Un film exelent et enormement symbolique tel "On abat bien les cheveaux" qui dénonce l'enfer et la pervertion du jeu. McQuuen est tout simplement brillant.
Le Kid de Cincinnati possède une histoire qui manque considérablement d'intêret. Ce qui est regrettable car son casting 4 étoiles ( Steve Mc Queen, Ann Margret, Edward G.Robinson, Tuesday Weld et Karl Malden ) est à la hauteur, mais j'ai eu du mal à vraiment m'intéresser au personnage et à cette partie de poker que j'ai trouver finalement guère intéressante. Ce long métrage manque aussi considérablement de suspense - à part à la fin - et possède finalement sa plus grande qualité en ce qui concerne la photographie. En effet, l'utilisation de la couleur est souvent employé de manière judicieuse, ce qui m'a grandement aider à visionné le film jusqu'à la fin. Il s'agit donc d'une oeuvre de Norman Jewison pas totalement déplaisante, mais souffre malheureusement d'un gros problème au niveau de la narration, ce qui empêche notamment son super casting d'être mis en valeur.
Une ambiance, une époque. Le poker filmé sans la frime, seulement la classe. Celle de Steve McQueen et d'un resplendissant Edward G. Robinson. A revoir régulièrement, par amour du cinéma.
Le Kid de Cincinnati, 1965, de Norman Jewison, avec Steve MCQueen, Edward G. Robinson et Karl Malden. Histoire d’un joueur de poker très talentueux, qui va se mesurer à un vieux, tout aussi talentueux…et perdre. Le beau Steve nous fait un jeu archi minimaliste, mais on craque sur un regard, un geste, une respiration.
"The Cincinnati Kid" est un film très intéressant pour tous les amateurs de poker. L'affrontement entre Steve McQueen (le challenger) et Edward G. Robinson (le champion) est remarquable, tant ces deux acteurs s'identifient parfaitement à leurs rôles. Les seconds rôles sont aussi savoureux, notamment Karl Malden & Ann-Margret. La réalisation est soignée, même le film souffre de quelques longueurs et de quelques invraisemblances (particulièrement lors du duel final).
Jewison illustre le mode de vie de l’époque, l’atmosphère de Cincinnati par l’histoire du « Kid », stoïquement interprété par McQueen. Mais le film a perdu ce qu’il n’avait déjà pas beaucoup en 1965, soit de l’intensité, du charme et de la mise en scène.
Remake de L'Arnaqueur au poker, Le Kid de Cincinnati n'égale en rien son prédecesseur. La mise en scène de Jewison (bon réalisateur au demeurant) n'égale en rien celle de Rossen et les personnages sont moins bien brossés, tout comme l'intrigue amoureuse. Toutefois, l'ensemble n'a rien d'insoutenable. Les acteurs sont assez bons, notamment Edward G. Robinson, immense comme à son habitude. Et il est vrai que l'on pourra se consoler sur toutes les parties de cartes, toutes assez maitrisées et intéressantes. Un peu décevant, mais tout de même très regardable.
On sent Steve McQueen investit a fond dans son role et il est vraiment l'atout principal de ce film. Plus qu'un simple film sur le jeu et le poker, çà parle aussi d'honnêté et de trahison. La derniere partie du film avec "la partie" de poker et le face a face entre le kid et le roi nous matiens en haleine, mais çà ne suffit pas a gommer l'ennui de certaines scenes précédentes.
Un classique pour les amateurs de poker. Steve McQueen, le kid de Cincinati, décide de devenir le nouveau Roi du poker. Pour celà, une partie de Stud Seven de Haut niveau l'attend... Ambiance Western, la tension est palpable.. Un film qui permet aussi aux spectateurs novices de comprendre les stratégies des joueurs, et pourquoi pas de se laisser tenter par une petite partie.. Bref, à voir au moins une fois dans sa vie !
Ce qui est enervant avec les films de Steeve mcqueen, c'est que quand on y repense après, on se souvient que de McQueen. Comment définir le film ? sobre, classe, beau gosse. Bref, la classe. McQueen.