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    Lawrence d'Arabie
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    Andrea M
    Andrea M

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 avril 2020
    Sans aucun doute l’un des plus grands films de l’histoire du cinéma. Tout y est sublime : les paysages (magnifiés par des séquences et des plans d’anthologie), la musique de Maurice Jarre (envoûtante et qui marque à jamais les mémoires), le montage (brillant et aux trouvailles incessantes, simples mais de toute beauté), la mise en scène (avec des audaces inouïes, comme le plan-séquence de l’arrivée d’Omar Sharif) et enfin les acteurs : avec un Peter O’Toole magistral, d’une beauté et d’une présence qui excluent toute critique (comment n’a t-il pas eu la palme d’or ni l’oscar, cent fois méritée, bizarre, bizarre ?), et tous les autres parfaits dans leurs costumes. Seul bémol, s’il pouvait y en avoir un : certains personnages historiques dont les rôles furent confiés à des acteurs anglais auraient pu être interprété par des comédiens arabes, mais en 1962 sans doute on ne pensait pas la chose essentielle.
    tyrionFL
    tyrionFL

    22 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juillet 2022
    Si je ne pense pas que Lawrence d'Arabie soit, comme l'affirme le DVD l'un des 5 films les plus importants ( pour cela je dirais le voyage sur la lune, surement un des films muets les plus aboutis tels que Les temps modernes ou Nosferatu, Citizen Kane, Apocalypse Now et Terminator 2 tous pour des raisons objectives détachées de mon gout personnel) de l'histoire car il n'est en rien révolutionnaire mais possède tous les atouts pour être l'un des plus grands films de l'âge d'or d'Hollywood alors même que celui-ci était sur le déclin.
    Le film est académiquement parfait en tout point mais possède des qualités en plus tel que des scènes et des dilemmes moraux rares à l'époque bien que Barrabas soit passé par là mais aussi un côté fresque historique moderne se situant dans un contexte peu exploité.
    Le film a tout pour plaire car il est aussi impressionnant que rafraîchissant sans être ennuyeux malgré sa longueur.
    Son seul défaut qui est aussi une qualité est Lawrence lui-même qui est un médiateur à de nombreux instants mais qui change de morale comme de chemise.
    C'est un personnage torturé parfois à raison mais parfois non ce qui le rend intéressant et tout sauf creux mais également assez inconsistant bien que cela puisse refléter une réalité historique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 mars 2020
    une œuvre extraordinaire, incontestablement le plus grand film qui m'ait été donné de voir,. La réalisation de David Lean est magistrale, l'interprétation remarquable, les décors naturels sublimes. un film a ne surtout pas manquer.
    Théo Pouillet
    Théo Pouillet

    6 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2020
    Une épopée grandiloquente sous le soleil chaud et le sable poussiéreux du désert arabe. Une quête de pouvoir et de gloire dans un cadre magnifié par l'immensité des paysages arides et dont le seul défaut reste la durée interminable.
    Robin
    Robin

    3 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 mars 2020
    Une œuvre magnifique, des paysages à couper le souffle, un scénario inspiré d'une histoire vraie très joliment mise en place... Les acteurs sont grands, sont bons, un très bel aspect de la première guerre mondiale qui est observé ici. J'ai adoré.
    Legid
    Legid

    37 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 février 2020
    Considéré comme un chef d'oeuvre par beaucoup, Lawrence d'Arabie est évidemment un bon film. Pour mon avis personnel, il ne fait et ne fera pas partie de mes chef d'oeuvre mais il reste un film intéressant à bien des égards.
    Pour un film de 1963 vu pour la première fois en 2020, Lawrence d'Arabie a particulièrement bien vieilli et sa technique reste toujours aussi marquante. Réalisation de qualité avec ses magnifiques paysages désertiques, musiques culte, très bonne interprétation du casting; tout ces aspects sont la marques de grands films et Lawrence d'Arabie ne déroge pas à ces règles.
    J'aurai cependant quelques réserves sur le scénario qui, s'il est intéressant et maintien l'attention pendant plus de 3h45, n'est pas aussi captivant que l'on veut bien le dire.
    Le scénario est en effet subtilement écrit et évite la glorification à outrance et le manichéisme.
    Il ne dépeint pas T.E.Lawrence comme un héros de guerre mais comme un homme ambigu, incertain de l’intérêt et la réussite de ses actes et moralement ambivalent avec ses gestion de la violence discutable.
    Malgré cela j'y ai trouvé un certain nombre de longueur qui nuit au rythme du film et par dessus tout, je n'y ai pas trouvé de souffle épique tant décrit. Il n'y a au final que très peu de batailles et surtout très courtes et l'accent est plus mis sur les conséquences morales et politiques de ses batailles.
    En résulte sur les plus de 3h45 de métrage, un visionnage plaisant mais pas aussi passionnant qu'espéré.
    Lawrence d'Arabie est donc un grand film qui mérite amplement son statut de film culte même si mon avis personnel est moins enthousiaste avec un film peut-être un peu trop long et pas aussi captivant qu'espéré.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 décembre 2019
    Telle la pyramide d’égyptologie ce projet pharaonique, des sujets s’inclinant devant le dieu soleil antique se levant à l’aube du 20ème siècle, la terre d’Arabie où se trouve la capitale Le Caire, est immensité désert dune tornade brûlant oasis boisson rafraîchissante, mirage illusion visible chaudement apparition.
    C’était au temps de l’or bleue, T.E. Lawrence l’officier britannique de sa majesté ilotière, se prenait pour le roi couteau tranchant écho falaise arabique, un envoyé pour mettre son grain de sable sur la région au proie conflictuelle avec l’empire turc, affaiblie par des insurrections arabes occupés et divisés en tribu millénariste.

    Leur règne militaire et culturel s’achève, menacé par l’ingérence extérieure à l’orientalisme, alimentant les rebelles, une révolte à feu et à sang, les bandits ferroviaires en profitèrent de la guerre, c’est le début de la stagnation puis de la décadence fin proche annoncée, le leader de cette guérilla n’est autrement que controversé, l’intelligent érudit savant bibliothécaire.
    Mener à bien sa mission clandestine chargée du royaume conquérant impérialiste, les mers n’ont plus de secrets à cacher, les découvertes avancées orientent la boussole, des batailles au bout du monde croisé de Jérusalem au mont Sinaï.

    C’est toute une longue histoire chronologique à raconter depuis la nuit des temps et les mille et une nuits, la carte Sésame s’ouvre le chemin sablé guidant les dromadaires,🐪 l’homme est d’un grand charisme ambigüe.
    Soit un drôle de personnage fantasque, provocateur, brillant, entrer par le hasard des circonstances dans l’armée royaliste, ses collègues connaissent ce sacré gaillard, voir comme un clown dans ce bel uniforme cliché anglais.

    Une personnalité prestigieuse débridée énergique pour son aura envie d’influencer, surprise...... est l’héritier légitime amicalement d’Arabie, personne ne laissera indifférent à ce charme aux yeux bleus et chevelure blonde de cet acteur, déjà-vu dans le dernier empereur.
    A retenir Peter O’Toole, transperce le regard sonde songeur, un bon comédien avant tout et une mise en scène au théâtre masqué, le coup de main des scènes révélations selon sa page recherche biographie romancée, transformé en foire célébrité icône médiatisée, une planification réalisée par l’emploi du temps chargé.

    L’époque ne diffère pas puisque des anciens appareils photographiques utilisés sont sur les conflits propagandistes, des pulsions canalisées face tortueuse forte très mal logiquement séquence séquelles blessantes.
    Après s’être fait prisonnier chez les turcs alliés de l’Allemagne, éternel ennemi héréditaire européen en pleine crise diplomatique, les américains s’y mêlent, dans l’âme et la mentalité libératrice indépendante soulèvement populaire, les français aussi savent révolutionnés, on comprend mieux la géopolitique de l’impérialisme du siècle.

    Une contribution pour ce film épopée désertique méditerranéen, ça rend soif cette traversée humaine audacieuse pertinemment n’ayant froid couvert et chaud canicule chaleur, une gorgée suffira afin d’éviter la déshydratation métabolique extrême.
    Tout est dans la tête du chameau réserve dos bosse,🐫 la super-résistance corporelle de l’incroyable illustre vénéré tant aimé émotif chéri chef d’Arabie caucasien clair, s’en va sans avoir connu plusieurs vies, salut aux amis motards particulièrement...
    steevevo
    steevevo

    8 abonnés 523 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Du grand spectacle. Mais ce qui fait la force de ce magnifique film c'est le voyage intérieur auquel on est invité.
    labadens
    labadens

    19 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Que de libertés prises avec l' Histoire !
    Panégyrique quant tu nous tient !
    Je comprends bien que, sur écran géant, en Scope, Technicolor, son stéréophonique et tout le bataclan, cette lourde machine ait pu donner à voir et, à une époque moins voyageuse qu’aujourd’hui, ait pu faire rêver des millions de spectateurs. Après tout, à Paris comme en province, les salles qui présentaient les films de voyage de Connaissance du Monde étaient, elles aussi bondées. Depuis que nous avons les séries d’Ushuaia et que nous connaissons M. Arthus-Bertrand, on nous la fait moins facilement…

    Car enfin, même si la musique de Maurice Jarre est prenante et parfaitement réussie, 3h42 de désert et de chevauchées à dos de dromadaires, c’est un peu lassant, et le rythme d’une étouffante lenteur du film ne prend un peu d’allure qu’à l’extrême fin, lorsque Lawrence s’aperçoit qu’il a été refait comme un petit enfant boudeur.

    Il me semble que dans son chef-d’œuvre, Le Pont de la rivière Kwaï ou dans le moins réussi, mais intéressant Docteur Jivago, le réalisateur David Lean avait montré son sens de l’ampleur, souffle, mais aussi celui du récit ; rien de palpitant dans Lawrence d’Arabie, seulement le parcours d’un type assez bizarre, masochiste et exalté, au regard extatique, qui, au nom d’on ne sait quelle lubie vient allumer quelques incendies dans un Proche-Orient qui n’en avait pas vraiment besoin.

    Turcophobe et francophobe, ce qu’on peut concevoir d’un Britannique, il n’agit pas, en fait, pour asseoir l’influence de la Grande-Bretagne sur la région, mais par pure arabophilie (cela, c’est le film ; la réalité du personnage historique paraît avoir été moins manichéenne) ; son idéalisme lui revient dans la figure .

    Lawrence d’Arabie est un des films les plus dépourvus de femmes de l’histoire du cinéma ; nous voyons des ombres .
    Sur la cinquantaine de noms figurant au générique, sur Imdb, je ne recense qu’une actrice, dans un rôle muet (et d’ailleurs non crédité) d’infirmière ; les yeux devaient être bien naïfs, en 1962, pour ne pas voir par là une présentation détournée mais fort claire de la pédérastie de Lawrence, rendue assez douteuse par le physique de Peter O’Toole, un des acteurs les plus figés qui se puisse, presque orgasmique lorsqu’il tue.

    Bref, tout ça n’est pas terrible, malgré les décors, les costumes, et la photogénie éternelle du désert…

    Sur le sujet de l’homosexualité, On est comme on est, un point c 'est tout, i j’en conviens, mais je refuse que l’on se pare comme un titre de gloire ce qui est une donnée de nature.

    En voyant Peter O’Toole gambader comme un elfe sur le toit d’un train, et animant ses voiles comme Salomé devant le roi Hérode Antipas, j’ai effectivement pensé à Priscilla folle du désert et je goguenarde là-dessus. Le droit à l’indifférence, c’est aussi le droit au sarcasme ; si l’on s’interdit de se moquer des Noirs, des Juifs ou des Nippons comme on se moque des Corses, des Auvergnats ou des Écossais, c’est qu’on est déjà contaminé par la doxa .

    Ceux qui sont d’une génération morale, où l’équivalence des idées et des comportements est reine, où chacun a le droit de vivre sa vie, quelle qu’en soit la conséquence pour le corps social, peuvent s’indigner qu’une critique soit moqueuse, injuste, parcellaire, agressive, démesurée : le grand silence du respectable (respect, le mot le plus répugnant du politiquement correct) a déjà envahi tant de (pourtant bonnes) cervelles que rien ne m’étonne plus.

    Voilà de bien grands mots pour un film qui ne mérite que des bâillements !
    Arthur G.
    Arthur G.

    2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Certes certaines scènes sont visuellement magnifiques. Mais le scénario s'étire en longueur. Lawrence est un peu surjoué à mon goût et alterne entre la folie et les batailles de manière très répétitives sur la fin. Certains passages font très
    John Henry
    John Henry

    108 abonnés 708 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    Lawrence d'Arabie est un film ample, ambitieux qui mêle le destin d'un homme, des peuples et le point de vue politique et historique et qui le fait dans une écriture simple, évidente, dans une poésie et une lumière singulière avec un ôde au désert, personnage à part entière, magnétique, oppressant, sauvage. Ces 3h45 sont une prouesse d'équilibre, de rythme et d'envoutement.
    serge d
    serge d

    4 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 septembre 2019
    LE CHEF D'OEUVRE ABSOLU. Tout est parfait dans ce film, d'abord l'histoire, vraie aborde un pan assez important de l'histoire du moyen orient au début du 20eme siècle inconnu dans l'enseignement, ensuite le jeu d'acteurs est remarquable avec un peter o'tool au sommet de son art, les décors incroyables la musique, un des 20 meilleurs films.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 août 2019
    Je m’attendais à un blockbuster à l’ancienne, dans un style péplum un peu ringard et empesé. La première heure a suffi non seulement à me détromper, mais aussi à me mettre une belle claque esthétique. Toutes ces scènes dans le désert, avant la constitution de l’armée rebelle, sont d’une beauté et d’une puissance à couper le souffle, sublimées par une copie restaurée complètement bluffante. Passée la première moitié, c’est un peu plus classique dans le rythme, légèrement répétitif et quand même un peu trop long, mais le propos reste passionnant et on en prend encore régulièrement plein la vue. Un chef-d’œuvre, tout simplement.
    Roub E.
    Roub E.

    999 abonnés 5 025 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2019
    Alors oui c’est du cinéma à l’ancienne. Oui c’est vu au travers des yeux d’un occidental sur les événements, oui c’est par moment trop long (surtout le passage de la traversée du désert qui peut en rebuter beaucoup), mais c’est beau. Le cadre et la nature aride de David Lean sont extraordinaires, même si comme je le disais il y a des longueurs ont ne peut qu’être hypnotisé par le côté grandiose du film, de ces paysages immenses et austères. Si je ne suis pas convaincu par le jeu là aussi trop à l’ancienne de Peter O’Toole d’autres acteurs et surtout Omar Sharif sont bons. C’est du cinéma comme on en fait plus, un peu ampoulé certes mais grandiose, authentique et soigné.
    Antoine D.
    Antoine D.

    42 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 janvier 2019
    Lawrence d’Arabie, fresque exceptionnelle qui narre le destin du lieutenant britannique Lawrence, grand initiateur de la révolte des Bédouins.

    Comment commencer sans parler de Peter O’Toole, à l’époque, inconnu du grand public et propulsé au devant de la scène en nous imposant une image prophétique du vrai Lawrence. Le casting regroupe aussi de grand nom comme Omar Sharif, Anthony Quinn ou Alec Guinness. La musique composée par Maurice Jarre complète à merveille les paysages désertiques filmés par David Lean.
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