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Clark oppose à la lucidité blanche de son regard une recherche constante d'équilibre entre compassion et mise à distance. (...) son cinéma, à l'image de la longue scène de sexe finale, possède une force unique à se libérer de toute temporalité pour déboucher sur un espace à l'absolue neutralité : un Eden ambigu traversé de grises fulgurances.
Le film nous mène auprès de ses copains. Leur rêve informulé : connaître la sincérité des sentiments, le respect de l'autre qui, dans le monde de ces adultes-là, leurs parents, a disparu.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Aujourd'hui, aux Etats-Unis, Larry Clark pourraît être l'emblème le plus sérieux, sinon le seul, d'une contre-culture, au sens où, à une société et à sa culture de masse, il oppose une sous-culture, négatif de la première dont elle est en même temps le produit.
Une étiquette - glamour trash - a même été inventée pour neutraliser le venin que Larry Clark a injecté dans la représentation contemporaine des kids urbains. Pour nous, il reste celui qui a ouvert les yeux, ou qui n'a jamais cessé de les tenir écarquillés. Une manière de témoin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Là est toute sa force, la réalisation est toujours à l'idéale distance des personnages et la photographie les rend tous beaux sans verser dans l'imagerie publicitaire. La fin sonne comme un véritable requiem.
Avec une rigueur totale, le metteur en scène déshabille ses personnages au propre comme au figuré (...) une plage contemplative qui laisse pénétrer l'air du désir dans l'enfer du monde.
La critique complète est disponible sur le site Première
La réalisation, cosignée avec le brillant chef op Ed Lachman (...) ne cesse d''infléchir le script vers davantage de trouble, de venin, de tendresse, de compassion. Tout le monde souffre : les ados, parce qu''ils sont des ados ; les adultes, parce qu''ils ne sont plus des ados.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Clark oppose à la lucidité blanche de son regard une recherche constante d'équilibre entre compassion et mise à distance. (...) son cinéma, à l'image de la longue scène de sexe finale, possède une force unique à se libérer de toute temporalité pour déboucher sur un espace à l'absolue neutralité : un Eden ambigu traversé de grises fulgurances.
Aden
Le film nous mène auprès de ses copains. Leur rêve informulé : connaître la sincérité des sentiments, le respect de l'autre qui, dans le monde de ces adultes-là, leurs parents, a disparu.
Cahiers du Cinéma
Aujourd'hui, aux Etats-Unis, Larry Clark pourraît être l'emblème le plus sérieux, sinon le seul, d'une contre-culture, au sens où, à une société et à sa culture de masse, il oppose une sous-culture, négatif de la première dont elle est en même temps le produit.
Les Inrockuptibles
Exemplaire de la réussite de ce film sont les scènes de cul, les plus belles de récente mémoire.
Libération
Une étiquette - glamour trash - a même été inventée pour neutraliser le venin que Larry Clark a injecté dans la représentation contemporaine des kids urbains. Pour nous, il reste celui qui a ouvert les yeux, ou qui n'a jamais cessé de les tenir écarquillés. Une manière de témoin.
MCinéma.com
Là est toute sa force, la réalisation est toujours à l'idéale distance des personnages et la photographie les rend tous beaux sans verser dans l'imagerie publicitaire. La fin sonne comme un véritable requiem.
Première
Avec une rigueur totale, le metteur en scène déshabille ses personnages au propre comme au figuré (...) une plage contemplative qui laisse pénétrer l'air du désir dans l'enfer du monde.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Un film un peu plus lumineux que les précédents.
Télérama
La réalisation, cosignée avec le brillant chef op Ed Lachman (...) ne cesse d''infléchir le script vers davantage de trouble, de venin, de tendresse, de compassion. Tout le monde souffre : les ados, parce qu''ils sont des ados ; les adultes, parce qu''ils ne sont plus des ados.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
D'autant plus dérangeant que le cinéaste voyeur a du talent.