Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Figaro
par Marie Noël Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Emmanuelle Frois
Un face-à-face fort, plein de rebondissements, mené par deux acteurs qui excellent dans leur art : Willem Dafoe en être tourmenté qui en veut à celui qui a réussi, et Robert Redford en self made man qui a oublié le sens du mot survie.
Libération
par Gilles Renault
Solidement construit sur la base d'un subtil décalage chronologique, l'Enlèvement détaille les faits de façon équitable entre, d'une part, le rapt proprement dit (palabres, menaces, négociations), d'autre part, l'attente de la famille, réunie en catastrophe, et l'enquête que mène sans panache un agent du FBI (bonne composition terne, à l'ombre du brelan de stars, d'Alessandro Nivola).
MCinéma.com
par Camille Brun
Sur le papier, L'ENLEVEMENT ne donne pas vraiment envie de se déplacer... Et pourtant, le premier long métrage de Pieter Jan Brugge vaut bien mieux que cet a priori fade. Sans être le chef d'oeuvre de l'année, son film mérite même largement le détour.
Première
par Alexis Trosset
Pieter jan Brugge (...) se concentre sur l'essentiel et parvient à tirer la quintessence d'un noeud dramatique utilisé à outrance. Au lieu de céder aux conventions du thriller, inhérentes au sujet, le drame de L'Enlèvement infuse avec calme et retenue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rock & Folk
par Christophe Lemaire
Redford / Dafoe se livre à un numéro d'acteurs d'une finesse psychologique hallucinante où leurs angoisses respectives passent par des jeux de regards subtils, des non-dits troublants et une compassion mutuelle totalement fascinante. Ce qui, pour un film américain réalisé en 2004, relève carrément du miracle.
Rolling Stone
par Isabelle Danel
On frôle l'exercice de style, mais la qualité de la mise en scène et de l'interprétation emporte l'adhésion.
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Pieter Jan Brugge, producteur à succès dont c'est la première réalisation, se joue des poncifs avec ce thriller astucieusement construit en diptyque. Soit l'assurance d'une tension dramatique au carré.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Un film infiniment plus complexe et subtil que le minimalisme suggéré par son titre ne pourrait le laisser croire.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Quelques astuces narratives pourraient sceller un cousinage. (...) Sauf que là où l'artisanat de Shyamalan s'inquiète de son autre, cette première réalisation du producteur Jan Brugge ne déploie sa sobre garde-robe qu'à ses propres fins, petite machine intéressée au seul déroulement du programme éponyme.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
L'auteur a été marqué par Klute, Délivrance, French Connection et Conversation secrète. Il en tire un agréable patchwork, qui est quand même davantage le fruit d'un technicien hors pair qu'une oeuvre témoignant d'une authentique sensibilité d'auteur.
Le Parisien
par Marie Sauvion
Intelligemment construit, mais aussi froid et bavard, ce long-métrage manque de chair et peine à captiver. Reste un casting royal, forcément tentant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
Un thriller des plus classiques construit autour d'un montage entre un duel psychologique et physique kidnappeur/enlevé (Dafoe/Redford) qui tient ses promesses, et l'attente prévisible et larmoyante de la famille soutenue par le FBI.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Véronique Le Bris
Respectant l'équilibre des forces en présence, Pieter Jan Brugge oublie pourtant l'essentiel, le ressenti, la tension de l'attente côté familial ou l'insupportable peur de la victime. Et cela, malgré un casting de choix (...).
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
L'Enlèvement, qui s'autoproclame pourtant bon film sérieux pour adultes, peine même à atteindre le "divertissement d'honnête facture".
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Phillipe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Tout cela ne présente en fait guère d'intérêt car le peu de sympathie que l'on peut éprouver pour les protagonistes de ce récit rend à peu près dérisoire et inopérante la tension voulue par le cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
C'est le premier long-métrage réalisé par le producteur de Révélations, Bullworth, L'affaire Pelican et Glory. Il aurait sans doute dû s'en tenir à son premier métier. (...) Sur le thème éculé des rapports kidnappeur-kidnappé, il ne parvient pas à définir le cadre chronologique de son récit, ni à en gommer les invraisemblances qui empêchent l'adhésion.
Télérama
par Pierre Murat
Ce qui se passe entre les deux hommes est si clichetonneux que l'on passe son temps à maudire un artifice de scénario. Lequel, éclairé par l'épilogue, rend d'ailleurs le projet encore plus vain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un face-à-face fort, plein de rebondissements, mené par deux acteurs qui excellent dans leur art : Willem Dafoe en être tourmenté qui en veut à celui qui a réussi, et Robert Redford en self made man qui a oublié le sens du mot survie.
Libération
Solidement construit sur la base d'un subtil décalage chronologique, l'Enlèvement détaille les faits de façon équitable entre, d'une part, le rapt proprement dit (palabres, menaces, négociations), d'autre part, l'attente de la famille, réunie en catastrophe, et l'enquête que mène sans panache un agent du FBI (bonne composition terne, à l'ombre du brelan de stars, d'Alessandro Nivola).
MCinéma.com
Sur le papier, L'ENLEVEMENT ne donne pas vraiment envie de se déplacer... Et pourtant, le premier long métrage de Pieter Jan Brugge vaut bien mieux que cet a priori fade. Sans être le chef d'oeuvre de l'année, son film mérite même largement le détour.
Première
Pieter jan Brugge (...) se concentre sur l'essentiel et parvient à tirer la quintessence d'un noeud dramatique utilisé à outrance. Au lieu de céder aux conventions du thriller, inhérentes au sujet, le drame de L'Enlèvement infuse avec calme et retenue.
Rock & Folk
Redford / Dafoe se livre à un numéro d'acteurs d'une finesse psychologique hallucinante où leurs angoisses respectives passent par des jeux de regards subtils, des non-dits troublants et une compassion mutuelle totalement fascinante. Ce qui, pour un film américain réalisé en 2004, relève carrément du miracle.
Rolling Stone
On frôle l'exercice de style, mais la qualité de la mise en scène et de l'interprétation emporte l'adhésion.
Télé 7 Jours
Pieter Jan Brugge, producteur à succès dont c'est la première réalisation, se joue des poncifs avec ce thriller astucieusement construit en diptyque. Soit l'assurance d'une tension dramatique au carré.
TéléCinéObs
Un film infiniment plus complexe et subtil que le minimalisme suggéré par son titre ne pourrait le laisser croire.
Cahiers du Cinéma
Quelques astuces narratives pourraient sceller un cousinage. (...) Sauf que là où l'artisanat de Shyamalan s'inquiète de son autre, cette première réalisation du producteur Jan Brugge ne déploie sa sobre garde-robe qu'à ses propres fins, petite machine intéressée au seul déroulement du programme éponyme.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
L'auteur a été marqué par Klute, Délivrance, French Connection et Conversation secrète. Il en tire un agréable patchwork, qui est quand même davantage le fruit d'un technicien hors pair qu'une oeuvre témoignant d'une authentique sensibilité d'auteur.
Le Parisien
Intelligemment construit, mais aussi froid et bavard, ce long-métrage manque de chair et peine à captiver. Reste un casting royal, forcément tentant.
Les Inrockuptibles
Un thriller des plus classiques construit autour d'un montage entre un duel psychologique et physique kidnappeur/enlevé (Dafoe/Redford) qui tient ses promesses, et l'attente prévisible et larmoyante de la famille soutenue par le FBI.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Respectant l'équilibre des forces en présence, Pieter Jan Brugge oublie pourtant l'essentiel, le ressenti, la tension de l'attente côté familial ou l'insupportable peur de la victime. Et cela, malgré un casting de choix (...).
Chronic'art.com
L'Enlèvement, qui s'autoproclame pourtant bon film sérieux pour adultes, peine même à atteindre le "divertissement d'honnête facture".
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Tout cela ne présente en fait guère d'intérêt car le peu de sympathie que l'on peut éprouver pour les protagonistes de ce récit rend à peu près dérisoire et inopérante la tension voulue par le cinéaste.
Ouest France
C'est le premier long-métrage réalisé par le producteur de Révélations, Bullworth, L'affaire Pelican et Glory. Il aurait sans doute dû s'en tenir à son premier métier. (...) Sur le thème éculé des rapports kidnappeur-kidnappé, il ne parvient pas à définir le cadre chronologique de son récit, ni à en gommer les invraisemblances qui empêchent l'adhésion.
Télérama
Ce qui se passe entre les deux hommes est si clichetonneux que l'on passe son temps à maudire un artifice de scénario. Lequel, éclairé par l'épilogue, rend d'ailleurs le projet encore plus vain.