Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Positif
par Matthieu Darras
Le film de Depardon est évidemment rare, car il est empli de qualités morales.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Zurban
par Claire Vassé
Filmée dans un noir et blanc dont le grain et la lumière sont d'une grande beauté, cette traversée d'un paysage sans repères est aussi l'exploration d'une temporalité qui se délite pour mieux nous envoûter.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Pour une fois, ce n'est pas un documentaire, mais une fcition méditative, qui épouse la courbe lente d'une dune, d'un destin.
MCinéma.com
par Olivier-Pierre Salvano
C'est un des défauts du film, avec sa lenteur narrative parfois somnolente, mais c'est aussi son charme. Depardon prend son temps, le spectateur aussi, confortablement assis dans les salles occidentalisées, habitué à son petit confort "normalisé". Mais le but est atteint : Depardon parvient avec une facilité déconcertante à projeter le spectateur dans la mentalité des habitants du désert.
Aden
par Philippe Piazzo
Autant Un homme sans l'Occident séduit visuellement (beauté du noir et blanc, sécheresse palpable du vent, gifle inlassable du sable qui part en tourbillons), autant son austérité gêne malheureusement à comprendre l'enjeu et le propos du film, et à s'intéresser réellement à ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Africultures.com
par Olivier Barlet
Chaque plan a la durée de son effet. En alignant ainsi des tableaux signés, Depardon en arrive à créer un sentiment de lassitude face à un désert pourtant magnifique, balayé par le vent ou vibrant de contrastes. Et quand un regard rencontre la caméra, soulignant la mise en situation, c'est fatal.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Les images, les scènes qui suivent les mots de Depardon ont quelque chose d'absent et de lointain : il nous est impossible d'accéder aux subtilités des dialogues des personnages, à ce qui constitue le détail, la chair, la personnalité.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Alain Grasset
Un film à voir pour ses fascinantes images d'un désert sans cesse balayé par le vent, accompagné par intermittence de la voix du réalisateur. L'histoire, en revanche, n'est pas d'une grande clarté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Olivier De Bruyn
On peut toutefois regretter que ladite voix off instaure une distance dommageable entre le spectateur et la puissance d'incarnation des images. Dans ses docus et films précédents, Depardon avait su se passer des mots. Nul ne s'en plaignait.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Le ralenti des gestes, la musique mystérieuse de propos indéchiffrables et les regards sans émotion visible sont aussi essentiels qu'un vent de sable tourbillonnant sur les dunes ou que le son mat des étoffes claquant sur la silhouette des femmes. Il ne reste plus au spectateur qu'à se hisser à la hauteur de cette exigence. C'est aussi un pari.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Comment un si bon cinéaste que Raymond Depardon, se lançant dans un projet si proche de ce qui le touche et le concerne profondément, a-t-il pu passer aussi complètement à côté ? (...) Bizarrement, Depardon fait comme photographe ce qu'il a négligé de faire comme cinéaste : Désert, un homme sans l'Occident, le livre qu'il publie en même temps que sort son film, est plus vivant, plus parlant, que ce qu'il montre à l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Décevant a priori, ce film fait de son échec son sujet : impossible à filmer le désert.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
Le film de Depardon est évidemment rare, car il est empli de qualités morales.
Zurban
Filmée dans un noir et blanc dont le grain et la lumière sont d'une grande beauté, cette traversée d'un paysage sans repères est aussi l'exploration d'une temporalité qui se délite pour mieux nous envoûter.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Pour une fois, ce n'est pas un documentaire, mais une fcition méditative, qui épouse la courbe lente d'une dune, d'un destin.
MCinéma.com
C'est un des défauts du film, avec sa lenteur narrative parfois somnolente, mais c'est aussi son charme. Depardon prend son temps, le spectateur aussi, confortablement assis dans les salles occidentalisées, habitué à son petit confort "normalisé". Mais le but est atteint : Depardon parvient avec une facilité déconcertante à projeter le spectateur dans la mentalité des habitants du désert.
Aden
Autant Un homme sans l'Occident séduit visuellement (beauté du noir et blanc, sécheresse palpable du vent, gifle inlassable du sable qui part en tourbillons), autant son austérité gêne malheureusement à comprendre l'enjeu et le propos du film, et à s'intéresser réellement à ses personnages.
Africultures.com
Chaque plan a la durée de son effet. En alignant ainsi des tableaux signés, Depardon en arrive à créer un sentiment de lassitude face à un désert pourtant magnifique, balayé par le vent ou vibrant de contrastes. Et quand un regard rencontre la caméra, soulignant la mise en situation, c'est fatal.
Cahiers du Cinéma
Les images, les scènes qui suivent les mots de Depardon ont quelque chose d'absent et de lointain : il nous est impossible d'accéder aux subtilités des dialogues des personnages, à ce qui constitue le détail, la chair, la personnalité.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Un film à voir pour ses fascinantes images d'un désert sans cesse balayé par le vent, accompagné par intermittence de la voix du réalisateur. L'histoire, en revanche, n'est pas d'une grande clarté.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
On peut toutefois regretter que ladite voix off instaure une distance dommageable entre le spectateur et la puissance d'incarnation des images. Dans ses docus et films précédents, Depardon avait su se passer des mots. Nul ne s'en plaignait.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Le ralenti des gestes, la musique mystérieuse de propos indéchiffrables et les regards sans émotion visible sont aussi essentiels qu'un vent de sable tourbillonnant sur les dunes ou que le son mat des étoffes claquant sur la silhouette des femmes. Il ne reste plus au spectateur qu'à se hisser à la hauteur de cette exigence. C'est aussi un pari.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Comment un si bon cinéaste que Raymond Depardon, se lançant dans un projet si proche de ce qui le touche et le concerne profondément, a-t-il pu passer aussi complètement à côté ? (...) Bizarrement, Depardon fait comme photographe ce qu'il a négligé de faire comme cinéaste : Désert, un homme sans l'Occident, le livre qu'il publie en même temps que sort son film, est plus vivant, plus parlant, que ce qu'il montre à l'écran.
Les Inrockuptibles
Décevant a priori, ce film fait de son échec son sujet : impossible à filmer le désert.