Derniers Avis : Lawrence d'Arabie - Page 6

Lawrence Darabie : Une épopée visuellement réussit, en même temps, avec des paysages aussi majestueux, on pouvait qu’avoir que du beau et c’est le cas. La réalisation est classique, met magnifiquement bien en avant les déserts chaux, le soleil brulant et ces montagnes de sables incroyable. Après, on a beau avoir un film très beau a regardé, j’ai trouvé malgré tous que l’histoire était pas aussi palpitant pour un film de 3H30 car quand un film est long, il doit être captivant du début jusqu'à la fin (Danse avec les loups, Titanic, Il était une fois en Amérique…). Mais la, j’ai trouvé que l’histoire manqué d’enjeux, il y a beaucoup de scène qui se ressemble, avec toujours cette superbe music qui il faut dire est culte mais on l’entend un peu trop souvent. Donc voila, ça tourne pas mal en rond. Mais bon, je vous rassure, ce n’est pas l’ennuie total, au contraire, malgré tous, on ne sent pas les 3H30 et il y a pas mal de point intéressant dans le scénario. Déjà, le personnage principale qui a une intéressante évolution pendant le film, il va être un vrai commandent d’armée, il va aussi en bavé mais tous ça va le rende un peu fou… Car, c’est donc Lawrence qui n’a pas vraiment de nom et donc, il va forger son propre destin et conduire l’armé Arabe vers la liberté. Le personnage est donc très iconisé, c’est assez marrant de voir comment il est assez orgueilleux. Et d’ailleurs, le personnage est très bien interprété et les acteurs en général sont excellents. Donc voila, pas un film inoubliable pour moi mais c’est a voir au moins une fois pour ce donner un avis.

Le péplum par excellence, un peu plus moderne et revisité quant aux lieux où ça se déroule, mais l’essentiel est là. Les paysages sont magnifiques, c’est grand, Peter O’Toole a des yeux de folie (oui faut l’avouer, le réalisateur en joue énormément, et pourtant je suis un mec), le thème principal est très connu à juste raison car très beau, 7 oscars… N’en jetez plus la coupe est pleine comme on dit, mais pleine de quoi ?
Ben à mon goût pas avec des choses de grande qualité, car hormis ce que j’ai cité plus haut je ne trouve rien de bon. L’histoire n’est pas de celles qu’on connait certes, mais est-elle passionnante pour autant ? Non, puis étirée sur 3h30 elle en devient surtout soûlante, alors si en plus le montage est affreux et ne donne que peu d’explications à certaines scènes… La trame reste classique dans ses enchainements, car de par la durée ça ne ressemble à rien de connu. Tant qu’on est là, ces 3h30 tiennent surtout au fait que c’est rempli, non pas que de vide, mais de longueurs. C’est interminable, c’est lent, un supplice à force, on s’endort entre deux passages susceptibles de nous intéresser, du coup on décroche comme il y en a peu, et on ne raccroche jamais vraiment car faut le vouloir, et nous donner envie de.
D’accord les acteurs sont bons, Sharif et Quinn sont trop souvent oubliés, surtout qu’ils valent mieux que l’ultra connu Peter. Pour un super héros ultra présent, qui résout toute une crise sans précédent (pensez, le gouvernement anglais n’arrive à rien, lui se pointe et hop) le charisme a du rester dans son costume. Baroud d’honneur, sa spoiler: folie passagère à la fin est magistrale,
mais trop grandiloquente bien que ça aille avec le style de l’époque, et l’évolution de son état n’est pas très remarquée. Si le thème est bon donc ça n’empêche pas la musique d’être en inadéquation avec les scènes, et de ne ressembler à rien quand elle ne reprend pas le thème principal. D’ailleurs les sons sont affreux, risibles mêmes, ré-écoutez l’écho ou le bruit des balles au début, c’est flagrant si on n’est pas trop aveuglé.
Blanche Neige aussi a eu 7 oscars, est-ce un chef d’œuvre pour autant ? A-t’il traversé les âges sans soucis ? Est-ce génial et/ou passionnant ? Non, ben pareil ici.

On en fait plus des comme ça : des villages entiers enrôlés comme figurants, des longueurs pas possibles pour de simples déplacements, des dialogues interminables et quelques monstres sacrés réunis...

Il est difficile de ne pas être impressionné par ce film. C'est du très grand cinéma de guerre que l'on peut aussi classer sans erreur dans le genre ''super production''. Rien de commun avec le délicieux ''Chaussures à son pied’’ de Lean. En le regardant, il faut simplement savoir qu'il est l'illustration du livre ''les sept piliers de la sagesse'' et qu'il est très imprégné des propos d'un journaliste. Les deux causes qui firent de T E Laurence un héros mondial. Autrement dit, en dehors des faits historiques, les péripéties sont imaginaires ce qui ne gâche nullement notre admiration devant de telles images. Le désert notamment est filmé comme dans nul autre film et certaines sorties de plans généraux inoubliables. Lean à le sens des ''grands espaces'' et de la grandeur en général. La simplicité et la sobriété de ce 70 mm sont tout à fait exemplaires. Peter O'Toole tient là le rôle de sa vie et Omar Sharif lui doit sa célébrité. La longueur et les pauses musicales me paraissent bienvenues mieux que sa musique propre qui vieillit mal et j'apprécie que Lean soit resté centré sur la personnalité complexe de Lawrence, sans entrer dans des supposées relations affectives complexes qui encombrent souvent beaucoup trop le récit cinématographique des grands destins humains. Nul personnage féminin, c’est parfait puisque Laurence est décédé en gardant tous ses secrets.

Avec ce classique je ne peux pas dire avoir été trompé sur la marchandise (décors naturels magnifiques, photographie chiadée, belle musique de Jarre (quoique lassante car ultra répétitive ; elle perd donc un peu de sa saveur à la longue), direction d'acteur (charisme de O'Toole, Guiness et Sharif), scénario assez documenté avec des dialogues bien écrits, montage, déploiement technique et humain révolutionnaire pour l'époque) sauf au niveau des batailles épiques et de la puissance émotionnelle. Pour un film qui dure 3h47... Vous me direz ça fait beaucoup de grosses qualités pour guerre beaucoup de manques, c'est vrai, mais j'avoue avoir été ennuyé par ce manque de péripétie et de rythme. Après pour le manque d'émotion j'ai conscience que c'est une question de sensibilité. A part ça cette vision d'opposition Angleterre,Arabie/Turquie et son développement me parait un peu édulcorée et policée. Mise à part lors du dernier tiers avec notamment spoiler: la prise de Damas
. Mais "parait" seulement car j'avoue ne rien connaître à ce pan de l'Histoire de la première guerre mondiale. Puis ça a le mérite de ne pas trop verser dans le manichéisme primaire car soulignant le mauvais côté de l'état-major britannique, comme celui oriental avec ces conflits de factions éthniques. Un peu déçu en somme. J'attendais certainement trop de ce film. Même s'il a des qualités intrinsèques indéniables et exceptionnelles pour l'époque, et même si il n'a aucunement vieillit. L'un de ses plus gros soucis vient aussi du fait que l'intrigue se traîne tellement en longueur que les enjeux paraissent piétiner, voir s'étioler. Il y a quand même quelques beaux et forts moments dans la mise en scène : spoiler: l'invasion du camp d'artillerie turc, le décès de l'un des guides dans les sables mouvants, la première apparition de Sharif, l'attaque du train avec les chevaux...
etc) . mais c'est trop vite expédié à mon goût. Pour un film qui s'attarde autant sur la politique et les rapports de forces... Ce qui reste une bonne chose. Je m'interroge sinon sur la pertinence des longs écrans noirs. 4/5 quand même pour ces nombreuses qualités et le travail colossal effectué derrière que l'on ressent très bien. "Lawrence d'Arabie" joue sur les même valeurs d'humanisme, le tout avec un gros côté contemplatif, que "Le pont de la rivière Kwai" mais à titre personnel j'ai préféré ce dernier.

Un chef d'œuvre de légende . Le regretté Omar Sharif qui interprète un personnage légendaire du cinéma contemporain. Peter O'Toole l'accompagne dans cette aventure magnifique. Un très beau film.

GÉNÉRAL : spoiler: La détermination d’un homme dans une épopée grandiose du Moyen-Orient.


NOTES POSITIVES : spoiler: Le film trace d’abord une image très compréhensible de la problématique entre colonisateurs et colonisés. Une fois cette image perçue, on s’associe facilement au héros du film. Sans le comprendre en synthèse au début, on fait face rapidement au choc de deux grandes cultures, celle du concept léguée par les Grecs et celle de la révélation qui est souvent l’apanage de religions.


NOTES NÉGATIVES : spoiler: La deuxième partie du film est trop politisée et nous fait perdre l’élan et l’enthousiasme de la première partie.


PISTES DE RÉFLEXION : spoiler: La réaction de Lawrence lorsqu’il rend justice directement. Par exemple, en tuant ou en se sentant coupable dans les affrontements d’avoir à défendre sa vie au détriment de celle des autres. Son idéal est mis à l’épreuve tout au long du film pour laisser place au côté pratique. Il sera flexible dans les stratégies qu’il déploiera pour fonctionner et arriver à ses fins. L’aspect intime de sa vie amoureuse est à peine effleuré pour laisser place au spectateur averti à tirer ses propres conclusions. Les personnes qui se sont attachées à lui en espérant de l’aide et du support se retrouvent souvent devant la mort. Tout au cours de son cheminement, les cadres politiques où il évolue restreignent continuellement son action. Dans la vraie vie, en plus de connaître ses actions par le biais du journaliste américain, il réussira à partager ses idées par ses écrits. Enfin, on se demande comment un homme qui a traversé tant d’épreuves a finalement trouvé la mort par son imprudence en moto.

A lire absolument "Dad Lean a life in pictures" de Kevin Bronlow (2005).
On y apprend que ce petit anglais était faible en Anglais, en maths et en latin et que sa mère ne savait pas ce que cet enfant deviendrait.
Fils de "quaker", strict, froid, et assez conventionnel, David a entretenu durant toute sa carrière, après celle de monteur, une relation difficile avec la critique et les intellectuels (do,t il se méfiait)
Après "brève rencontre et puis et surtout des illustrations imagières d'une rare qualité avec "les grandes espérances" et "Oliver Twist", le cinéaste britannique se vit offrir "Le pont de la rivière Kwai par Sam Spiegel, Ce fut un triomphe : il mettait en scène des hommes ordinaires dans des situations extraordinaires.

Lawrence d'Arabie suivit, cinq ans plus tard : tout a déjà été dit, ici ou ailleurs : scénario brillant de Robert Bolt (assez loin de la biographie officielle et tant mieux) , photographie en 65 mm; montage sublime 'désorganisé puis rétabli en 1989 et 2012 dans une version BLU RAY 4 K, une pure beauté, le film devient "inclassifiable" pour nos jeunes spectateurs qui n'ont pas eu la chance de s'immerger dans cette oeuvre atypique en 63 - dont chaque plan fait avancer l'action". Mais de quelle action s'agit-il, puisque n'opérant à aucun code du genre ?

Beaucoup, même les plus réfractaires (plus tard) au cinéma de David Lean, s'avouèrent vaincus par ce qui était "un miracle" sur pellicule.

Spielberg annonça que ce film avait déterminé sa "vocation"
Jon Millius, Scosese, Régis Warnier, Lelouch et tant d'autres ont mis ce film hors normes au Panthéon du cinéma.

Une perle rare, éblouissante et réfléchie qui cumule toutes les techniques du cinéma.

L'âge a fait son effet, mais le film garde tout de même des dialogues millimétrés avec de beaux décors, une grande mise en scène au service d'une histoire vraiment singulière et profonde.

David Lean réussit un coup de maitre en adaptant l'histoire incroyable mais vraie d'un colonel Anglais nommé Lawrence qui devient chef et prodige d'une armée d'Arabe qui conquiert pendant la seconde guerre mondiale son ennemi la Turquie !! Film qui dure quand même 3 heures 30 mais je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. J'avais vu un documentaire il y a pas longtemps sur "Lawrence d'Arabie" et j'ai profité d'une diffusion à la télé pour m'interresser à ce long métrage, la réalisation est magnifique et pour info, ce film inspire un certain Steven Spielberg qui le regarde avant chaque tournages de ses films, le scénario est constructif et montre la légende Lawrence dans son intimité et ses doutes, les batailles sont spectaculaires, la musique du Français Maurice Jarre est sensationnelle et les personnages, même secondaires, sont très bien travaillés. Coté casting, Peter O'Toole est parfait pour incarner le héros au visage angélique mais conquérant d'un peuple avec, à ses cotés, de grands acteurs comme Omar Sharif, Alec Guiness, Anthony Quinn, Jack Hawkins et tant d'autres. Un chef d'œuvre de David Lean, pas son meilleur pour ma part je préfère son film suivant "Docteur Jivago" mais une grande fresque passionnante.

revu en version restaurée, ce film culte n'a pratiquement pas vieilli. la réalisation et la mise en scène sont des modèles de cinéma. sans oublier bien évidemment peter o'toole dans la peau de son personnage pour toute sa carrière.

Evoquer ce film qui a de nouveau été projeté en 2014 dans plusieurs grandes villes de France, dans son intégralité (soit avec les 21 minutes inédites présentées au Festival de Cannes en 1989), permet aussi de rendre hommage à Peter O'Toole, disparu à Londres le 14 décembre 2013, à l'âge de 81 ans. Cet Irlandais formé sur les planches, demeure l' inoubliable interprète de ce film mythique qui, en 1962, a rendu son regard bleu célèbre dans le monde entier, et qu'il a promené dans plus de 80 films. A cette époque, O'Toole était d'une beauté inouïe, et David Lean lui avait prédit une grande carrière. En effet, que serait Lawrence of Arabia sans O'Toole ? et inversement, que serait devenu O'Toole sans Lawrence of Arabia ? L'aventure du film en elle-même est assez édifiante. Aujourd'hui visible dans une version entièrement restaurée, fidèle au montage initial du réalisateur et augmenté de scènes inédites, le film connut un tournage épique. David Lean était un perfectionniste qui travaillait parfois dans la douleur, en réalisant des enchaînements de séquences prodigieux mais jugé trop lent et trop attaché aux détails par les producteurs. Lawrence d'Arabie reste sans doute son film le plus soigné, le plus fignolé, et ne même temps le plus épuisant, car les conditions de tournage furent complexes et éprouvantes : transporter et ravitailler une équipe de cinéma et des figurants en plein désert sous des températures suffocantes a dû être une sacrée expérience, mais tous étaient persuadés de participer à une véritable aventure.
Le film captive de façon sublime par sa photographie qui magnifie le sable du désert, car ici, le désert est filmé un peu comme un personnage, avec une matérialité qui fascine l'oeil et envoûte l'esprit. La partition musicale de Maurice Jarre contribue énormément à ancrer durablement le film dans la mémoire ; les accents de mélopée arabes enrobés dans les cordes et les cuivres d'un orchestre symphonique sont tout simplement envoûtants, et dès qu'on entend ces notes hors contexte, on y associe immédiatement ce film . Le casting est éblouissant : outre O'Toole qui fait preuve d'un jeu subtil, nous trouvons Alec Guinness (qui sera fidèle à Lean, déjà vu dans le Pont de la Rivière Kwaï, et qui sera dans le Docteur Jivago) en prince Fayçal, toujours aussi malicieux sous n'importe quelle défroque, Anthony Quinn affublé d'un faux nez, en chef de guerre truculent à l'énergie débordante, José Ferrer en Bey turc cruel et sadique, Claude Rains en diplomate distingué, Anthony Quayle en officier britannique obtus, ainsi que le tout jeune Omar Sharif. David Lean cherchant un acteur arabe suffisamment bon et parlant l'anglais, ce jeune égyptien se présenta sans trop d'espoir, mais Lean conquis par son naturel, l'engagea, et pour lui aussi, ce fut le démarrage d'une grande carrière internationale ; plus de 50 ans après, il donne toujours des interviewes sur le tournage. La première scène où il rencontre O'Toole au puits, est absolument magique. Lawrence d'Arabie reste donc un pur joyau du 7ème art, il a connu un succès phénoménal dans le monde et a raflé plus d'une centaine de récompenses, dont 7 Oscars. Son déploiement d'acteurs, ses scènes d'action et de foule, son souffle épique, sa musique, sa photo, ses acteurs... tout est magnifique et reste mémorable, magistral, inaltérable, indémodable...

Inspiré de la vie de l'officier britannique T. E. Lawrence, ce long-métrage de 3h30 à l'ambition folle est l'une des œuvres cinématographiques les plus importants de la seconde moitié du XXème siècle. Le parcours et la personnalité iconoclaste et démesurée du personnage principal, magnifiquement interprété par Peter O'Toole, sont superbement retranscrits. Sa passion, sa fougue et sa volonté d'offrir leur indépendance aux peuples arabes contrastent terriblement avec l'égocentrisme de ses collègues officiers anglais, cloîtrés dans leurs bureaux, consacrant leur temps à se détendre et à intriguer, et emplis de préjugés racistes à l'égard des autochtones. Sublimée par la musique mythique de Maurice Jarre, la mise en scène de David Lean est ébouriffante. Son film entier rend hommage à la beauté, aux mystères et à la sensualité du désert de la péninsule arabique. Ses plans sont autant de tableaux qui constituent un émerveillement de tous les instants. Un chef d'œuvre.

Comment aimer le cinéma sans aimer "Lawrence d'Arabie"? Fresque mythique qui réunit des acteurs extraordinaires, une réalisation intelligente et travaillée, une musique exceptionnelle et inoubliable, entre autres. Psychologiquement très intense, cette oeuvre est non seulement primordiale dans la listes des films qui témoignent de la démesure hollywoodienne mais aussi est un film d'aventures à la portée historique pertinente, rythmé par des moments de bravoure cultes. Le scénario est intelligent et consacre beaucoup d'importance à la mosaïque de personnages, primordiale dans ce film. Des personnages très complexes et brillamment interprétés par des vrais acteurs, "Lawrence d'Arabie" est tout d'abord un film de personnages, avant tout une épopée personnelle, celle d'un idéaliste qui perd son innocence et se perd dans les pulsions guerrières. Le film devient complexe, ses personnages sont complexes. Mais le film impressionne aussi pendant les longues plages de silence, le silence et le vide désertiques, témoignant d'un paysage sans fin et dans lequel les personnages se perdent, écrasés par la chaleur intense du soleil. Tous ces éléments, réfléchis, aboutissent à l'évasion totale du spectateur, qui accepte de se perdre lui aussi pendant le film. La facette technique du film est extraordinaire, une réalisation méticuleuse, des cadres précis, un travail de photographie très brillant. Les mouvements de caméra sont frappantes. En quelques lignes, on se rend bien compte que ce film est d'une richesse totale. Le nouveau blu ray 4K est exceptionnel, une réussite totale, un véritable bijou qui est indispensable et qui donne des frissons dans votre salon. "Lawrence d'Arabie" est véritablement le Cinéma, c'est à dire qu'aucune autre forme d'art ne peut reproduire les émotions que l'on ressent en visionnant ce film. Magistral !

Excellent film que j'ai pus enfin voirs. Adorant désert et musique oriental Lawrence d'arabie réponds a ces deux critères. Les acteur surtout peter o'tool sont excellent.