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Un visiteur
1,0
Publiée le 29 septembre 2006
Kitano nous a pourtant très bien surpris, nous autres occidentaux, à aprécier le cinema japonnais avec des petits chef d' oeuvres comme Kikujiro ou Aniki. Mais là rien. Kedal. Niet. Le néant. Si nous pouvons noter quelques touches microspopique d' humour, des beaux paysages... Le film se résume à un defilement d' images de carte postale, sans dialogues bien evidemment. Un des films les plus soporifique jamais réalisé, merci Kitano je trouvais plus mes somnifères.
Dolls est assez bon film très beau mais parfois lent. Ces trois histoires d'amours sont prenantes et très émouvantes que ce soit celle du couple condamné à errer, celle du yakuza incapable d'aimer ou celle du fan prêt à tout pour séduire sa star préférée. Kitano nous réalise après Hana-Bi un autre film poétique tout en simplicité et en émotion tout ça très bien valorisé par la sublime musique de Joe Hisaishi. Un beau film à voir mais qui souffre de quelques lenteurs.
Un film-poème en même temps qu'un film-errance. Il y a quelque chose de troublant dans ces petits récits désenchantés qui se croisent sans jamais vraiment se rencontrer - comme une humanité vidée de sa substance, trop certaine de sa nature tragique.
Magnifique... Simple, lumineux, contemplatif. Kitano joue la carte du sentimentalisme à fond et signe un chef d'oeuvre en racontant trois histoires d'amour déçues à cause de la nature de l'Homme ou de l'homme. En plus d'être un film admirable sur l'amour, c'est aussi un hymne aux femmes absolument extraordinaire. Du grand cinéma!
Alarmé par la mauvaise critique de "Dolls" dans Libération, j'étais un peu inquiet du résultat : mais "Dolls" est aussi humain, fort et poignant que sa critique est stupide et injustifiée ! L'histoire malheureuse de ces 3 couples maudits nous touche au plus profond de l'âme. Une fois de plus, merci à Takeshi Kitano de nous offir de telles émotions !
Dire que ce film est génial n'est qu'un doux euphémisme. Il n'y a pas de mots pour décrire ces histoires dramatiques qui nous arrachent le coeur et qui nous nouent à la gorge.L'amour dans son sens tragique est filmé avec des images d'un esthétisme impressionnant mais aussi d'une violence psychologique incroyable. Une oeuvre majeure de Kitano.
Que de complaisance et d'ennui !!! Ce film est d'une vacuité incommensurable. Les émotions sont aussi vides que la quasi-absence de dialogues. Sur l'ensemble du film, seules trois ou quatre scènes valent le détour (notamment la dernière scène). On ne rend pas un film esthétique et poétique en introduisant deux trois jolis paysages, en réduisant les dialogues au minimum et en accompagnant le tout de quelques mélodies (souvent mal choisies d'ailleurs). Pour ce qui concerne le choix des mélodies il est regrettable que la sortie de Old Boy soit postérieure car M. Kitano aurait peut-être pu en tirer quelques leçons. Quant à l'esthétisme, M. Kitano aurait pu également tirer des leçons de Lady Vengeance. Dans leur silence, Jacques Tati ou Elia Suleiman en racontent bien plus.
Il faudra aussi m'expliquer en quoi les "costumes" sont-ils si ravissants ? Peut-être ai-je vu une version dépouillée du film... On doit à peine voir deux ou trois vrais costumes en 1h50 de film !! C'est proprement ridicule( Le secret des poignards volants passe alors pour quoi? Idem pour le très américain Mémoires d'une Geisha)
C'est fou comme le vide peut faire du bien à tous ces ersatz d'intellectuels. Entre personnes bourrées d'autosatisfacton on se comprend sans doute.
A tous ceux qui veulent découvrir le cinéma asiatique sans s'ennuyer je conseillerais "Yi yi", "Taste of tea", "Infernal Affairs", "Memories of murder", "Printemps été automne hiver et printemps", "Hero","Old Boy", "Tigre et dragon", "Battle Royale", "Crazy Kung Fu", "Happy Together", "After Life","Eureka" et bien d'autres.
Certaines critiques disaient que Kitano faisait des films gris... "Pourtant, j'ai vérifié, je les ai bien tournés en couleur" répond-il.
Surmontant sa crainte de tomber dans le cliché facile, il nous offre ici un véritable petit bijou aux couleurs des quatre saisons, basé sur trois histoires traditionnelles. En voyant cette perfection dans les images, les costumes ou l'interprétation, on peut vraiment parler d'un véritable chef-d'oeuvre.
Chef d'oeuvre absolu du maitre Kitano, tout en beauté des couleurs, des regards et de la musique. Une symphonie à l'amour tout en gardant la noirceur de Kitano.
Sur un rythme lent, Kitano nous propose des variations autour de l'amour qui épousent celles des saisons. Un film très beau et émouvant qui offre des moments de pure poésie "kitanesque". Selon moi son meilleur film depuis Hana-bi.
Film très poétique de Kitano, qui réalise ici un film à la manière des théâtres japonais. Cependant, si certains trouveront le film formidable, d'autres vont sérieusement s'ennuyer et le trouver ridicule.
Desolé j'ai arrêter le film tellement je m'ennuyer. J'ai pourtant adoré Sonatine Hana-Bi, Brother ou encore Kikujiro mais là... Je met 1 etoile pour le benefice du doute.
Kitano nous surprend ici avec Dolls, il sécarte en effet de son univers violent peuplé de yakuzas et autres gangsters. Dans ce film, pas, ou peu, violence, on suit simplement trois belles et tristes histoires damour à travers les quatre saisons. Le rythme est lent, parfois trop cest vrai, je mentirai en disant que je nai pas décroché à un moment, mais le film est en accord avec la culture du cinéma asiatique (sans vouloir faire de généralités), aussi, dans lensemble sa longueur ne ma pas tant dérangée, cest à dire que je nattendais pas la fin avec impatience. Le film est très beau, les petites histoires, bien que tragiques, sont captivantes, mes préférées étant celle du vieux yakuza et celle du fan, cependant, la scène vers la fin entre le couple principal est aussi très réussi niveau émotions. Le film est intéressant, les acteurs interprètent bien leur personnage, et surprise Kitano napparaît pas dans son film ! A voir.
C'est un film fou. Du cinéma en liberté, enfantin dans le sens créateur du terme, sans limites. S'y côtoient dans un mélange foutraque des moments de poésie fulgurants – la quête silencieuse et poignante d'une innocence perdue – et la trivialité de notre époque – vedette fabriquée pour le profit de l'industrie, musique sirupeuse, clichés de roman-photo. Etranges étrangers ! Laissez votre raison à la porte de la salle de cinéma et larguez les amarres pour partir à la rencontre d'un cinéma Autre. Quand il se tait, DOLLS atteint l'ineffable, l'universel, l'intime. Certaines scènes peuvent laisser quelque peu perplexe, mais d'autres déposent dans votre imaginaire des traces sublimes.
3 histoires,3 drames,le tout se passe dans un japon colore et envoutant...a regarder en connaissance de cause,ce film laisse un arriere gout de melancolie persistant