Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Bill Murray en Droopy sentimental dont on comprendrait enfin les raisons de la lenteur (...) : vous n'allez pas manquer ça. D'autant que léger comme un flocon, le film vous transporte sans accroc vers les rivages d'une aventure qui est presque un doux songe.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
Perdu entre Amérique et Japon, entre divers régimes d'images, entre masculin et féminin. Entre notre idole Bill Murray (...) et Scarlett Johannson, qui a ses lèvres boudeuses et sa moue chic. Perdu enfin, dans cet hôtel international (...) où loge aujourd'hui le meilleur cinéma, immobile et attentif, occupé à la tâche sans fin de son autotraduction.
Fluctuat.net
par Jérôme Dittmar
La force avec laquelle Sofia Coppola filme cette histoire fugace qui ne se dit pas, ne se réalise pas au-delà de quelques enlacements trop brefs (...) est profondément touchante. Lost in translation capte un souffle unique : la brièveté sourde et secrète du voyage et de la rencontre.
Le Monde
par Florence Colombani
(...) la drôlerie et l'élégance de sa mise en scène, cette touche singulière qui lui permet de suggérer un maximum de choses en un minimum de mots, sa prédilection pour un pastel esthétique (...) tout cela fait de Sofia Coppola bien plus qu'une fille à papa (...) une cinéaste à part entière, c'est-à-dire quelqu'un qui sait faire corps avec son temps.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Deux acteurs superbes et une BO indie du meilleur cru, de belles bouffées documentaires sur Tokyo : Lost in translation est une comédie romantique aussi subtile que mélancolique. Digne fille de son père, Sofia Coppola persiste et signe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Pierre Coursodon
Ce mélange de ton si personnel doit évidemment beaucoup à son couple d'acteurs principaux (...) Mais c'est avant tout la réalisatrice qu'il faut saluer, pour avoir imprimé sa marque originale a un film très libre et parfois désopilant, en même temps que secrètement nostalgique.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Stéphanie Lamome
La fibre gaguesque que Virgin suicides ne nous avait laissé entrevoir que subrepticement, explose dans Lost in translation. La subtile Sofia surprend en exploitant des ressorts comiques aussi bêtes et efficaces que le mauvais anglais des Japonais, où le mètre quatre-vingt-dix de Bill Murray (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Marine Landrot
Le film aurait pu se passer sur une plage des Seychelles ou sur une gondole vénitienne. Nous nous serions satisfaits de n'importe quel cliché, tant Sofia Coppola est apte à tout régénérer (...) ce film-là, radieux, retenu et remuant marque une date dans l'histoire personnelle de celui qui l'a vu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Avec Lost in translation, la jeune cinéaste (...) filme des adultes. Pas question pour autant de faire un film sérieux - Sofia Coppola se moque du sérieux : chez elle, images et pensées se partagent entre gravité et légèreté, surface et profondeur, mélancolie et désir.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Emile Breton
Tout est ici dans le non-dit, ou plutôt la litote, et la force de cette mise en scène discrète, loin des vociférations du publicitaire qui se prend pour un créateur, c'est de toujours jouer sur un léger décalage.
L'Obs
par François Forestier
(...) une jolie surprise : la réalisatrice capte avec délicatesse cet instant absurde où rien ne fonctionne, entre deux avions.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
par Didier Péron
Sofia Coppola n'a pas son pareil pour fixer en un plan ces épiphanies rares qui ne relèvent ni d'un sens du récit (ici plus que lâche) ni d'une particulière virtuosité. Simplement, la légèreté de la forme finit par manifester une profondeur de fond (...)
MCinéma.com
par Camille Brun
On pourra regretter une chose, les clichés qui émergent parfois sur les Japonais et leur culture (...) Mais c'est un point de détail, une petite tache sur un diamant sombre et fascinant.
Synopsis
par Virginie Apiou
Son histoire, transparente et claire comme la culotte de son héroïne (...) apparemment ténue, jouant sur le simple comique de situation - un étranger dans un monde dont il n'a pas les codes -, se révèle vite puissante.
aVoir-aLire.com
par Sophie Lecerf
Lost in translation est une oeuvre poétique, lumineuse et aérienne. (...) Car la belle possède avant tout un don prodigieux pour observer la nature humaine, et la retranscrire avec générosité, et une infinie subtilité.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
De très jolis moments, dans une sauce un peu diluée : trajectoires répétitives, couloirs d'hôtel, boîtes de nuit où l'on s'ennuie. Ça flotte un peu. Mais Sofia Coppola a une patte élégante et délicate (...)
Aden
Bill Murray en Droopy sentimental dont on comprendrait enfin les raisons de la lenteur (...) : vous n'allez pas manquer ça. D'autant que léger comme un flocon, le film vous transporte sans accroc vers les rivages d'une aventure qui est presque un doux songe.
Cahiers du Cinéma
Perdu entre Amérique et Japon, entre divers régimes d'images, entre masculin et féminin. Entre notre idole Bill Murray (...) et Scarlett Johannson, qui a ses lèvres boudeuses et sa moue chic. Perdu enfin, dans cet hôtel international (...) où loge aujourd'hui le meilleur cinéma, immobile et attentif, occupé à la tâche sans fin de son autotraduction.
Fluctuat.net
La force avec laquelle Sofia Coppola filme cette histoire fugace qui ne se dit pas, ne se réalise pas au-delà de quelques enlacements trop brefs (...) est profondément touchante. Lost in translation capte un souffle unique : la brièveté sourde et secrète du voyage et de la rencontre.
Le Monde
(...) la drôlerie et l'élégance de sa mise en scène, cette touche singulière qui lui permet de suggérer un maximum de choses en un minimum de mots, sa prédilection pour un pastel esthétique (...) tout cela fait de Sofia Coppola bien plus qu'une fille à papa (...) une cinéaste à part entière, c'est-à-dire quelqu'un qui sait faire corps avec son temps.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Deux acteurs superbes et une BO indie du meilleur cru, de belles bouffées documentaires sur Tokyo : Lost in translation est une comédie romantique aussi subtile que mélancolique. Digne fille de son père, Sofia Coppola persiste et signe.
Positif
Ce mélange de ton si personnel doit évidemment beaucoup à son couple d'acteurs principaux (...) Mais c'est avant tout la réalisatrice qu'il faut saluer, pour avoir imprimé sa marque originale a un film très libre et parfois désopilant, en même temps que secrètement nostalgique.
Première
La fibre gaguesque que Virgin suicides ne nous avait laissé entrevoir que subrepticement, explose dans Lost in translation. La subtile Sofia surprend en exploitant des ressorts comiques aussi bêtes et efficaces que le mauvais anglais des Japonais, où le mètre quatre-vingt-dix de Bill Murray (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Le film aurait pu se passer sur une plage des Seychelles ou sur une gondole vénitienne. Nous nous serions satisfaits de n'importe quel cliché, tant Sofia Coppola est apte à tout régénérer (...) ce film-là, radieux, retenu et remuant marque une date dans l'histoire personnelle de celui qui l'a vu.
Chronic'art.com
Avec Lost in translation, la jeune cinéaste (...) filme des adultes. Pas question pour autant de faire un film sérieux - Sofia Coppola se moque du sérieux : chez elle, images et pensées se partagent entre gravité et légèreté, surface et profondeur, mélancolie et désir.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Tout est ici dans le non-dit, ou plutôt la litote, et la force de cette mise en scène discrète, loin des vociférations du publicitaire qui se prend pour un créateur, c'est de toujours jouer sur un léger décalage.
L'Obs
(...) une jolie surprise : la réalisatrice capte avec délicatesse cet instant absurde où rien ne fonctionne, entre deux avions.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
Sofia Coppola n'a pas son pareil pour fixer en un plan ces épiphanies rares qui ne relèvent ni d'un sens du récit (ici plus que lâche) ni d'une particulière virtuosité. Simplement, la légèreté de la forme finit par manifester une profondeur de fond (...)
MCinéma.com
On pourra regretter une chose, les clichés qui émergent parfois sur les Japonais et leur culture (...) Mais c'est un point de détail, une petite tache sur un diamant sombre et fascinant.
Synopsis
Son histoire, transparente et claire comme la culotte de son héroïne (...) apparemment ténue, jouant sur le simple comique de situation - un étranger dans un monde dont il n'a pas les codes -, se révèle vite puissante.
aVoir-aLire.com
Lost in translation est une oeuvre poétique, lumineuse et aérienne. (...) Car la belle possède avant tout un don prodigieux pour observer la nature humaine, et la retranscrire avec générosité, et une infinie subtilité.
Le Figaroscope
De très jolis moments, dans une sauce un peu diluée : trajectoires répétitives, couloirs d'hôtel, boîtes de nuit où l'on s'ennuie. Ça flotte un peu. Mais Sofia Coppola a une patte élégante et délicate (...)