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ManoCornuta
Passé le premier quart d'heure, le spectateur doit bien s'avouer une chose: le schéma narratif du film sera sans surprise. Le choix de traiter principalement de l'aspect médiatique plutôt que du drame semblait intéressant, mais tout cela tourne un peu en rond, et au bout d'une heure on commence à s'ennuyer ferme. Les acteurs sont plutôt en petite forme, et Meryl Streep déguisée en Mireille Mathieu est une violation intolérable des lois capillaires. Il y a bien d'autres films plus prenants et abordant la question des médias avec plus de maîtrise.
Le film est très lent et l'ensemble ne tient pas la route du tout. Le rythme et le montage sont totalement catastrophiques et on ne comprend souvent rien avec des ellipses très nombreuses, parfois même très mal positionnées. La version française est très mauvaise et la fin totalement ratée. Très très lent!
"Un dingo a volé mon bébé !", cette phrase résonne encore. Un bon film sur un fait divers glaçant avec une excellente Meryl Streep.
Ne connaissant ni le film ni le fait divers racontant son histoire je n’avais aucun a priori ni idées préconçues. Aussi j’ai bien aimé cette triste histoire qui même si elle paraît incroyable ne laisse plus planer le doute quant à la destinée du bébé.
Une histoire vraie qui èbranla l'Australie dans les annèes 80! Celle de la famille Chamberlain dont le bèbè a ètè enlevè par un dingo! Rumeurs, idèes prèconçues, couverture mèdiatique sans prècèdent alimentent ce fait divers incroyable qui dèchaîna les passions de tout un pays! Infanticide ? Sacrifice dans le dèsert ? La disparition du bèbè Azaria continue aujourd'hui à parler même si les Chamberlain ont depuis ètè acquittès! Succès de l'ètè 88, "A Cry In The Dark" ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui sans la performance de Meryl Streep! Un rôle dans lequel elle s'investit totalement en apportant une technique impeccable, une prèsence, un physique (perruque sombre, lunettes noires, sourcils pointant vers le haut ) pour un personnage troublant qui ne tiendrait pas le coup sans son apport! A ses côtès, Sam Neill est parfait en mari tourmentè! En rèsulte un rèquisitoire captivant traversè par de splendides paysages australiens au coeur du fascinant Ayers Rock...
caro18
Film sur un fait divers ininteressant, inutile et long.
weihnachtsmann
Le film est réussi dans le sens où toute cette affaire est écœurante. Ces procès, les journalistes, les accusations immondes.
Cependant il est ennuyeux car il ne se passe au final rien et cela tourne en rond assez vite.
Triste affaire malgré tout.
Cependant il est ennuyeux car il ne se passe au final rien et cela tourne en rond assez vite.
Triste affaire malgré tout.
Ce film en 2025 est toujours autant d'actualité, les médias et le public n'a pas compris les leçons de cette affaire qui rappelle un peu l'affaire Grégory. Il faut toujours accuser la mère même sans un seul indice probant.
Le.film n'a pas trop vieilli, le procès est bien retranscrit.
Le petit reproche c'est de traiter un fait divers Australien par des acteurs américains.
Le.film n'a pas trop vieilli, le procès est bien retranscrit.
Le petit reproche c'est de traiter un fait divers Australien par des acteurs américains.
🎬 RENGER 📼
Un Cri dans la nuit (1988) nous replonge en plein cœur d’une histoire vraie, celle qu’a vécu la famille Chamberlain. En 1980, dans l'outback australien, une mère de famille fut accusée d’infanticide (son nourrisson de neuf semaines aurait été enlevé par un dingo, un chien sauvage d’Australie, alors qu’elle faisait du camping avec sa famille). Hélas, l’affaire se retourne contre les parents et plus particulièrement contre la mère, accusée d’infanticide. La presse populaire s’en donne à cœur joie et ne cessent d’en faire les gros titres et ce, au mépris des victimes. Dans les principaux rôles, on retrouve un très beau tandem, à savoir Meryl Streep & Sam Neill. Concernant la réalisation, Fred Schepisi (Six degrés de séparation - 1993) ne sera pas parvenu à nous émouvoir avec son histoire, réalisé de façon très conventionnel, on a constamment l’impression d’avoir à faire à un téléfilm et non à une œuvre de cinéma avec tout ce que cela implique. Reste tout de même une très belle distribution, dont la performance de Meryl Streep qui ne passa pas inaperçue, comme en atteste son Prix d'Interprétation féminine au 42ème Festival de Cannes et ses nominations à l’Oscar et aux Golden Globes de la Meilleur Actrice !
Pas le film du siècle mais l'histoire est assez folle et le jeu de Meryl Streep, Sam Neill reste bien nuancé. Le film montre bien la rapacité des journalistes et le problème des procès ou tout ce joue sur des détails en dépit du bon sens.
Ps: pour la coupe de cheveu qui choque certains critiques c'est à peu près la coupe qu'avait le personnage réel en 80. Il est vrai qu'elle ne va pas très bien à Meryl streep mais d'un autre coté c'est génial car ça donne d'entrée au personnage un coté suspect comme quoi il faut peu de chose.
Ps: pour la coupe de cheveu qui choque certains critiques c'est à peu près la coupe qu'avait le personnage réel en 80. Il est vrai qu'elle ne va pas très bien à Meryl streep mais d'un autre coté c'est génial car ça donne d'entrée au personnage un coté suspect comme quoi il faut peu de chose.
Un cri dans la nuit est un film décevant. Malgré un sujet en or, le scénario se perd dans des scènes sans intérêt d’un point de vu scénaristique et on y perd en qualité et en contenu. Le film ne réussit pas à nous tenir en haleine jusqu’au bout et à nous intéresser. La mise en scène de Fred Schepisi et le rythme qui l’impose se révèlent très inégales. Néanmoins, Meryl Streep et Sam Neill font de leur mieux.
Abarai
Meryl Streep et Sam Neill, confrontés dans l'adaptation d'un fait réel.
Un cri dans la nuit est pourtant une belle bouse. Tout d'abord, le film est vieillot, et on ne peut décemment pas prendre Meryl Streep au sérieux avec cette coiffure de Playmobil.
Ensuite, l'histoire nous barde de séquences à l'inutilité grossière. La structure est épouvantable, et on finit par s'embrouiller en voyant des scènes qui n'apportent absolument rien au film.
C'est vraiment raté et l'histoire ne surprend pas.
P.S. J'ai cru à une erreur sur le plan final...
Un cri dans la nuit est pourtant une belle bouse. Tout d'abord, le film est vieillot, et on ne peut décemment pas prendre Meryl Streep au sérieux avec cette coiffure de Playmobil.
Ensuite, l'histoire nous barde de séquences à l'inutilité grossière. La structure est épouvantable, et on finit par s'embrouiller en voyant des scènes qui n'apportent absolument rien au film.
C'est vraiment raté et l'histoire ne surprend pas.
P.S. J'ai cru à une erreur sur le plan final...
Ce fait divers passionnant qui a déchaîné la chronique de l'Australie est raconté de manière très conventionnel (peut être un peu trop même mais on est loin des super-production hollywoodienne aux crédit illimités). Meryl Streep et surtout Sam Neil très convaincants dans leurs rôles de parents brisés.
Ce film de Fred Schepisi rend compte de la tempête médiatique et émotionnel que suscita la disparition d’un bébé, enlevé par un dingo sur le site d’Ayers Rock au mois d’août 1980, un fait divers tragique qui alimenta et divisa l’opinion publique des années durant. Collant au plus près de son personnage, aussi bien par son apparence que son attitude, Meryl Streep y livre une excellente interprétation au côté d’un Sam Neil fragilisé par l’ampleur et la tournure de cette affaire que la justice australienne classa... 32 ans après les faits.
Meryl Streep et Sam Neill ont beau y mettre du leur ce film laisse tout de même sur une impression mitigée. Pourtant quoi de plus passionnant que ce fait divers tragique tiré d'une histoire vraie qui permet par cette intermédiaire de critiquer vertement une opinion et une justice qui condamnent sur des suspicions et non pas sur des preuves. Mais la mise en scène manque considérablement de percutant et de rythme en particulier lors d'une première heure assez longue à passer. Comme pratiquement toujours dans ce genre de film, l'ensemble se rattrape dans des scènes procédurières assez captivantes. Ce qui ne suffit pas hélàs à rattraper le manque de force de cette oeuvre, faute peut-être d'un grand cinéaste, qui aurait pu prendre aux tripes.
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