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    Alice n'est plus ici
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    Shidoobie
    Shidoobie

    5 abonnés 216 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2007
    Un trés beau Scorsese. L'histoire est terrible, et le combat de Ellen Burstyn est poignant. Grand casting et magnifique bande originale trés glam-rock (Mott the Hoople, T-Rex, Daniel d'Elton John). Une nomination méritée aux Oscars pour Ellen Burstyn.
    Cocobusiness
    Cocobusiness

    13 abonnés 382 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 septembre 2008
    Alice n’est plus ici, 1974, de Martin Scorsese, avec Ellen Burslyn, Harvey Keitel, Kris Kristofferson et Jodie Foster (gamine). Honnêtement, si ce film n’avait pas été signé Scorsese, je ne l’aurais pas vu jusqu’au bout. Road movie ennuyeux sur une femme veuve (une chance pour elle que son tordu de mari meurt !) qui part avec son gamin caractériel en quête de son graal, devenir chanteuse. Elle finira serveuse, et amoureuse d’un gentil garçon. L’aspect mélodramatique de l’ensemble affadit le potentiel des personnages. Belle bande son, bonne interprétation, clin d’œil appuyé au début au « Magicien d’Oz ».
    Alasky
    Alasky

    359 abonnés 3 459 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 août 2024
    Beau récit, intimiste et très réaliste. Casting intéressant, les grands comme les petits rôles. Le gamin dans le film aurait facilement pu gagner le prix de l'enfant le plus insupportable de l'histoire du cinéma.
    Starwealther
    Starwealther

    78 abonnés 1 231 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mai 2021
    Scorsese s'attèle au portrait d'une femme veuve, Alice Hyatt, fauchée, perdue et seule pour s'occuper de son jeune fils. Ce road movie nous promènera dans le Sud des Etats unis, Alice cherchant à se refaire une nouvelle vie et à trouver un nouveau souffle. Pour son premier véritable film hollywoodien, le réalisateur réussit, grâce à ses références cinématographiques, à personnaliser une oeuvre de commande. "Alice n'est plus ici" est très proche du cinéma de John Cassavetes, c'est un film très sentimental, beaucoup dans le ressenti. Scorsese dresse un émouvant portrait d'une femme des années 70 mêlant à la fois tendresse, drame et humour entouré de très bons acteurs tel que Harvey Keitel et Kris Kristofferson. Un film très sensible bien que peu important dans la filmographie du réalisateur italo-américain.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    300 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 avril 2019
    Pas le plus mémorable des Scorsese, mais un honnête road movie, et une relation particulière entre une mère et son fils, faite de hauts et de bas. J'ai adoré l'esthétique de la scène introductive, dommage que le reste ne suive pas. La composition d'Ellen Burstyn est parfaite, rien à redire. Je n'ai juste pas été follement emballé par l'histoire. Même si cela reste au-dessus des mélos habituels.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 mars 2014
    Ne le dites à personne mais je me suis un peu ennuyé pendant une bonne partie du film. Le dernier tiers redevient tout de même plus prenant y compris un petit numéro amusant de Jodie Foster, tiens, tiens.
    En gros l'idée serait ne jamais abandonné ses rêves.
    Artriste
    Artriste

    123 abonnés 2 021 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2021
    Quatrième long-métrage de Martin Scorsese, Alice N'Est Plus Ici est une comédie dramatique tout à fait plaisante. L'histoire de cette mère qui devient veuve du jour au lendemain et qui va partir à l'aventure accompagnée de son fils afin de vivre de la chanson est un poil longue mais plaisante à suivre. Elle va faire des rencontres qui vont donner lieu à des moments très drôles mais aussi des passages plus durs qui alternent et qui donnent une ambiance à la fois légère, ou des tranches de vie simple laissent place à des scènes plus violentes ou les cris et les objets volent et ou les larmes coulent. La grande force du film vient de la relation entre Alice et son fils Tommy respectivement incarnés par Ellen Burstyn et Alfred Lutter III qui sont bons dans leurs rôles. Ils ont une belle complicité et beaucoup d'amour se dégage entre eux malgré le fait qu'ils se parlent crûment, de manière très frontale et directe. Mais justement cette sincérité est touchante et chacun veille sur l'autre à sa façon. Alice est une femme forte qui fait tout pour son petit et Tommy un enfant impertinent, insolent au langage fleuri mais débrouillard et mature pour son jeune âge face aux situations qu'il vit. Les autres personnages sont tout aussi plaisants et j'ai apprécié la présence de chacun d'eux. Les répliques elles, sont cinglantes et savoureuses et j'ai beaucoup aimé la douceur qui se dégage quand Alice chante. La b.o. d'ailleurs est bonne tout comme la réalisation de Martin Scorsese, très mouvante et qui donne de la vie aux scènes. Reste une fin qui manque légèrement de saveur mais qui n'enlève pas les qualités à cette histoire. Pour conclure, Alice N'Est Plus Ici est un film qui mérite le coup d’œil et que je conseil.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 août 2012
    Un Scorcese formidable : puissant tire-larme constamment émaillé d’humour, on y passe sans transition des larmes au rire, comme l’humeur changeante d’une Alice (Ellen Burstyn), mère de famille encore post-adolescente dans son âme, dont le cœur ne cesse de balancer entre ses désirs et les nécessités : gagner sa vie de veuve et élever son enfant décemment, chanter et trouver une épaule masculine sur laquelle se reposer. Elle finira, après maints déboires, par trouver l’homme prêt à sacrifier sa liberté et ce qu’il a acquis par son travail pour elle et son enfant.
    La dynamique des plans, des mouvements de caméra (avec les quelques excès pardonnables des années 1970) et du montage de ce road-movie au féminin nous montre déjà ici à l’oeuvre un très grand réalisateur.
    Portrait de femme touchant, et doté d’une dimension sociale évidente, Alice n’est plus ici n’est pas un film féministe pour autant, bien qu’il se place au plus près du point de vue féminin. C’est un film qui nous présente une femme en butte aux difficultés de la liberté forcée et à l’illusion qu’elle pourrait se passer d’un homme dans sa vie. Mais elle finit par comprendre que sa fuite en avant vers Monterey, sa ville natale idéalisée, n’est qu’un mirage de plus, et qu’elle peut trouver suffisamment de bonheur là où vit l’homme qu’elle aime. La famille passe dans ce magnifique film avant tout, mais sans la lourdeur des discours lénifiants coutumiers du cinéma américain et surtout sans qu’elle se présente comme un renoncement aux rêves d’Alice enfant. Alice ne renonce pas à chanter, à être elle-même, et c’est ce qui lui donne encore plus de valeur aux yeux de David, qui est prêt à faire des efforts également pour apaiser les tensions entre lui et Tommy, le jeune le fils d’Alice, qui amène pas mal de légèreté dans le film.
    A noter aussi :
    - un des premiers rôles de Jodie Foster (son cinquième long-métrage au cinéma), en jeune adolescente précocement pervertie, qui entraîne Tommy (12 ans) dans l’alcool, la drogue et la pré-délinquance ;
    - le film fut suivi d’une série très populaire nommée Alice qui dura 9 saisons (202 épisodes de 1976 à 1985) avec Linda Lavin dans le rôle-titre et qui reprenait pour décor principal le diner miteux de Phoenix, Arizona où Alice échouait comme serveuse dans le film, avec notamment le savoureux personnage de Florence Jean 'Flo' Castleberry la serveuse en chef mal embouchée. Pour le plaisir, une de ses réparties du film (pour les anglophones) : « She went to shit and the hogs ate her! ».
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 952 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2012
    Très belle chronique que cette femme avec son fils adolescent qui affronte, seule, la vie, avec de la force, du courage et de la joie! Pour Martin Scorsese, "Mean Streets" a ètè une acceptation mais c'ètait dit une fois pour toutes, le cinèaste voulait quitter après ce film ce milieu! Et "Alice Doesn't Live Here Anymore" ètait une tentative de trouver une autre voie, en somme! Ellen Burstyn, Oscar de la meilleure actrice par son interprètation en Alice n'est plus ici (même si Gena Rowlands faisait la même annèe une prestation mammouth dans "A Woman Under the Influence"), est excellente où Alfred Lutter, Billy "Green" Bush et Jodie Foster (l’avant « Taxi Driver ») complètent le cadre! Avec ce calme qu'il amène par sa simple prèsence, Kris Kristofferson ajoute beaucoup d'authenticitè à son personnage! Marty traite donc des relations mère veuve-fils avec brio dans une mise en scène harmonieuse, entre èmancipation fèminine et dèsillusions, mais n'abandonnera jamais ses obsessions par la suite: l'Amèrique des paumès, des marginaux et des minoritès italiennes...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    704 abonnés 3 055 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 octobre 2024
    Alice Doesn’t Live Here Anymore fait le choix de la chronique familiale et sociale, forme en vogue dans le cinéma américain du début des années 1970 – pensons par exemple à The Last Picture Show de Peter Bogdanovitch, sorti en 1971 – pour représenter la faillite du rêve américain confondu dans son patriarcat violent et les chimères qu’elle fait naître dans le cœur de celles qui s’efforcent de la fuir. La grande fluidité de la mise en scène, en constant mouvement, sillonne les espaces extérieurs et intérieurs pour capter au plus près les personnages et leurs déplacements, auxquels le récit se consacre tout entier : le road trip dessine une cartographie de l’Amérique reliant le Nouveau-Mexique à la Californie en passant par l’Arizona, trois espaces chargés respectivement des désillusions présentes, des espoirs du passé et d’un avenir forcément haut en couleur.
    Mère et fils spoiler: vendent leur mobilier puis errent de motel en motel, de bars en diners peu recommandables où le rêve de chanson mute en service à table
    . Nous retrouvons là le regard sceptique mais plein de compassion de Martin Scorsese sur son propre pays qui s’amusera, quelques années plus tard, à déconstruire les fictions télévisées dont s’abreuve ici le fils Tommy (The King of Comedy, 1983). De remarquables acteurs incarnent des personnages authentiques et singuliers, mention spéciale au couple formé par Ellen Burstyn – déjà au casting du film de Bogdanovitch – et Kris Kristofferson, récemment disparu. Une belle réussite qui se distingue, au vu de la filmographie de son cinéaste, par sa modestie et par la réduction de son scénario à une temporalité restreinte.
    Jonathan M
    Jonathan M

    135 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 octobre 2017
    On peut se dire que le début de carrière de Scorsese fait part belle aux femmes : le point commun entre Who's that knocking...; Bertha Boxcar et Alice n'est plus ici - est que la femme fait rébellion. En errance; en road-movie aussi; elles ont ce caractère qui dit oui à la vie et non à l'hégémonie masculine. Leur désir de liberté assumé en fond des personnages attachants. Tout comme Barbara Hershey - alias Bertha - Ellen Burstyn cherche l'aventure. Libéré d'un mari dont elle restait fidèle, son émancipation commence alors. Mais le grand amour qui chérira son coeur doit avoir le coeur bien accroché. A la fois forte et trop naïve face aux hommes, elle est beaucoup moins devant son garçon. Celui pour qui elle donnera tout doit comprendre que maman est une battante.
    Scorcm83
    Scorcm83

    106 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2016
    Un portrait de femme, de l'Amérique des années 70, une mise en scène impeccable et parfois même virtuose, des personnages plus vrais que nature et attachants, des acteurs qui leur collent à la peau, un BO Rock and Roll. Du pur Scorsese. On s'éloigne certes de la tradition du héros masculin violent et tourmenté pour se concentrer sur un personnage de femme, une femme forte, presque autant voire plus que les hommes au centre des précédents films du cinéaste. Seulement, celle ci est entourée par ces hommes tourmentés, elle ne peut pas leur échapper, et son combat sera celui de la conciliation entre une acceptation de soi et l'acceptation de l'autre.
    En bref, j'ai beaucoup aimé ce Alice n'est plus ici que je pensais voir comme un film mineur scorsesien mais qui se révèle au final une oeuvre clef dans la filmographie du cinéaste italien.
    Je le conseille !
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    124 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 septembre 2019
    (Attention : cette chronique est remplie de références… anachroniques. Âmes sensibles s’abstenir.)

    ”What is it? Is it a movie?” Une question posée par le personnage d’Ellen Burstyn à son mari, homme semi-fruste dont Scorsese aurait voulu qu’il apparaisse un tiers du temps total à l’écran. Ses dix minutes finales ne sont pourtant pas réductrices, car s’il est réduit à quelque chose, c’est à des extrêmes mous qui nous font effectivement nous demander si nous voyons un film.

    C’est pour nous, à peine sortis de la surréaliste introduction, une immersion dans les conflits perpétuels que va interpréter Ellen Burstyn. On a de la chance qu’elle soit expressive & en mesure de donner plusieurs vies à sa langue bien pendue, car ce sont les points forts de l’ouvrage & rien ne la tenait à avoir l’énergie pour ça.

    Pour tout dire, c’est elle qui a engagé Scorsese, profitant de l’autorité conférée par sa prestation dans L’Exorciste l’année précédente. C’est à Burstyn aussi qu’on doit un côté prétendûment féminin du film (que la route & les diners effacent en vérité, au point de transformer Jodie Foster, 12 ans, en garçon manqué) mais surtout deux synergies épatantes : d’abord celle qu’elle entretient avec son fils (Alfred Lutter III, enfant acteur au naturel qui décrochera hélas bien vite du septième art) puis celle qu’elle fait naître avec Kris Kristofferson, la force (presque) tranquille responsable que la confiance puisse encore s’accorder dans une vie qui l’a souvent trahie.

    Lui est là pour empêcher qu’Alice se croie dans un Thelma et Louise format mère & fils, & apporte avec sa guitare la touche de A Star Is Born qui va bien. Dans ce périple allant de motel en motel comme un Rain Man dont la météo aurait bien besoin, Scorsese nous fait presque espérer la métamorphose de Burstyn, qu’on imagine bien exploser en Pretty Woman.

    Pourtant sa transition est douce : elle ne cessera jamais d’être harnachée aux sixties où la vie de couple l’a retenue, mais elle désirera toujours ardemment autre chose & souffrira parce qu’elle comprend, sans jamais nous le dire, le retard qu’elle a pris. Toujours souriante & positive pour son fils, elle se fera rattraper par une éducation qu’elle croyait mener en funambule alors qu’elle était déjà tombée.

    Rien, en ça, ne joue vraiment dans l’ambiance formée à grands & longs coups de dialogues millimétrés : c’est un extra. Drôle & plein de sensibilité, peut-être à peine trop absurde par moments, le film laisse entrevoir les cicatrices d’une réduction d’un tiers de sa durée mais l’opération est au-delà du réussi : somehow, tout les organes vitaux sont encore là pour qu’on apprécie les autoréférences, fossiles d’un plan différent & difficile à imaginer meilleur.

    Côté histoire, on est sur un degré de symbolique inférieur à zéro, loin de provoquer des palpitations façon Wild at Heart. C’est une tranche de vie rendue à elle-même, rendue fascinante, réelle & bonifiée comme le serait Erin Brockovich par Julia Roberts bien plus tard. Ce sont des visages jeunes de profil, mais blessés de face, & le souvenir d’un père employé chez Coca Cola dont le souvenir remonte à chaque bouteille bue dans le désert californien, & des attachements qui sont aussi douloureux que libérateurs à sectionner.

    Si c’est un film ? J’ai tellement aimé que je n’en sais plus rien, tiens.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    Prad12
    Prad12

    95 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 mai 2014
    Je me suis dit Oh ! un Scorcese méconnu ! faut le voir..... Et après j'ai bien compris pourquoi il est resté méconnu....... un demi road movie, un gamin à qui je foutrais bien un paquet de baffes et une Alice qui est à moitié folle..... rien de drôle mais un zeste d'émotion, çà reste très léger. Et puis mettre Harvey Keitel sur l'affiche alors qu'il a un rôle de 10 minutes faut pas charrier.......
    Jipis
    Jipis

    40 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2012
    Le seul moyen de savoir s’il y a un monde au delà de sa médiocrité est de claquer la porte en se lançant après un drame familial sur la route de l’inconnu.

    Un inconnu bien souvent à l’image de ce qu’on vient de quitter remplis de lieux graisseux et de dragueurs débiles avec comme pierre angulaire à toutes ces continuités un gamin insupportable en pleine crise d’adolescence.

    « Alice n’est plus ici » est le récit d’une dualité soudée par l’insolence et la tolérance lancée sur les routes de l’incertitude. Au fil de quelques premières rencontres ne menant nulle part une mère est son fils se provoquant en permanence avancent sans briser un cordon ombilical essentiel à la conquête d’un destin.

    « Ose devenir ce que tu es » devient un leitmotiv désirant atteindre sa plénitude en conquérant amour et respect dans des environnements balourds et roteux.

    «Alice n’est plus ici » déclenche la rébellion d’une femme domestiquée, sans flamme, privée d’expériences, livrée aux fourneaux, à la lessive et à l’exigence d’un mari primaire en lui permettant tout en étant fragile et sentimentalement dépendante de se construire dans des lieux nouveaux par le doute et la maladresse.

    S’améliorant par d’incessantes peaux de bananes une femme en galère attenue la récurrence de ses jours en se posant amoureusement sans pour cela éviter les limites d’un monde dominé par le hot dog et la bière.

    Sans être un chef d’œuvre « Alice n’est plus ici » montre parfaitement les pièces maitresses d’un site rural structuré par l’usine et le Mac do ou le meilleur prétendant possible reste imprégné de ces ingrédients. Il faut faire avec.
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