Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
A travers cette chute vertigineuse, Gibson édifie un audacieux exercice d'exorcisme en même temps qu'une solide parabole sur la barbarie, la haine ordinaire, l'intolérance et la cruauté.
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
C'est à la fois primitif et intellectuellement repoussant (...) L'argument réaliste, comme toujours agité (le côté "based on a true story"), sert là aussi de cache-misère : il s'agit encore une fois, au-delà de tout dogmatisme, d'intimidation pure et simple, à coups de talons.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Manuel Merlet
(...) une oeuvre réalisée sous influences, celles de la bêtise et de la laideur, et qui, après "Braveheart ", film déjà pitoyable par son interminable représentation de la violence, en rajoute dans l'ignoble.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Denis Rossano
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Dominique Widemann
Mel Gibson parvient, dans les excès de chairs scarifiées, torturées, percées, clouées, dépecées, et on en passe, à proposer un Jésus tellement désincarné que son calvaire se vide de sens à mesure qu'il se charge de plaies.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si l'on veut une preuve du mystère qui entoure la représentation de la religion au cinéma, on la trouvera dans l'évidence suivante : il y a moins de grâce dans toute La Passion du Christ du catholique Mel Gibson que dans un seul plan de L'Evangile selon Matthieu de Pasolini.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
(...) La Passion du Christ est un film d'une laideur incroyable, d'une bêtise abyssale, d'une abjection totale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
(...) tout dans La Passion est d'une lourdeur pachydermique. Impossible de compter les ralentis, surabondants et redondants. Difficile de rester de marbre devant cette longueur interminable et devant la complaisance avec laquelle est utilisée la violence.
Première
par Mathieu Carratier
La Passion du Christ ressemble à une blague. A vrai dire, même s'ils avaient essayé, les Monty Python n'auraient pas fait mieux.
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
C'est une oeuvre de prosélyte, au service d'un christianisme SM. Il paraît que des spectateurs se convertissent en sortant de la salle. Ca fait froid dans le dos.
Télérama
par François Gorin
Il ne s'agit pas seulement d'une dérive du spectaculaire hollywoodien (...) En donnant si vite à son Christ l'aspect d'une viande rouge zébrée par les fouets et les crocs, puis en suggérant une résistance physique assez peu plausible à tous ces traitements, Gibson lui enlève toute humanité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
aVoir-aLire.com
A travers cette chute vertigineuse, Gibson édifie un audacieux exercice d'exorcisme en même temps qu'une solide parabole sur la barbarie, la haine ordinaire, l'intolérance et la cruauté.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
C'est à la fois primitif et intellectuellement repoussant (...) L'argument réaliste, comme toujours agité (le côté "based on a true story"), sert là aussi de cache-misère : il s'agit encore une fois, au-delà de tout dogmatisme, d'intimidation pure et simple, à coups de talons.
Fluctuat.net
(...) une oeuvre réalisée sous influences, celles de la bêtise et de la laideur, et qui, après "Braveheart ", film déjà pitoyable par son interminable représentation de la violence, en rajoute dans l'ignoble.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Mel Gibson parvient, dans les excès de chairs scarifiées, torturées, percées, clouées, dépecées, et on en passe, à proposer un Jésus tellement désincarné que son calvaire se vide de sens à mesure qu'il se charge de plaies.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Si l'on veut une preuve du mystère qui entoure la représentation de la religion au cinéma, on la trouvera dans l'évidence suivante : il y a moins de grâce dans toute La Passion du Christ du catholique Mel Gibson que dans un seul plan de L'Evangile selon Matthieu de Pasolini.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) La Passion du Christ est un film d'une laideur incroyable, d'une bêtise abyssale, d'une abjection totale.
MCinéma.com
(...) tout dans La Passion est d'une lourdeur pachydermique. Impossible de compter les ralentis, surabondants et redondants. Difficile de rester de marbre devant cette longueur interminable et devant la complaisance avec laquelle est utilisée la violence.
Première
La Passion du Christ ressemble à une blague. A vrai dire, même s'ils avaient essayé, les Monty Python n'auraient pas fait mieux.
TéléCinéObs
C'est une oeuvre de prosélyte, au service d'un christianisme SM. Il paraît que des spectateurs se convertissent en sortant de la salle. Ca fait froid dans le dos.
Télérama
Il ne s'agit pas seulement d'une dérive du spectaculaire hollywoodien (...) En donnant si vite à son Christ l'aspect d'une viande rouge zébrée par les fouets et les crocs, puis en suggérant une résistance physique assez peu plausible à tous ces traitements, Gibson lui enlève toute humanité.