause des prothèses mais également par les décors, très réutilisés. Mais au final le sujet est très bon, le personnage principal est assez charismatique (malgré le maquillage) et ses motivations sont claires et bien amenées. Mais surtout on voit enfin comment le renversement des humains est finalement arrivé.
un film à redécouvrir au plus vite, très en avance sur son temps et son époque, une critique de la société problèmes raciaux et sociaux qui prédominent aujourd'hui , un film sur la révolte des plus faibles et des opprimés a noté une superbe réalisation et des décors géniaux sans doute l, un des meilleurs films de la franchise
13 753 abonnés
12 431 critiques
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2,5
Publiée le 2 février 2014
La 20th Century Fox à votre service, une sociètè de production qui vous garantit un divertissement convenable et violent! Franklin J. Schaffner, Ted Post, Don Taylor et en 1972 c'est au tour de Jack Lee Thompson de s'atteler à la tâche « des singes » en signant l'opus le plus noir! Ce quatrième volet de "Planet of the Apes" nous conte la prise de pouvoir par les singes avec son esthètique de S.F seventisée! Après la disparition des chiens et des chats, que quelques statues commèmorent, par un virus venu de l'espace, les singes ont servi aux humains, tout d'abord d'animaux domestiques, puis de serviteurs et enfin d'esclaves! La fureur contre l'homme, ainsi que le nombre grandissant des singes sera exploitè par Caesar / Roddy McDowall, fils de Cornèlius et Zira, qui les mènera à la rèvolte! Quand "Conquest of the Planet of the Apes" se termine, cette rèvolution est dèjà bien entamèe et ne demande qu'à se propager! Une cinquième mouture nous tient heureusement au courant de la suite des èvènements, avec toujours Jack Lee Thompson à la mise en scène et l'imposante prestation de Roddy McDowall en Caesar...
Quatrième épisode de la saga. Comme bien des suites à succès, les scénariste patine un peu. Mais pas Roddy McDowall (toujours aussi saisissant) : présent depuis l'épisode numéro 1, il interprète le fils de Cornélius, Caesar, qui se révolte contre sa condtion de singe-esclave. Un peut trop de bavardage, mais il reste mon épisode fétiche avec le tout premier volet.
"La Conquête de la planète des singes" enfonce un peu plus une saga cinématographique qui avait pourtant magnifiquement commencé avec "La Planête des singes". Toutes ces suites s'appuient sur le succés du premier et ne constitue finalement qu'un pur produit commercial où l'aspect artistique passe au millième plan. Le scénario, surement écrit en deux minutes, cumulent les incohérences et les facilités. Je continue à penser que les producteurs auraient dû au premier film mais qui ne résiste pas à l'appel de l'argent facile?
[Pour situer la chronologie de l'histoire : année 1991]. Vingt ans plus tard, notre petit chimpanzé délaissé au propriétaire du cirque a bien grandi. Les chiens et les chats ayant disparus suite à un virus, c'est au tour des singes domestiques de devenir monnaie courante dans la société américaine. Cependant, un seul et unique singe est doté de la parole, le fils de Cornelius et Zira. Le scénario est encore bien perché, effectivement ; et il sera tellement tiré par les cheveux qu'il laissera derrière lui une sensation de facilité, envenimée par des idées bancales (pour ne pas dire idiotes). En effet, les États-Unis ne souhaitent pas avoir de singes intelligents dans leur société de peur que ces derniers exterminent la race humaine suite au message de Cornelius et Zira dans le précédent épisode, mais se donneront pourtant la peine d'inculquer notre mode de vie et notre savoir-faire à une véritable armée de singes, même si soit-disant "domestiques" (contradiction quand tu nous tiens). C'est aussi à se demander d'où sortent tous ces singes, au point d'assister à une véritable cohabitation homme/singe avec un effectif de singes supérieur à celui des forces de l'ordre (c'est en tout cas l'impression que les images nous donnent). Notre singe savant, désormais dénommé César, joue la carte de l'infiltration et devient le leader de cette rébellion par la violence, bien que celle-ci débarque de façon facile et évidente, de quoi faire passer les américains (ou peut-être tout simplement l'homme) pour de véritables demeurés. En résumé, "La conquête de la planète des singes" est un opus bien fait visuellement, plus sombre et plus brutal que les précédents, mais qui ne tiendra pas debout, malgré l'intéressante dimension paradoxale qu'il offrira à la saga. Car en effet, si César est à l'origine de cette planète des singes, et sachant qu'il provient de l'union de deux êtres futuristes (Cornelius et Zira), "La planète des singes" ne pourra donc être que le fruit d'un paradoxe temporel, à l'image de l’œuf ou de la poule, ici représenté par César ou ses parents.
Peut-être la moins pire des nombreuses suites de "La planète des singes". A condition toutefois d'accepter l'aberration scénaristique d'une mutation génétique accélérée sur 20 ans. Car oui, on passe en si peu de temps du petit chimpanzé inoffensif de Tarzan au singe anthropomorphe vêtu à la Star Trek et se tartinant les cheveux de gomina. Les explications initiales pseudo-scientifiques de Monsieur Loyal ont du mal à convaincre. On tombe alors dans une histoire classico-classique à base de 1) l'oppression d'un groupe puis 2) sa révolte. Pas vraiment de surprise donc. L'intérêt majeur réside peut-être dans l'aspect grand-guignolesque des singes. On a l'impression d'avoir affaire à des patineurs de vitesse, sauf qu'ils balancent leurs bras latéralement sur la terre ferme et non sur la glace. Certains figurants se sont clairement fait plaisir, sautant parfois connement sur place. Cette surenchère constante est à la fois ridicule mais aussi touchante, elle contribue largement à placer la série dans la catégorie des grands nanars du cinoche.
Je m'étais posé la question avant de voir ce quatrième film de la saga, à savoir si celui-ci allait s'inscrire dans la lignée du précédent opus ? Je n'ai pas été tout de suite persuadé par son potentiel, j'y ai même vu des longueurs et des ratés mais au vu de la dernière demi-heure j'ai fini par réviser mon jugement ! Je trouvais dans un premier temps que ce long métrage était quelque peu désincarnés, César, le Gouverneur et MacDonald m'ont prouvé le contraire dans ces ultimes minutes. La violence et la terreur s'inscrivent dans chaque gestes, mots ou attitudes pour un résultat fascinants et effrayant. Le tiraillement émotionnel est une nouvelle fois de mise et apporte son lot de complexités et de questions. Don Taylor avait déjà accomplit quelques prouesses et J. Lee Thompson est doté du même instinct et d'une perspicacité similaire. Un choc émotionnel, encore, pourvu que le cinquième conclu le tout avec la même maestria !
La saga de la Planète des Singes continue sa route avec une compréhension de son univers. Comme la majorité des films de cette saga, la société est denoncé et cela de manière brio ! Hormis des légers problèmes de mises en scènes et de montage, ce 4e opus se regarde très bien, comme ses précédents films
Le film "La conquête de la planète des singes ", 4e opus du film "La planète des singes", retrace la révolte des singes face à la condition de vie esclave... Ce film est beaucoup plus sombre et violent ! Ca m'a fait penser à l'esclavage des personnes noires! Ce qui est interessant, c'est de voir comment les êtres humains traitent, les plus faibles, les singes... Au niveau du scénario, ce film n'est pas assez crédible... Les singes envahissent trop facilement et les scènes de combat sont trop lourdes à mon gôut... Dommage!
Ce quatrième volet de la saga "La Planète des singes", réalisé cette fois par J. Lee Thompson et sorti en 1972 n'est vraiment pas terrible. Les prédictions de Zira sont exactes : les chats et les chiens ayant disparus, les humains prennent au départ les singes comme animaux de compagnie et puis les prennent peu à peu pour des esclaves. Mais César (initialement appelé Milo par ses parents mais enfin bon) essaye de mener une révolte. C'est donc, jusqu'ici, le plus noir de la saga et le plus violent mais également le plus ennuyant et c'est bien dommage car il y avait pourtant matière à faire quelque chose de bien mieux. On est également ici dans l'explication puisqu'on a enfin une réponse aux questions que l'on pouvait déjà se poser lors du premier film mais les choses sont malheureusement assez mal amenées. Le film commence plutôt bien, on retrouve César adulte, en 1991 accompagné de son "maître", qui voit avec horreur toutes les choses qu'infligent les humains aux singes. Et puis, le film prend vite un certain tournant et devient assez mou et ennuyant, ce qui est très dommage avec un propos aussi important et surtout pour un film d'une heure et demie. La réalisation est quant à elle assez décevante puisqu'elle est moins bonne que celles des précédents films et puis, elle correspond au rythme du film, c'est à dire qu'elle est assez molle et n'apporte pas grand chose d'intéressant. Les effets spéciaux ont quant à eux bien vieillis notamment pour tous les effets "gores" mais il ne faut pas non plus oublier l'époque de la réalisation du film. Du côté des acteurs, nous retrouvons Roddy McDowall cette fois dans la peau de César qui est le seul acteur marquant du film, tous les autres s'oubliant assez vite. "La Conquête de la planète de singes" est donc, jusqu'à maintenant (je précise que je n'ai pas vu les autres suites), le plus mauvais de la saga.