Mon compte
    Lost in Translation
    Note moyenne
    3,9
    32974 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Lost in Translation ?

    1 148 critiques spectateurs

    5
    451 critiques
    4
    314 critiques
    3
    106 critiques
    2
    97 critiques
    1
    102 critiques
    0
    78 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Linihila
    Linihila

    52 abonnés 620 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 février 2007
    Un EXCELLENT film ! C'est l'histoire d'une rencontre improbable dans un hôtel luxueux de Tokyo. Bob Harris est un acteur venu tourner un spot publicitaire pour beaucoup d'argent et Charlotte jeune diplôme et jeune mariée a suivi son mari. Tous les deux s'ennuient, sont perdus et ne savent pas comment faire pour avancer... Ils se rencontrent alors et partagent des moments qui vont certainement changer leur vie. Le film de Sofia Coppola est fait tout en douceur même s'il contient des scènes extrêmement ironiques. Elle arrive à nous faire ressentir parfaitement le dépaysement et la confusion de ses deux personnages principaux. Son film nous habite bien après sa fin. Admirable ! A voir et à revoir :)
    Zbrah
    Zbrah

    49 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 septembre 2014
    Elle est une jeune femme à peine sortie des études, qui ne sait pas encore ce qu’elle veut faire de sa vie. Lui est un acteur cinquantenaire en proie à la déprime, fuyant sa femme et ses enfants en se réfugiant dans son travail. A première vue, rien ne rapproche ces eux êtres si différents. S’ils s’étaient croisés aux Etats-Unis, jamais ils n’auraient fait attention l’un à l’autre de façon si pure et dénuée d’intérêt. C’est leur voyage à Tokyo, et le dépaysement qui en résulte qui leur offre l’occasion de se connaître. Ayant aimé presque tous les films de la réalisatrice, j’avais de grosses espérances concernant « Lost in translation ». Je n’en suis pas le moins du monde déçue, au contraire. Ce deuxième long-métrage est un coup de maître, une œuvre magnifique, drôle et émouvante, teintée de mélancolie. La force du film de Sofia Coppola est qu’il souligne délicatement les chocs culturels sans avoir recourt à des clichés horripilants. La ville est bien mise en valeur et les attitudes japonaises ne sont pas singées pour accentuer le mal être des voyageurs américains. La qualité d’écriture des héros, couplée à des figurants naturels dans leur façon d’être, fait que le tout fonctionne. De plus, les passages en langue japonaise nous sont dévoilés sans sous-titres, pour que l’on se sente aussi exclus que le héros qui ne comprend pas le moindre mot de la langue asiatique. Le spectateur n’aura donc aucun mal à comprendre l’isolement ressenti par Bob et Charlotte. « Lost in translation » jongle habilement entre nostalgie et comédie. Grâce à la bonhomie de Bill Murray, certains passages sont vraiment drôles (le tournage de la pub de whisky, la première conversation du duo, le karaoké...). Mais de nombreux passages d’une infinie délicatesse sont également montrés (Charlotte visitant Kyoto, les discussions dans la chambre d’hôtel devant un programme japonais incompréhensible..). La scène finale, le dernier adieu dans une ruelle bondée, est incroyablement émouvante et juste. Rarement on n’aura vu une scène si touchante dans sa simplicité. Je trouve que la relation entre les deux protagonistes est tellement pure et naturelle qu’elle peut suffire à attendrir n’importe quel cœur endurci. Il faut dire que les personnages sont parfaitement écrits et presque parfaitement interprétés. Presque, car la gourde Anna Faris, avec son personnage exubérant, tâche parmi le reste des personnages dépeints. L’actrice surjoue un rôle pas évident car peu travaillé, sans jamais humaniser son personnage. Un personnage comique n’a pas sa place dans un film où l’émotion prédomine. Fort heureusement, elle donne la réplique à des protagonistes plus poussés. Comme d’habitude, Bill Murray est tout simplement brillant. Il est drôle, pathétique, et excelle dans l’art de déambuler avec un air blasé. Typiquement le genre d’acteur qui interprète tellement bien son rôle qu’il devient inimaginable de voir un autre acteur à sa place. Le premier rôle féminin, celui de Charlotte est interprétée par la jolie Scarlett Johansson, à une époque où la jeune femme ne choisissait pas que des rôles basés sur sa plastique avantageuse. Charlotte est une jeune fille simple et "vraie", un personnage attachant avec ses forces et ses faiblesses. L’héroïne type de Sofia Coppola, passionnée par les jolies blondes. A noter également les courtes mais très bonnes apparitions de Giovanni Ribisi, un acteur trop peu reconnu. L’acteur était déjà présent dans « Virgin Suicides » où il prêtait sa voix au narrateur. Il n’est cependant pas le seul pont pouvant être établi entre « Lost in translation » et la filmographie de Coppola. Les thèmes chers à la réalisatrice sont présents. On retrouve un protagoniste en décalage avec son environnement (Charlotte se trouve dans la même situation que « Marie-Antoinette », les sœurs de « Virgin Suicides », ou le héros de « Somewhere »), un fond de célébrité du côté de Bob (acteur, comme Johnny Marco de « Somewhere », devant gérer une vie publique comme Marie-Antoinette ; la célébrité est plus tard utilisée comme élément central dans « The Bling ring »). Comme on pouvait le remarquer dans chaque nouvelle sortie signée Sofia Coppola, la femme occupe une place prépondérante. Charlotte, héroïne simple et fascinante digne des sœurs Lisbon, ne fait pas exception à la règle. « Lost in translation », c’est aussi un cinéma du quotidien, mais moins vide que l’a été « Somewhere » quelques années plus tard. Les activités communes de Charlotte et Bob créent un lien profond entre eux et participent à leur évolution. Une évolution progressive, lente mais qui est palpable au dénouement du film. On se rend réellement compte à quel point rencontrer Charlotte a permis à Bob de retrouver le goût de la vie. Comme à chaque fois, la mise en scène de Sofia Coppola est superbe. Posée et douce, elle convient à l’existence de Bob et Charlotte qui vivent leur vie sans artifices. Sans artifices... C’est peut-être ça le secret de Sofia Coppola. Filmer des personnages proches de la banalité, les placer dans une situation légèrement improbable, et laisser la magie opérer. L’humanité en elle-même n’est-il pas un sujet passionnant ?
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 février 2009
    On a rarement admirés une plus belle romance que Lost in Translation dans toute cette décennie. Sofia Coppola réalise l'impossible aujourd'hui, à savoir une histoire d'amour délicate et ambivalente. Bill Murray incarne une personnalité magistrale, où se distille en virtuose ses problèmes existentiels dans le paysage de Tokyo. En perdition dans l'inconnu où il se cherche, pour mieux se retrouver, cet invividu blasé par la vie en quête d'identité trouvera l'inspiration dans une autre personnge, aux sentiments à priori semblables. C'est Scarlett Johansson, américaine condamnée à suivre son mari photographe, qui n'a pas l'air pour autant de se tracasser pour sa femme, tout en éprouvant ouvertement auprès d'une ancienne camarade du passé un vif attachement. Le doute s'installe, l'esprit travaille. L'existence devient l'enjeu d'une réflexion associée à ses deux protagonistes, qui perdurent dans une incertitude similaire à leurs malaises. Au début, la rencontre se fait dans un bar, calmement, avec recul et respect. Plus tard, le sentiment ambigu de l'insatisfaction va lier ces deux victimes au drame de l'existence, dans une liaison initialement amicale, puis de la reconnaissance, et enfin, d'un amour d'une pureté inimitable. Et si tout cela n'était qu'un rêve ? Cette interprétation est le fruit d'une sophistication de la mise en scène, très ancrée dans le décor de la capitale nippone. C'est un lieu improbable, à la fois magique et terrifiant, où l'on se sent loin de tout. Nous en arrivons presque à éprouver ce que les personnages nous sugèrrent. Mais ce n'est qu'une illusion. Dans cette romance moderne, l'amour n'a rien de physique. Il va bien au-delà de ces répugnantes productions où la passion n'a aucun rapport avec l'âme et le coeur, mais s'installe dans une fusion vulgaire des corps. C'est de ce point de vue, la limite de ce film. Effectivement, il devient utopique. Mais c'est aussi le rôle du cinéma. Ce que Sofia Coppola a merveilleusement comprit.
    mbc225
    mbc225

    19 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Tout simplement magnifique. Du grand cinéma. Sofia Coppola réalise une fois encore un film émouvant, et cette fois-ci drôle. Le lien familial s'efface, et elle devient une artiste à part entière dans l'art de la réalisation de ce chef d'oeuvre, avec une performance de Bill Murray et de Scarlett Johanson digne d'un oscar !
    donniedarko1
    donniedarko1

    42 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 octobre 2013
    Le meilleur film de 2004 ! Je pense que ce film mérite un Oscar, ce chef-d'oeuvre est signé Sofia Coppola (qui n'est autre que la fille de Francis Ford Coppola), et je la félicite pour son admirable travail. A ne pas manquer !!!!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 mai 2007
    Lost in translation est la rencontre de 2 personnages qui se retrouvent en décalage horaire dans un pays très différent de leurs univers culturels. Bob Harris est un acteur américain sur le déclin qui se trouve à Tokyo pour tourner une pub pour un whisky. Dans le même hôtel séjourne Charlotte, jeune marriée, qui accompagne son mari photographe très accaparé par son travail. Soufffrant tous les deux de solitude et d'insommie, Bob et Charlotte vont trouver des occasions pour se voir et sortir ensemble. Et ainsi une complicité tendre et réconfortante va se développer entre ces deux êtres qui se sentent un peu déboussolés dans cette grande ville si dépaysante pour eux. Lost in translation est donc une histoire qui cherche à comprendre les sentiments humains, le désir, l'amitié, la solitude.

    Le film est poétique, subtile, drôle et émouvant avec une mise en scène soignée où on peut voir des images éblouissantes de Tokyo. Il est également superbement musicalisé et magnifiquement joué par un Bill Murray attendrissant et une Scarlett Johansson très charmante et attachante.
    Niko0982
    Niko0982

    68 abonnés 1 331 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2008
    Un vrai petit bijou, avec d'excellents acteurs et beaucoup de rêve.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 mars 2008
    Gros plan sur le – joli – postérieur de Miss Scarlett Johansson : point de départ incongru d'un film atypique, magnétique qui évoque avec poésie, tendresse, amertume, chagrin (tout ce que vous voulez mais jamais naïveté) le choc des cultures, la barrière du langage, le mal du pays, l'innocence du flirt et le décalage horaire (!). Où l'on découvre comment une jeune diplômée un peu paumée (délaissée par son photographe de mari), et une ex-star quinquagénaire désabusée (en pleine crise de couple) vont tromper la solitude le temps d'un séjour forcé à Tokyo. Ils feront connaissance à force de regards, de silences et de sorties nocturnes revigorantes. Grande est la performance de Sofia Coppola qui parvient à filmer l'ennui sans jamais provoquer celui du public. La jeune réalisatrice et scénariste s'attarde pourtant sur les « détails » du séjour forcé – Charlotte qui refait la déco de sa chambre d'hôtel, qui se fait bobo à l'orteil, qui visite un temple shintoïste ou qui fixe du coin de la fenêtre, le regard perdu, l'immensité de la ville tokyoïte – mais sait en retirer l’essentiel : les sensations. Elle capture ainsi quelques délicats moments d'insouciance : une virée nocturne empreinte de folie douce où Bob pète une durite en slalomant entre voitures et passants, une mémorable partie de karaoké où un japonais revisite le « God Save The Queen » des Sex Pistols, une danse improvisée sur fond de « Too Young » (la BO du film est nickel) et Bob qui redécouvre les joies de la jeunesse... Et ce fabuleux passage : la rencontre pittoresque entre Bill Murray et une japonaise octogénaire fashion-victim, à s'en exploser les zygomatiques ! […] Et voilà. On se quitte, le coeur déchiré, un sourire au coin des lèvres et les larmes aux yeux. Ca passera, sûrement que ça passera. Qui sait si nous nous reverrons – on s'est bien trouvé à l'autre bout du monde – mais nous n'oublierons jamais une telle rencontre, aussi fugace qu'intense.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Réalisme et simplicité pour ce film sur le choc des cultures réalisé avec une trés grande maitrise par Sofia Coppola . Une histoire banale rendue originale par ses magnifiques interpretes que sont Bill Murray : fantastique en pleine crise du quinquagénaire , Scarlett Johansson : qui deviendra sans aucun doute une des meilleures actrices de sa génération , mais aussi par la mise en scène génialissime , la musique envoutante et des images d'une beauté époustouflantes !!
    Ce film se passe de commentaire , il est a voir , à aimer et à admirer !!
    Claricewins
    Claricewins

    65 abonnés 1 053 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 août 2010
    Un film poétique et mélancolique sur l'ennui et le sentiment de perdition qui nous prend de temps en temps. Le film est visuellement magnifique, il faut dire que le Japon s'y prête à merveille, entre folie et poésie. Histoire d'amour tout en suggestion et finesse, qui reste simple et qui pourtant est si différente. Scarlett J. et Bill M. restent très sobres dans leur interprétation, même si Bill Murray garde son côté comique de façon tellement naturelle. La bande-son est magnifique.
    Kevin T
    Kevin T

    41 abonnés 465 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juin 2009
    Un très beau film sur le mal être de deux personnes qui se sont peut être trompées de vie et qui se rencontrent à Tokyo, dans ce lieu où ils se sentent loin de tout, totalement esseulés. Scarlett Johansson est superbe et se dévoile dans ce film où elle est simplement parfaite. Bill Murray est drôle meme dans sa détresse. Leur réunion est touchante et la fin, brillamment agencée, est ambigüe.
    SmEuG
    SmEuG

    48 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 août 2011
    L'authentique cinéphilie, si l'on en croit la terminaison, serait de tomber amoureux d'objets filmiques. "Drôle d'élucubration!" s'exclameront certains en lisant ces lignes cachant leur étonnement derrière un sourire narquois. A ces gens, je laisse la satisfaction de négliger le pouvoir du Cinéma. Mais cela ne m'empêchera pas de le clamer haut et fort : "Mon amour pour Lost In Translation est bien réel!" Car comme l'amour, mon attachement à ce film ne s'explique pas. Bien sûr, il sera toujours possible de poser des mots, de chercher au fin fond de nous-même le pourquoi du comment, afin d'expliquer un tel phénomène, mais il n'en demeure pas moins que l'essentiel ne peut-être capter par des mots, que cette essence est étrangère à toute logique, et que seul une rencontre avec cet être/chose permet d'en saisir la nature.

    Une rencontre. C'est justement le sujet, aussi banal soit-il, à partir duquel Sofia Coppola débute dans sa belle entreprise de création. Combien de fois ce large et abondant canevas aura-t-il été utilisé dans l'histoire du cinéma? Et combien de fois aura-t-il été servi à la même sauce? Car si la rencontre amoureuse affecte tendrement les scénaristes, la plupart du temps, elle ne stimule en rien leur imagination trop souvent indolente. Ainsi, les films se suivent et se ressemblent, en s'empêtrant sans cesse dans les mêmes clichés, se gargarisant de leurs facultés à les rendre toujours plus niais et dégoulinant de bons sentiments dénaturés.
    Lost in Translation peut se vanter de façonner l'histoire qu'il raconte sans jamais tomber dans la paresse ou la facilité scénaristique et formelle.
    Certes la fable est composée tout en simplicité. Mais tout bon cinéaste le sait, ce n'est pas de la complexité que naissent les émotions. Ici, tout se ressent et c'est là que se situe la force du film.

    Lorsque les protagonistes déambulent dans les rues vespérales de la ville, prisonniers d'hypnotiques néons lumineux dont la danse psychédélique échappe à toute compréhension, lorsqu'ils se faufilent à travers cette masse de gens inaccessibles, Sofia Coppola, tout en signifiant la rupture des personnages avec un environnement qu'ils ne connaissent pas, parvient à instiguer une poésie mélancolique à sa toile de fond, en s'appuyant également sur des thèmes musicaux à caractère triste et nostalgique. De ce fait, une ambiance inoubliable jaillit du coeur même de la pellicule.
    Mais que serait-il advenu de cette atmosphère si celle-ci s'était retrouvée dépourvue de la relation qui unît nos deux acteurs? Pas grand chose sans doute.
    Car comme le paragraphe ci-dessus le laissait entendre, la relation décrite par Sofia et sa clique de scénaristes, outrepasse les clichés pour devenir une authentique histoire d'amour. Aucun détail n'est laissé au hasard, chaque action, aussi bête soit-elle, trouve son importance dans la toile relationnel que vont tissés nos deux personnages. De cette façon, une séance de Karaoké devient un flirt subtil à la puissance érotique inimaginable au premier abord, Scarlett étendue sur le lit en position foetale à côté de Bill Murray, une scène exempte de contact charnel qui en dit plus long que n'importe quelle autre. Tout est dans le non-dit, dans la suggestion. Par ailleurs, le casting composé par Scarlett Johannson et Bill Murray semble seoir parfaitement à l'esprit du métrage. A mes yeux, il ne fait aucun doute que leur collaboration aura été à l'origine du meilleur duo apparu à l'écran. Naturels, sympathiques, charmants, charismatique, émouvants, ces acteurs ont toutes les qualités requises pour un tel film...et surtout ils se complètent bien.
    Je défie quiconque de ne pas tomber amoureux de Scarlett en visionnant ce film.
    Un chef-d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 juillet 2009
    Inutile de se fier à l'affiche qui passe plus que complètement inaperçu quelque soit l'endroit ou on la voit , les acteurs sont magistrales j'adore la ville de Tokyo et la relation de ceux 2 êtres complètement décaler de l'univers occidentales apporte à la fois de la nostalgie et des ténèbres dans un monde complètement fun et étrange . Voir ce film peut souvent passer inaperçu à tel point qu'on peut se demander ce qui nous a plus dedans puis on découvre qu'on a aimer quand c'est enfin terminer .
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Cette légèreté qui rend si profonde certaines rencontres. Bill Murray et Scarlett Johanson sont toute en finesse pour nous faire passer leur tristesse et leur joie qui nous laissent un gout de nostalgie!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Film magnifique, une photo superbe, des acteurs excellents, un moment de pur bonheur !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top