Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Brazil
par S.L.
Voilà un bien curieux petit film. Ce Thomas Vinterberg est décidément un faiseur d'images assez intrigant. Il n'a pas encore pondu son chef d'oeuvre, mais il ya toujours de bonnes choses à piocher dans ses réalisations. Curieux mais intéressant.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par Olivier Bonnard
A la réalisation, Vinterberg, épaulé par un casting épatant, s'acharne à injecter autant d'humanité que possible à cette histoire, si bien que l'allégorie se complique d'une délicate chronique de l'adolescence. Totalement schizo et, au final, plutôt réjouissant.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Lars von Trier tire à vue sur l'Amérique en s'appuyant sur la fascination des jeunes pour les armes à feu. Thomas Vinterberg (...) se cherche. Dear Wendy, objet étrange, qui débute comme un film pour ados et se termine en western, est interprété par une bande d'acteurs formidables, à commencer par Jamie Bell, ex-Billy Elliot.
MCinéma.com
par Camille Brun
Cette chronique, plutôt bien jouée mais très naïve, doit-elle être prise au sérieux ou suivie comme une parabole ? On ne le sait jamais vraiment. Et dans cet entre-deux, difficile de s'attacher aux personnages, à leur communauté de pacifistes armés façon " Club des Cinq ". Et surtout, impossible de ne pas se demander ce que le petit génie Lars Von Trier aurait bien pu faire de son scénario...
Ouest France
par La rédaction
Un scénario de Lars Von Trier mis en scène par Thomas Vinterberg ( Festen). Une mise en scène très sophistiquée et élaborée, pour un propos simpliste qui dénonce le danger des armes.
Paris Match
par Christine Haas
Entre le portrait de groupe et le comportement social dans une Amérique gentiment caricaturée, la passion des armes vue par les cofondateurs du Dogme (...) mène à l'évasion , débouche sur la manipulation... et se transforme en plaidoyer lourdingue mais joliment stylisé.
Première
par Stéphanie Lamome
Thomas Vinterberg réalise un gentil plaidoyer pacifiste sur le club des cinq qui se prend pour Lucky Luke. Naïf, oui, mais sincère.
Score
par V. McKey
Une Amérique alternative fascinante, jusqu'à un final caricatural, pantomime macabre aux fils manipulés par le propos de Von Trier qui remet une couche d'anti-américanisme aussi grossier que grotesque. (...) Vinterberg se tire à nouveau dans le pied.
La critique complète est disponible sur le site Score
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Après cent minutes d'ennui mortel, un interminable finale singeant Sergio Leone vient battre à plates coutures le didactisme de Michael Moore : qui possède une arme, c'est écrit, finira par s'en servir, même s'il la bichonne et l'appelle par son petit nom.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
(...) Dear Wendy brode sa démonstration vers la tuerie finale oui, parce que le mal ronge et rode, parce qu'une violence s'est nichée -la traîtresse- au coeur du fondement des sociétés, parce que quiconque est armé va tirer. Tautologie splendide dont les Dupont danois s'émerveillent tel Archimède dans sa baignoire. Philosophie d'agrume, mandarine mécanique, tout au plus.
Elle
par Elisabeth Quin
Un petit côté film-éprouvette, avec expérience menée grandeur nature, et pastiche (involontaire?) du "Cercle des poètes disparus" devenus "Les Dandys".L'Amérique est clairement un objet d'études ricanantes pour les deux danois qui ont un peu tendance à se féliciter de leur supériorité morale.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Thomas Vinterberg (...) est notamment l'auteur du surestimé Festen (1997). Son nouveau film a été écrit par l'auteur de Dogville. On y retrouve la veine actuelle du maître danois, tendance abstracto-minimaliste et prisme américain, mais à l'état de succédané (...) Dear Wendy cherche la grâce mais est rattrapé par la préciosité.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le scénario de Von Trier en fait une oeuvre sous influence. Les efforts de Vinterberg pour trivialiser le sujet arrivent à rendre le fim presque sympathique dans sa première partie puis on ne voit pas où le film peut aller en dehors d'une résolution violente classique. Bof
Libération
par Gilles Renault
Oui, les Etats-Unis ont une conception totalement dévoyée de la protection individuelle et du délire sécuritaire en résultant ! Certes, l'adolescence peut se révéler source d'un mal-être aux conséquences désastreuses ! Mais Vinterberg n'est pas Gus Van Sant (ni Coppola, ni Leone...) et son sens du pamphlet possède ici la grâce d'un éléphant.
Positif
par Grégory Valens
Nihilisme de pacotille.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
par Laurence Tournier
Un western théâtralisé, bavard et fastidieux.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Frédéric Strauss
Un message simplet, que Thomas Vinterberg (Festen) met en images platement. La jeunesse qu'il dépeint semble aussi fausse que son décor d'Amérique : une collection de façades masquant du vide.
Zurban
par Véronique Le Bris
Sur un rythme lent, Vinterberg filme une sorte de western dans une cité minière.De temps en temps, il dynamise son sujet à l'aide d'un documentaire scientifique sur les armes.De ce discours, brouillon et ennuyeux, émergent pourtant deux bonnes surprises : l'acteur Jamie Bell et la BO des Zombies.
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
(...) on était en droit d'espérer des deux co-fondateurs du manifeste Dogme 95 un mélange explosif de créativité et d'ingéniosité aussi bien dans la mise en scène que dans l'écriture. Il n'en est rien (...) Si Vinterberg est parvenu à donner au film une identité visuelle singulière, ce western moderne et décalé reste cependant totalement creux sur le fond.
Brazil
Voilà un bien curieux petit film. Ce Thomas Vinterberg est décidément un faiseur d'images assez intrigant. Il n'a pas encore pondu son chef d'oeuvre, mais il ya toujours de bonnes choses à piocher dans ses réalisations. Curieux mais intéressant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
A la réalisation, Vinterberg, épaulé par un casting épatant, s'acharne à injecter autant d'humanité que possible à cette histoire, si bien que l'allégorie se complique d'une délicate chronique de l'adolescence. Totalement schizo et, au final, plutôt réjouissant.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Lars von Trier tire à vue sur l'Amérique en s'appuyant sur la fascination des jeunes pour les armes à feu. Thomas Vinterberg (...) se cherche. Dear Wendy, objet étrange, qui débute comme un film pour ados et se termine en western, est interprété par une bande d'acteurs formidables, à commencer par Jamie Bell, ex-Billy Elliot.
MCinéma.com
Cette chronique, plutôt bien jouée mais très naïve, doit-elle être prise au sérieux ou suivie comme une parabole ? On ne le sait jamais vraiment. Et dans cet entre-deux, difficile de s'attacher aux personnages, à leur communauté de pacifistes armés façon " Club des Cinq ". Et surtout, impossible de ne pas se demander ce que le petit génie Lars Von Trier aurait bien pu faire de son scénario...
Ouest France
Un scénario de Lars Von Trier mis en scène par Thomas Vinterberg ( Festen). Une mise en scène très sophistiquée et élaborée, pour un propos simpliste qui dénonce le danger des armes.
Paris Match
Entre le portrait de groupe et le comportement social dans une Amérique gentiment caricaturée, la passion des armes vue par les cofondateurs du Dogme (...) mène à l'évasion , débouche sur la manipulation... et se transforme en plaidoyer lourdingue mais joliment stylisé.
Première
Thomas Vinterberg réalise un gentil plaidoyer pacifiste sur le club des cinq qui se prend pour Lucky Luke. Naïf, oui, mais sincère.
Score
Une Amérique alternative fascinante, jusqu'à un final caricatural, pantomime macabre aux fils manipulés par le propos de Von Trier qui remet une couche d'anti-américanisme aussi grossier que grotesque. (...) Vinterberg se tire à nouveau dans le pied.
Cahiers du Cinéma
Après cent minutes d'ennui mortel, un interminable finale singeant Sergio Leone vient battre à plates coutures le didactisme de Michael Moore : qui possède une arme, c'est écrit, finira par s'en servir, même s'il la bichonne et l'appelle par son petit nom.
Chronic'art.com
(...) Dear Wendy brode sa démonstration vers la tuerie finale oui, parce que le mal ronge et rode, parce qu'une violence s'est nichée -la traîtresse- au coeur du fondement des sociétés, parce que quiconque est armé va tirer. Tautologie splendide dont les Dupont danois s'émerveillent tel Archimède dans sa baignoire. Philosophie d'agrume, mandarine mécanique, tout au plus.
Elle
Un petit côté film-éprouvette, avec expérience menée grandeur nature, et pastiche (involontaire?) du "Cercle des poètes disparus" devenus "Les Dandys".L'Amérique est clairement un objet d'études ricanantes pour les deux danois qui ont un peu tendance à se féliciter de leur supériorité morale.
Le Monde
Thomas Vinterberg (...) est notamment l'auteur du surestimé Festen (1997). Son nouveau film a été écrit par l'auteur de Dogville. On y retrouve la veine actuelle du maître danois, tendance abstracto-minimaliste et prisme américain, mais à l'état de succédané (...) Dear Wendy cherche la grâce mais est rattrapé par la préciosité.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Le scénario de Von Trier en fait une oeuvre sous influence. Les efforts de Vinterberg pour trivialiser le sujet arrivent à rendre le fim presque sympathique dans sa première partie puis on ne voit pas où le film peut aller en dehors d'une résolution violente classique. Bof
Libération
Oui, les Etats-Unis ont une conception totalement dévoyée de la protection individuelle et du délire sécuritaire en résultant ! Certes, l'adolescence peut se révéler source d'un mal-être aux conséquences désastreuses ! Mais Vinterberg n'est pas Gus Van Sant (ni Coppola, ni Leone...) et son sens du pamphlet possède ici la grâce d'un éléphant.
Positif
Nihilisme de pacotille.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Un western théâtralisé, bavard et fastidieux.
Télérama
Un message simplet, que Thomas Vinterberg (Festen) met en images platement. La jeunesse qu'il dépeint semble aussi fausse que son décor d'Amérique : une collection de façades masquant du vide.
Zurban
Sur un rythme lent, Vinterberg filme une sorte de western dans une cité minière.De temps en temps, il dynamise son sujet à l'aide d'un documentaire scientifique sur les armes.De ce discours, brouillon et ennuyeux, émergent pourtant deux bonnes surprises : l'acteur Jamie Bell et la BO des Zombies.
aVoir-aLire.com
(...) on était en droit d'espérer des deux co-fondateurs du manifeste Dogme 95 un mélange explosif de créativité et d'ingéniosité aussi bien dans la mise en scène que dans l'écriture. Il n'en est rien (...) Si Vinterberg est parvenu à donner au film une identité visuelle singulière, ce western moderne et décalé reste cependant totalement creux sur le fond.