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    Pur Sang, la légende de Seabiscuit
    Note moyenne
    3,2
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    88 critiques spectateurs

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    lillois
    lillois

    105 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 avril 2010
    "Pur Sang, la légende de Seabiscuit", ou des bons sentiments servis dans un baquet d'avoine. A cause d'une narration pour le moins bordélique durant le premier quart du film, la confusion s'installe dans l'esprit du spectateur. En effet l'enchevêtrement des histoires, sans liant, est à la limite de l'incompréhensible ! On assiste ainsi pêle-mêle à la réduction des grands espaces sauvages, à l'essor automobile et au fordisme, à la crise économique de 1929 etc. Cette mise en contexte historique quasi documentaire présente de l'intérêt, d'autant qu'elle s'appuie sur des images et un texte bien choisis. Malheureusement elle nous distancie déraisonnablement de l'intrigue principale. Par la suite, la progression scénaristique laisse transparaître sa trop grande facilité. Au pays des self-made men, tout est possible et les éclopés de la vie ont droit à une deuxième chance. Si le personnage de Tom Smith (Chris Cooper) tire son épingle du jeu, le résultat est à peine émouvant car prévisible en tous points. Cette exhortation des valeurs américaines s'achemine vers une issue triomphale à la vitesse d'un cheval au galop. Les développements poussent l'analogie entre homme et animal jusqu'à la rendre ridicule. Une seule de ces scènes fonctionne bien et nous fait même sourire, il s'agit de celle où l'entraîneur comprend qu'il doit associer Pollard à Seabiscuit. Je n'ai pas aimé la façon de filmer les courses (inesthétique à mon goût). L'époque décrite voulant peut-être cela, ce long-métrage apparaît très masculin (le rôle de Marcela, tenu par Elisabeth Banks, frise d'ailleurs l'insignifiance). On peut déplorer que le générique ne mentionne pas les principaux chevaux ayant pris part au tournage (Seabiscuit, War Admiral). Leur contribution s'apprécie pourtant longuement à l'écran. Pour finir sur une note positive, soulignons la riche idée d'avoir retenu William H. Macy pour les interludes radiophoniques turfistes : chacune de ses interventions constitue un petit moment de bonheur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Vraiment un bon moment. Le film est émouvant et permet de découvrir le fonctionnement des courses de chevaux. Les prises de vue sont excellentes.
    PIERRE-QUI-ROULE
    PIERRE-QUI-ROULE

    69 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Désolé de comparer avec Deux frères vu récemment. En deux mots : c'est le jour et la nuit. tout est presque parfait dans ce film. Une photographie à vous couper le souffle n'est pas son moindre mérite. je n'aime pas les films genre Mickey Mouse et ses manipulations mais ce film fera plaisir aux enfants (plutot que le "2 frères") et aux adultes.
    lucilla-
    lucilla-

    61 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 octobre 2009
    Voilà un bien joli film, émouvant et attachant, sur les blessures que la vie nous inflige. Il n'est pas nécessaire d'être intéressé par les chevaux pour apprécier cette belle histoire, qui parle de résilience, cette capacité à surmonter le malheur en faisant de ses faiblesses une force, pour peu que l'on trouve, sur son chemin, le regard, la tendresse, la chaleur d'un autre... Beau film d'amour, étonnant !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Esthétiquement magnifique, et on se prend finalement à cette histoire. Prises de vues splendides, une palme aux cadreurs.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Super, ce film !!!!
    Mais je pense qu'il faut vraiment aimer les chevaux, car sinon, on risque de vite s'ennuyer !!!
    Et le début est un peu long, mais dès que les trois hommes se rencontrent, c'est génial !
    chrislain
    chrislain

    6 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mars 2014
    Il y a plusieurs stars dans ce film : bien-entendu le cheval, mais aussi Tobey Maguire, et surtout le grand retour de Jeff Bridges, grandiose. Le film a beau être hollywoodien en diable, je pense qu'il décrit bien l'après "jour noir" de 1929, notamment en ce qui concerne les sentiments éprouvés par la population. On passe un bon moment, et on ne se sent pas plus bête ensuite... Alors comme en plus les images sont magnifiques, ne boudons pas le plaisir de cette détente sans prétention.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Magnifique !!!! Film rempli d'émotion... C'est une histoire fantastique... A voir sans hésitation !!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Ce film est très classique tant dans sa réalisation que dans sa trame principale. Il se suit toutefois sans difficultés grâce à de très belles images (les courses sont très réussies) et à des acteurs au dessus de la moyenne.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Les adjectifs me manquent pour décrire ce film car fabuleux, touchant, émouvant, magnifique etc etc... ne suffisent pas à le décrire !
    L'histoire touchera tout le monde car chacun de nous passe un jour dans une mauvaise période et ce film nous démontre "qu'il ne faut pas tirer un trait sur toute une vie sous prétexte qu'il est un peu cabossé !"
    Alors, même si c'est l'histoire d'un petit cheval, monté par un borgne, entrainé par un vieux un peu fou et financé par un ancien riche, ce film mérite d'être vu et revu !!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Le film terminé, alors que la lumière se rallume et que le générique commence à défiler sur l'écran, au fond de la salle, un clap retentit. Lointain, discret, presque timide. Mais un second suit, immédiatement relayé par un troisième, spontanément imité par une salle aux anges qui du clap initial fait une salve collective. Les spectateurs jubilent, visiblement sous le charme de l'histoire vraie de ce canasson nommé Seabiscuit, cheval banal élevé au rang de mythe sportif dans les années 30 sous l'impulsion de trois éclopés de la vie. Un conte merveilleux qu'Hollywood nous narre régulièrement, chronique optimiste d'un monde meilleur où la chance sourit aux audacieux et où la foi parvient à déplacer les montagnes. Dans cet univers, idéal et naïf, pauvres, exclus, déshérités, et autres laissés pour compte prennent leur revanche sur la vie, sur le système et se relèvent, armés de leurs seules bonté et volonté... Déplorable nunucherie ? Exemple même de la fable barbante ? Souvent oui. Sauf qu'ici, non...
    La preuve ? Simple sans être simpliste, l'histoire de cette épopée chevaline, ode au courage et à la volonté, se double intelligemment d'un pertinent tableau d'une Amérique plongée en pleine récession depuis le Krach de 29. L'aventure de ce bourrin boiteux et de ses improbables maîtres (un jockey borgne, un entrepreneur miné par la mort de son fils, un entraîneur en décalage avec le monde) accédant au panthéon des hippodromes devient alors celle de tout un peuple en mal de repères et qui, rejeté sur les routes et par la société, se cherche des héros, des modèles à suivre, des icônes à aduler. Seabiscuit n'est plus seulement un cheval, c'est le symbole d'un pays qui aspire à se redresser.
    Mais, et on l'oublierait presque, Seabiscuit est avant tout un film de sport, activité cinégénique au possible en cela qu'elle intègre naturellement tous les habituels ressorts dramatiques (suspense, retournement de situation, final haletant...). Ici, c'est particulièrement flagrant : jamais courses de chevaux n'ont été mises en scène de la sorte. Alternant caméra "embarquée" sur l'encolure des équidés, travellings fluides scotchés à la croupe de l'animal et ralentis "dramatiques" sur le galop des étalons, Gary Ross parvient à donner un relief considérable et inattendu à toutes ces confrontations hippiques.
    Non Seabiscuit ne révolutionnera pas le cinéma. Mais oui, on peut prendre du plaisir devant cette édifiante hollywooderie pur jus. Et que celui qui n'a jamais vibré à la lecture de l'Etalon Noir quand il avait 10 ans me jette la première pierre ! Bon sang ! On en deviendrait presque turfiste...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Ma copine me disait "les films sur les chevaux, c'est super niauseux".
    Pour moi, un film doit toujours avoir sa chance, comme le dirait le propriétaire de Seabiscuit... mais tantôt on gagne, tantôt on perd. Je dois me rendre à l'évidence, ce film tarde à trouver un souffle.
    C'est vrai que l'allégorie de ce film est tentante a priori, mais je dois avouer que c'est vraiment niaseux. De bonnes grosses ficelles, pas trop mal tirées au demeurant, mais carrément élimées.
    Pendant la première moitié du film, j'ai attendu qu'il commence; puis, dans la seconde moitié, qu'il finisse. C'est vrai qu'il traîne en longueur, et ce n'est pas la bonne conscience sociale à l'américaine qui imprègne ce film qui lui donne un coup de fouet, ni ne le sauve.
    Le jeu des acteurs est tout à fait satisfaisant, et la mise en scène plutôt académique correspond bien à ce genre de film.

    Dommage donc : un sujet qui, s'il n'est pas passionant, reste intéressant; un réaliateur capable et des acteurs décents; mais au final, un film plutôt soporiphique et téléphoné. Je déconseille.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un film banal, prévisible, au scénario insipide et idéologiquement douteux. En fait de "revanche de tous ceux qui ne devaient pas gagner", on voit un riche vendeur de voitures proclamer sans cesse un "America über alles" d'autant plus pénible que la voix off et les images documentaires qui rythment le film "expliquent" que la sortie de la Dépression est due non pas aux grands travaux et à la politique économique démocrate mais au courage des individus libres et pleins d'ambition... Les images des courses sont risibles (en particulier le trucage primitif des jockeys en gros plans avec une tête de cheval à bascule qui monte et descend à grande vitesse alors que tout le reste est immobile). La musique est à hurler (imaginez une sorte de chant patriotique version musique d'ascenseur diffusé en boucle). Les personnages féminins sont absents (le seul "rôle" féminin se définit par l'admiration sans bornes pour son mari). En bref, ce film est un éloge constant et lourd de l'Amérique, la Vraie, à la fois profonde et nouvelle (l'Ouest triomphe de l'Est), masculine et démagogue... Après Schwarzy gouverneur de Californie, à quand Seabiscuit à la Maison-Blanche?
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