Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
MCinéma.com
par Benjamin Braddock
Interprétée par l'extraordinaire Oksana Akinshina, cette Lilya marquera nos mémoires pour toujours.
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
Choc pris de plein fouet, il tente lui-même de le définir en juxtaposant toutes les pulsions qui le traverse. Il voulait faire " un film sur l'envie de partir et de tout quitter. Un film sur l'abandon. Un film sur les gens riches qui pensent que tout s'achètent et sur les pauvres qui doivent vendre tout ce qu'ils ont. Un film sur ce qui se passe loin de chez lui, ou tout près de chez nous... ". Pari tenu.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Du beau cinéma sur un sujet de désolation.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Thomas Sotinel
Par ce biais d'une fiction pleinement assumée, du dessin appuyé d'un motif presque impossible à voir au naturel, Lukas Moodyson offre au regard ce que l'on ne veut pas voir, servi par une interprète d'une telle justesse qu'on pourrait presque croire qu'elle est ce personnage, enfant au beau visage buté aspirée par l'argent de l'autre côté d'un mur nouveau qui s'est élevé sur le tracé de l'ancien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Obejctif-Cinema.com
par Romain Le Vern
Grand petit film sur les laissés-pour-compte, Lilya-4-ever n'est rien de moins qu'un méchant coup de poing dont on se remet mal et qui traîne longtemps dans la tête. Salutaire.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Zurban
par Charlotte Lipinska
Aussi inéluctable qu'elle apparaisse, sa descente aux enfers n'en est que plus abjecte et c'est avec une force émotionnelle inouïe que Moodysson parvient à susciter l'empathie. Fuyant sentimentalisme et racolage, sa réalisation brute de décoffrage évite tout jugement moralisateur.
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
par Lise Bellynck
Le discours politique est tristement démonstratif (...). La poésie un peu mièvre joue du misérabilisme sans subtilité.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Avec une sorte de délectation hypocrite soigneusement camouflée sous l'étiquette du réalisme social, Lilya 4-ever se vautre dans le sordide sans le moindre point de vue. Et pas à côté, non, au beau milieu.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
La vulgarité des plans subjectifs, et en rafale, sur les bourgeois suédois tronchant l'adolescente, est le point de non-retour de ce film peu ragoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Moodyson martèle son dscours avec conviction, pour ne pas dire avec manichéisme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Aurélien Férenczi
Il y a bien Oksana Akinshina, joli minois et belle présence tragique, mais le réalisateur de Fucking Amal n'évite pas les pièges du pathos facile. Un scénario d'une noirceur un peu trop prévisible - la Scylla capitaliste et sa prostitution à la chaîne n'ayant rien à envier, côté mélo, aux Charybde d'Europe centrale -, des échappées poétiques malheureuses : on finit, hélas, par rester extérieur à la déchéance de Lilya...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Interprétée par l'extraordinaire Oksana Akinshina, cette Lilya marquera nos mémoires pour toujours.
Fluctuat.net
Choc pris de plein fouet, il tente lui-même de le définir en juxtaposant toutes les pulsions qui le traverse. Il voulait faire " un film sur l'envie de partir et de tout quitter. Un film sur l'abandon. Un film sur les gens riches qui pensent que tout s'achètent et sur les pauvres qui doivent vendre tout ce qu'ils ont. Un film sur ce qui se passe loin de chez lui, ou tout près de chez nous... ". Pari tenu.
Le Figaroscope
Du beau cinéma sur un sujet de désolation.
Le Monde
Par ce biais d'une fiction pleinement assumée, du dessin appuyé d'un motif presque impossible à voir au naturel, Lukas Moodyson offre au regard ce que l'on ne veut pas voir, servi par une interprète d'une telle justesse qu'on pourrait presque croire qu'elle est ce personnage, enfant au beau visage buté aspirée par l'argent de l'autre côté d'un mur nouveau qui s'est élevé sur le tracé de l'ancien.
Obejctif-Cinema.com
Grand petit film sur les laissés-pour-compte, Lilya-4-ever n'est rien de moins qu'un méchant coup de poing dont on se remet mal et qui traîne longtemps dans la tête. Salutaire.
Zurban
Aussi inéluctable qu'elle apparaisse, sa descente aux enfers n'en est que plus abjecte et c'est avec une force émotionnelle inouïe que Moodysson parvient à susciter l'empathie. Fuyant sentimentalisme et racolage, sa réalisation brute de décoffrage évite tout jugement moralisateur.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Le discours politique est tristement démonstratif (...). La poésie un peu mièvre joue du misérabilisme sans subtilité.
Chronic'art.com
Avec une sorte de délectation hypocrite soigneusement camouflée sous l'étiquette du réalisme social, Lilya 4-ever se vautre dans le sordide sans le moindre point de vue. Et pas à côté, non, au beau milieu.
Les Inrockuptibles
La vulgarité des plans subjectifs, et en rafale, sur les bourgeois suédois tronchant l'adolescente, est le point de non-retour de ce film peu ragoûtant.
Première
Moodyson martèle son dscours avec conviction, pour ne pas dire avec manichéisme.
Télérama
Il y a bien Oksana Akinshina, joli minois et belle présence tragique, mais le réalisateur de Fucking Amal n'évite pas les pièges du pathos facile. Un scénario d'une noirceur un peu trop prévisible - la Scylla capitaliste et sa prostitution à la chaîne n'ayant rien à envier, côté mélo, aux Charybde d'Europe centrale -, des échappées poétiques malheureuses : on finit, hélas, par rester extérieur à la déchéance de Lilya...