Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Cette étrange poésie de l'incertitude, cette correspondance secrète entre ces lieux de transit et une femme qui oscille entre dérive et grand départ, font tout le prix de ce film ténu et fragile.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
L'authenticité singulière du film tient (...) à la polyphonie naïve et rouée dont participent chaque fausse note et chaque fulgurance.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
par Antoine de Baecque
(...) le film est attachant, fort de ses personnages, humanité dense, perturbée et hésitante, composant un cinéma très peuplé, où l'expérience à partager se fait sollicitation permanente. Anne Théron n'est pas avare, d'histoires, de personnages, de couleurs, de lieux, et cette profusion dessine un cinéma du vertige
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Séparément, les plans peuvent parfois être beaux, car les bateaux sont magnifiques et que les acteurs ont une présence. Tout cela mis ensemble, ils ne créent pas grand chose, ils s'entrechoquent, étouffent le charme qui naît parfois. Le film est à l'image de sa musique originale : un chant tout en dissonances, qui devient vite énervant.
Première
par Olivier Lemaire
(...) Juliette traverse la vie des autres dans un univers fantômatique aux couleurs saturées (...) sous le regard esthète d'une caméra funambule et sophistiquée (...) on en oublie parfois la réalité de ces personnages en rupture dont le caractère nous est offert par des comédiens à la profondeur tragique.
Télérama
par Pierre Murat
La réalisatrice capte des mystères, des balbutiements, des gestes révélateurs (...) Dommage qu'Anne Théron privilégie trop l'intellect à la sensibilité. Quelques ralentis inutiles, un contrepoint musical absurde soulignent et figent ce que la suggestion révélait si bien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(...) Anne Théron reste à quai. Incapable ou inconsciente de faire décoller son film, on ne saura jamais vraiment. Seul certitude : un piétinement constant d'une oeuvre scotchée à ses starting-blocks, grand sur-place d'une heure trente, qui par défaut est érigé en moteur dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce qu'ils imaginent est un film accablé de soucis : trouver des formes originales et plaisantes à l'oeil, renouveler les clichés portuaires, écarter les personnages des lieux communs. Cette accumulation (...) suscite des mouvements qui s'annulent les uns les autres (...) un objet fait d'un entrelacs d'intentions inabouties.
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
En voulant à tout prix faire de la poésie, Anne Théron (...) s'égare dans son fantasme de disparition.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
Cette étrange poésie de l'incertitude, cette correspondance secrète entre ces lieux de transit et une femme qui oscille entre dérive et grand départ, font tout le prix de ce film ténu et fragile.
Cahiers du Cinéma
L'authenticité singulière du film tient (...) à la polyphonie naïve et rouée dont participent chaque fausse note et chaque fulgurance.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
(...) le film est attachant, fort de ses personnages, humanité dense, perturbée et hésitante, composant un cinéma très peuplé, où l'expérience à partager se fait sollicitation permanente. Anne Théron n'est pas avare, d'histoires, de personnages, de couleurs, de lieux, et cette profusion dessine un cinéma du vertige
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
Séparément, les plans peuvent parfois être beaux, car les bateaux sont magnifiques et que les acteurs ont une présence. Tout cela mis ensemble, ils ne créent pas grand chose, ils s'entrechoquent, étouffent le charme qui naît parfois. Le film est à l'image de sa musique originale : un chant tout en dissonances, qui devient vite énervant.
Première
(...) Juliette traverse la vie des autres dans un univers fantômatique aux couleurs saturées (...) sous le regard esthète d'une caméra funambule et sophistiquée (...) on en oublie parfois la réalité de ces personnages en rupture dont le caractère nous est offert par des comédiens à la profondeur tragique.
Télérama
La réalisatrice capte des mystères, des balbutiements, des gestes révélateurs (...) Dommage qu'Anne Théron privilégie trop l'intellect à la sensibilité. Quelques ralentis inutiles, un contrepoint musical absurde soulignent et figent ce que la suggestion révélait si bien.
Chronic'art.com
(...) Anne Théron reste à quai. Incapable ou inconsciente de faire décoller son film, on ne saura jamais vraiment. Seul certitude : un piétinement constant d'une oeuvre scotchée à ses starting-blocks, grand sur-place d'une heure trente, qui par défaut est érigé en moteur dramatique.
Le Monde
Ce qu'ils imaginent est un film accablé de soucis : trouver des formes originales et plaisantes à l'oeil, renouveler les clichés portuaires, écarter les personnages des lieux communs. Cette accumulation (...) suscite des mouvements qui s'annulent les uns les autres (...) un objet fait d'un entrelacs d'intentions inabouties.
Les Inrockuptibles
En voulant à tout prix faire de la poésie, Anne Théron (...) s'égare dans son fantasme de disparition.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com