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Rodolphe Brasseur
1 abonné
8 critiques
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0,5
Publiée le 31 mars 2021
Attention spoiler : "rien, le vide, le néant" voilà, l'intrigue complète de ce navet. Les inrocks et telerama ont aimé, j'aurai dû me méfier... Par contre si l'ambition de Sofia Coppola était de nous faire ressentir l'ennui qui n'est que le seul et unique sujet du film, alors la chapeau bas.... J'ai perdu 1h30 de ma vie. FUYEZ ce navet.
Malgré un début prometteur, ce film n'a rien à nous dire, et le charme de Scarlett Johansson ne parvient pas à nous sauver de l'insoutenable ennui qui s'en dégage. Les snobs ont aimé, tant pis pour eux.
Je ne suis sans doute pas assez intelligente pour comprendre les subtilités de l'autoproclamée réalisatrice Coppola. Film soporifique, ennuyant voire presque énervant de par sa lenteur incommensurable.
Une réalisation lente, détachée, sobre, ennuyeuse à souhait ! Scénario pauvre. Deux âmes perdus au Japon et insomniaques, sortent ensemble pour tenter de moins s'ennuyer. Ils n'ont rien à faire tous les deux. Elle, attend son époux qui part bosser en la laissant seule à l'hotel. Lui, fait une pub pour le whisky. Cela lui rapporte gros mais l'ennui profondément. Un navet.
Un mauvais film, comme souvent chez Sofia Coppola, où il ne se passe rien, comme souvent chez Sofia Coppola. Le talent de Bill Murray ne change rien à l'affaire.
Pendant 1h40, Sofia Coppola filme...l'immobilité. Il ne se passe rien du tout dans "Lost in Translation", et regarder deux personnes s'ennuyer et ne rien faire de leur vie, c'est fou comme c'est passionnant.
Un sentiment mitigé entre les critiques "presse/spectateurs" plutôt dithyrambique et l'ennui profond dont je ressort de ce visionnage pour lequel j'ai lutté pour ne pas y mettre un terme avant son dénouement par curiosité j'imagine. Le propos semble intéressant quant aux thèmes traités mais beaucoup trop mal abordés pour moi me plongeant dans le même ennui que les personnages. Le fait de ne pas être très "réceptif" à Bill Muray n'ayant certainement pas aidé non plus... je ne sais pas! Aussi, le côté insomnie due au jet lag, je veut bien la première nuit mais pas au delà... L'aspect étranger perdu dans cette Mégalopole et face à la différence de culture, je veut bien aussi pour de vrais expatriés mais pas sur une semaine... Bien que la sensation d'être perdu des personnages est bien plus profonde que le simple fait d'être dans ce pays si différent ce qui amplifie bien sur ce malaise ceux-ci n'ayant plus de repères connus... L'idée de retrouver ce pays sublime qu'est le Japon et sa culture incroyable tout autant que le Tokyo fascinant était une réelle source d'intérêt pour moi mais gâché par ses trop nombreux clichés limite même parfois irrespectueux...
il se passe rien et c'est filmé comme un reportage (je supporte pas ça), ça doit sans doute être un film pour intellectuels littéraires. j'ai pas regardé le dvd jusqu'au bout !
Film dégueulasse du fantasme de tout beauf de 50 ans à tendance incestueuse où un homme mûr et riche lassé sa vie et de son mariage finit par chopper la jeune et douce fille de l'hôtel après avoir adopter une figure paternelle pendant plusieurs jours
Lost in visualisation pour ma part. Heureusement, à l'instar de sherlock holmes, j'ai le cerveau bien fait comme un disque dur vélociraptor,. Toute information mémorielle sur ce film a été effacée pour libérer quelques megaoctets, puis les remplir par quelque chose de plus utile.
Au départ pas de problème le sujet semble original. Au bout d'un quart d'heure, je reste confiant vu les critiques mais je me dis ça serait bien que le film démarre. à la demi heure, enfin du nouveau! Heu finalement c'était encore mieux quand il ne se passait rien et là je me dis que ça va être long très long.
Ah bon ? Le japon, c'est des émissions ringardes et des jeux vidéos qui datent de l'antiquité en faisant du bruit ? Sans compter cette histoire d'amour plate que c'est dur de rester éveillé (le film commence avec des personnages qui s'ennuient, c'est dire...), mais cependant, le jeu des acteurs reste bon, et le film ne choque pas le public et les critiques, en donnant tout ce qui peut être agréable à voir. C'est donc comme ça qu'on fait un film populaire ?...