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par http://www.cineastes.fr/film/film.php?affiche=filsdumask
Les travellings rapides (omniprésents), les courtes focales déformantes, les gros plans écrasants contribuent à une vraie recherche esthétique propre à cet univers qui rend l'entreprise plutôt sympathique et lui attribue de justesse l'étiquette de nanar alors que celle de navet lui pendait au nez.
Le premier [Mask] jouant d'avantage sur la parodie des films noirs, le second prenant le chemin des films familliaux [...] essaie de jouer sur les influences tex-averyenne sans jamais y parvenir. [...] décéption également du côté du casting.
Dans cette suite dévitalisée, il manque le seul effet spécial marquant du premier opus : Jim Carrey. [...] Le produit est reciblé à l'intention des tout-petits, qui adoreront les contorsions enlaidissantes infiligées à un bébé par les effets numériques, comme dans les spots de pub...
Déjà bien sonné par l'avalanche d'effets spéciaux redondants, on atteint alors les sommets de la soupasse commerciale destinée à fédérer les générations. LE FILS DU MASK, porté par des acteurs grimaçants, signe là sa propre caricature de film raté.
Survolté, hyperactif, épileptique, imcompréhensible à tous les niveaux, le fils du Mask ne dépasse jamais le stade de son idée de départ (bébé contre médor) et verse tout au long dans l'image appuyé et vain aux délires de Tex Avery et Chuck Jones, tout en foutant aux orties le rythme millimétré qui caractérisaient les cartoons des deux génies.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Cette fantaisie n'a plus rien à dire. Elle tombe le masque de ses insuffisances pour laisser le champ libre à un déferlement d'effets spéciaux. Les ordinateurs se sont peut-être bien amusés, mais leur rire n'a rien de communicatif. Il serait plutôt fatigant.
Pas de Jim Carrey dans cette suite hystérique et demeurée, qui devrait même réussir à fatiguer le plus courageux des gamins. Achetez-vous plutôt un coussin péteur c'est franchement plus marrant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ni la paralysie faciale de Jamie Kennedy, ni les pirouettes infographiques du bébé et du chien n'arrivent à égaler la présence comique et élastique de Jim Carrey.
La critique complète est disponible sur le site Score
On s'était laissé séduire par les impayables métamorphoses de Jim Carrey. On a eaucoup de mal à préter ne serait-ce qu'un peu d'intérêt aux mésanventures morphologiques de son clone bébé.
Visuellement il est laid, un véritable gloubi-boulga visuel aux couleurs acidulées qui essaient de retrouver l'esthétique des cartoons à la Tex Avery. Sur le plan du contenu, le film sonde les profondeurs du vide. Le scénario, famélique, n'est ici que prétexte à une déferlante d'effets spéciaux, envahissants et m'as-tu-vu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cinéastes
Les travellings rapides (omniprésents), les courtes focales déformantes, les gros plans écrasants contribuent à une vraie recherche esthétique propre à cet univers qui rend l'entreprise plutôt sympathique et lui attribue de justesse l'étiquette de nanar alors que celle de navet lui pendait au nez.
Zurban
A part une déférlante d'effets spéciaux, ce délire survitaminé n'a d'autre ambition que le divertissement superénergisant... au risque de fatiguer.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
Le premier [Mask] jouant d'avantage sur la parodie des films noirs, le second prenant le chemin des films familliaux [...] essaie de jouer sur les influences tex-averyenne sans jamais y parvenir. [...] décéption également du côté du casting.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Dans cette suite dévitalisée, il manque le seul effet spécial marquant du premier opus : Jim Carrey. [...] Le produit est reciblé à l'intention des tout-petits, qui adoreront les contorsions enlaidissantes infiligées à un bébé par les effets numériques, comme dans les spots de pub...
MCinéma.com
Déjà bien sonné par l'avalanche d'effets spéciaux redondants, on atteint alors les sommets de la soupasse commerciale destinée à fédérer les générations. LE FILS DU MASK, porté par des acteurs grimaçants, signe là sa propre caricature de film raté.
Mad Movies
Survolté, hyperactif, épileptique, imcompréhensible à tous les niveaux, le fils du Mask ne dépasse jamais le stade de son idée de départ (bébé contre médor) et verse tout au long dans l'image appuyé et vain aux délires de Tex Avery et Chuck Jones, tout en foutant aux orties le rythme millimétré qui caractérisaient les cartoons des deux génies.
Ouest France
Cette fantaisie n'a plus rien à dire. Elle tombe le masque de ses insuffisances pour laisser le champ libre à un déferlement d'effets spéciaux. Les ordinateurs se sont peut-être bien amusés, mais leur rire n'a rien de communicatif. Il serait plutôt fatigant.
Première
Pas de Jim Carrey dans cette suite hystérique et demeurée, qui devrait même réussir à fatiguer le plus courageux des gamins. Achetez-vous plutôt un coussin péteur c'est franchement plus marrant.
Score
Ni la paralysie faciale de Jamie Kennedy, ni les pirouettes infographiques du bébé et du chien n'arrivent à égaler la présence comique et élastique de Jim Carrey.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
On s'était laissé séduire par les impayables métamorphoses de Jim Carrey. On a eaucoup de mal à préter ne serait-ce qu'un peu d'intérêt aux mésanventures morphologiques de son clone bébé.
aVoir-aLire.com
Visuellement il est laid, un véritable gloubi-boulga visuel aux couleurs acidulées qui essaient de retrouver l'esthétique des cartoons à la Tex Avery. Sur le plan du contenu, le film sonde les profondeurs du vide. Le scénario, famélique, n'est ici que prétexte à une déferlante d'effets spéciaux, envahissants et m'as-tu-vu.