Derniers Avis : Pulse - Page 12

bonjour,
j ai trouvé la premiere partie du film assez angoissante et sanglante, mais la deuxieme partie et la fin du film est vraiment décevante!!! c est dommage.

Un petit film "d'épouvante" écrit par Wes Craven (qui devait le réaliser à la base, ça aurait sans doute été pire donc) et remake du nettement supérieur Kaïro de Kurosawa (Kiyoshi, pas Akira ).
Si la mise en scène tape à l'oeil ne confère pas la peur qu'aurait engendré un style plus classique, le scénario assez original sauve l'ensemble, surtout la fin surprenante.
Pour ceux qui ont aimé des films comme Darkness, Le peuple des ténèbres, Nuit de terreur, et Ring évidémment...

N'ayant jamais vu l'original japonnais, cette critique sera basée simplement sur le rendu général de "Pulse".
Pour commencer, oui il s'agit encore une fois d'un remake de film d'horreur asiatique, et oui, les acteurs sortent une fois de plus de séries télé. La situation semble vu, vu et revue. Mais le réalisateur, dont c'est l'un des premiers films, s'en sort de fort belle manière.
Le scénario peu sembler incohérent, mais pas tant que ça si on y réfléchi bien. A la croisée de "the ring" et "the grudge", "Pulse" s'en atteindre le niveau de ses deux grands frères parvient à puiser le meilleur de ces derniers. Ainsi on peut découvrir une "critique" des nouveaux moyens de communication, mais aussi une réflexion (pas trop poussée non plus) sur la mort et le suicide.
Au niveau de la réalisation, le film est visuellement beau. Le format choisi rend l'action moins superficielle, et l'esthétique des rêves de l'héroïne est irréprochable. Il y a un bon rythme sans trop de temps morts, mais les scènes de frissons sont atténuées par une musique de fond trop fade.
Les acteurs sont biensûr jeunes et beaux, mais parviennent à jouer sobrement des personnages qui peuvent vite tomber dans la caricature.
En bref, mis à part certains passages exagérés, et quelques effets un peu ridicules, il ressort un film d'horreur sur fond de fin du monde pas honteux du tout, qui peu en rebuter certains par aspect cybernetique, mais qui se laisse regarder sans déplaisir.

Rien de bien exceptionnel dans ce film, on réutilise pour la énième fois les bons vieux clichés : la bibliothèque (même utilisé dans ghostbuster imaginez !), la baignoire, etc passons sur ces détails ... Le réalisateur a manqué deux trois fois de se lâcher là où il pouvait vraiment faire peur aux spectateur ! dommage ! Sinon il y a assez de tension pour nous tenir éveiller... A part quelques passages où je me suis bien marré avec des plans qui rappellent (un peu trop) l'armée des morts, c'est un film qui se laisse voir ! Au moins, ils vont jusqu'au bout de leur trip apocalyptique, on peut pas leur reprocher ! Bref pour conclure : LE WIFI APPORTERA LA FIN DU MONDE AAAAH !!!!

Je ne comprends pas complètement pourquoi toutes les critiques sont aussi mauvaises pour ce film. Personnellement, bien que ce film ne soit pas un chef d'oeuvre du genre, j'ai trouvé la réalisation, les effets spéciaux et les décors assez efficaces. C'est sûr que ça aurait été encore plus flippant si la mise en scène avait faite au Japon. Mais je lui mets tout de même 2 étoiles pour avoir réussit à créer cette ambiance bien glauque qui communique un certain sentiment de malaise au spectateur.
En bref, pour les amateurs du genre: à ne pas louper!
Pour tous les autres, passez votre chemin sauf pour les curieux.

Pour un film d'horreur on peut dire qu'il est assez reussi. Car passé le premier quart d'heure assez conventionnel on plonge petit à petit dans l'ambience macabre du film. Le film joue très bien sur nos peurs des nouvelles technologies! Tous ces virus qui infiltrent nos ordinateurs, les ondes wi-fi, sommes nous sûr de controler cela?!! Les bases de la peur étant installés, le film bénéficie de bon effet visuels qui feront frémir plus d'un... Âmes sensibles s'abstenir...(2 personnes sont sortis de la salle). A noter tout de même, quelques invraissenblences dans le sénario, et un montage trop rapide façon clip, qui enlévent de la saveur au film. En tout cas, j'ai bien envie de voir le film de Kairo, qui doit être meilleur que que son remake americain... Meme si je suis resté coller a mon siège dans le dernier quart d'heure!!!!!!!!!!!!!

N'ayant jamais vu Kairo, c'est donc une critique sans point de comparaison avec l'oeuvre initiale, que je fais donc de ce film.
Tout d'abord, le film est brillament servi par deux acteurs que j'apprécie : Kristen Bell et Ian Somerhalder, notons quand même qu'il est dommage qu'ils n'aient pas les mêmes voix que dans leur séries fêtiches : Kristen Bell en effet n'a plus le même doublage que dans son rôle de Veronica Mars, dans la série du même nom, quand à Ian Somerhalder, son doublage n'est pas non plus le même que celui de Bonne dans Lost, mais pour ma part ce nouveau doublage m'a moins géné que celui de Kristen Bell, mais passons sur ces détails.

Avec un scénario un peu compliqué (et qui me semble avoir quelques failles), Pulse réussit quand même à nous offrir des frissons, grâce à des scènes particulièrement efficaces : la scène d'introduction de la bibliothèque est pas mal faite, mais pour moi, la meilleure, reste celle de la laverie. Sans être le film du siècle, Pulse réussit donc à faire frissoner, surprendre, le spectateur lors de ces scènes, ainsi que grâce à ce scénario plutôt original pour un film d'horreur (malgré quelques failles comme je l'ai dit plus haut). Dommage, par contre, que les principaux protagonistes sont assez classiques, et proposent le même pannel d'ados que dans la majorité de ces films d'horreur.

Un film efficace donc, qui garantit au spectateur, ce qu'il vient chercher en allant voir un film d'horreur. Dommage, qu'il n'ait pas pu aller plus loin dans ce qu'il avait entrepris, c'est pour cette raison que je met 2 étoiles, et pas 3.

Nul. Remake du très angoissant Kaïro, une énième tentative en vain de relooké des films d'épouvante nippon en films pseudo horrifiques pour ados décébrés en y incérant des vedettes venant de la TV question d'un regain d'intérêt. Bref, Pulse ou comment perdre 1h30 de son temps dans une purge sans âme.