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chrischambers86
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4,0
Publiée le 4 juillet 2013
Pour mettre en images cette très belle histoire (remake de l'excellent "The Story of Seabiscuit" avec Barry Fitzgerald et Shirley Temple), Gary Ross se prend de passion pour un magnifique ètalon, un jockey et son entraîneur! Dans le rôle principal, Tobey Maguire est èblouissant dans ce conte hippique inspirè des exploits d'un jockey et de son cheval dans l'Amèrique de 1936! C'est lui qui fait le film, un vrai et grand spectacle pour petits et grands, un peu dans la lignèe de Capra! Et Jeff Bridges et Chris Cooper dans les seconds rôles ? ils sont très biens! Formidables même! On est bien contents d'avoir une si belle occasion de les aimer de nouveau dans ce film dont les scènes de courses de chevaux sont très rèalistes! Une chose est sûre: "Seabiscuit" version 2003 est beaucoup plus spectaculaire que "Seabiscuit" version 1949 dans une mise en scène qui ne manque ni de panache, ni d'engagement ni de personnalitè, une histoire d'amitiè comme les aime le public amèricain, entre trois hommes et un cheval tocard qui devient champion! Un vrai plaisir...
une très jolie histoire qui nous est contée dans ce film la légende de SEABISCUIT, le cheval qui ne devait pas gagner ce film montre qu'à force d'efforts, de travail, de persuasion , on peut y arriver encore faut il que l'on laisse la chance aux gens dans ce film le cheval est le lien qui unit tout les personnages de ce film, ces personnes accidentées de la vie j'ai bien aimé ce film
Après l’excellent « Pleasantville » Gary Ross, pour sa deuxième réalisation, s’attaque à des faits réels. Tiré du livre éponyme « Pur sang, la légende de Seabiscuit » le film retrace la vie de ce célèbre cheval qui durant la grande dépression fit rêver des millions d’américains qui voyaient dans ce cheval au profil atypique qui subit de nombreuses avanies une image de leurs souffrances durant cette crise économique sans pareille. Plus que l’histoire de cet animal hors normes, le film est plutôt un drame social choral où le destin de trois hommes est indéfectiblement lié à celui de ce coureur : le propriétaire anéanti par la mort de son jeune fils et qui trouve dans ce cheval un but pour sa vie et dans son jockey un fils de substitution, le jockey quant à lui est un jeune homme tôt privé de sa famille du fait de la crise et dont la vie s’en trouve erratique de ce fait et enfin l’entraîneur, ex-cow-boy dépassé par la tournure de ce monde qu’il ne comprend plus. C’est dans la présentation de ces trois archétypes humains que le film trouve sa force. Le film n’est pas avare d’émotion, mais il ne sombre pas pour autant dans un pathos trop larmoyant ni trop appuyé. Il assure également via une voix off et des photos d’époque une mise en perspective historique, économique et sociale du contexte de l’époque nous permettant de faire le lien avec le drame qui se joue devant nous. J’avoue avoir été enthousiasmé par la prestation de Tobey Maguire, vraiment convaincant en jockey fan de lecture tourmenté par une vie qui ne correspond pas à ses aspirations, et ce malgré une coiffure orange carotte à la limite du grotesque. Un film prenant, pas idiot dans sa mise en perspective historique et nourrie d’une émotion pas trop envahissante avec des courses réellement passionnantes, à voir sans hésitation.
Voila un un film que l'on peut nommer chef d'oeuvre méconnus. Pourtant quelle merveilleux film. La perfection de la narration et des plans font de Seabiscuit ce merveilleux film eternel perdant de la cérémonie des Oscars en 2003.
Pur Sang , la légende de Seabiscuit de Gary Ross, par son accumulation de bons sentiments et surtout par un manque évident de mise en scène rate ce qui aurait pu être un film fort et puissant . En effet , Gary Ross place tout de même ce film qui reste au final , très mauvais , dans un contexte économico-social fort intéressant à savoir dans la dépression des années 1930 , cette idée , jamais l'auteur y vient au bout . Le cheval , la légende du titre aurait été par exemple une formidable métaphore sur la paix , sur l'avenir meilleur du pays . Mais non : l'auteur n'hisse jamais ces protagonistes au rang d'héros symboliques . On reste dans un petit film tire-larmes sans grand intérêt , inexploité et inachevé .
Une histoire supposée attachante mais qui ennui plus qu'autre chose. Restera néanmoins un jeu d'acteurs honnête et un dressage de nos amis à quatre pattes une nouvelle fois exceptionnel.
Quel dommage , ce film avait tout pour réussir doté d'une histoire vraie sur la légende de ce fameux cheval qui a marquer l'histoire. Le réalisateur était prometteur mais cela suffit pas , cette adaptation manque de sensation c'est assez navrant. Les point forts de de film : des acteurs sont plutôt convaincant , les courses de chevaux est filmé avec prouesse , c'est vraiment magnifique. Le point faible : c'est lent et vraiment peu de renseignement sur Seabiscuit très frustrant quand ont c'est que ce cheval au combien il est fascinant. En fait , seul vraiment la fin est surprenante de beauté et de frissons devant ce cheval de légende. Je le répète c'est vraiment dommage , cette adaptation aurait du être le film a oscars et voila qui n'en est rien. Bref a voir quand même pour ne pas passer a coté et un conseil lisez plutôt le livre si vous voulez connaitre beaucoup mieux cette histoire fantastique.
Beau film, mais je m'attendais quand même à légèrement mieux. Il manque le petit plus pour mériter les 4 étoiles. Enfin c'est à voir de toute facon, qui plus est quand on est un amoureux des courses de chevaux !
le film retrace la vie de ce célèbre cheval qui durant la grande dépression fit rêver des millions d’américains qui voyaient dans ce cheval au profil atypique qui subit de nombreuses avanies une image de leurs souffrances durant cette crise économique sans pareille. Plus que l’histoire de cet animal hors normes, le film est plutôt un drame social choral où le destin de trois hommes est indéfectiblement lié à celui de ce coureur : le propriétaire anéanti par la mort de son jeune fils et qui trouve dans ce cheval un but pour sa vie et dans son jockey un fils de substitution, le jockey quant à lui est un jeune homme tôt privé de sa famille du fait de la crise et dont la vie s’en trouve erratique de ce fait et enfin l’entraîneur, ex-cow-boy dépassé par la tournure de ce monde qu’il ne comprend plus. Ce film est bouleversant et riche en émotions. Tobey Maguire est impeccable dans son rôle de jockey. Une bonne surprise
Une très belle entrée en matière à travers l'ère de l'automobile remplaçant celui des chevaux pour y revenir après le crash et la Grande Dépression aux Etats-Unis. de l'émotion, de la noblesse, de l'espoir. Très beau film.
Le divertissement ricain de base, donc très lisse, convenu, mais efficace. Ce biopic équin [je tente une nouvelle expression] présente la caractéristique de mêler, dans sa première partie, l'histoire de la bête et celle des Etats-Unis. Fordisme, crise des années 1930, ... c'est limite un cours d'histoire de première, ce que je trouve très bien d'ailleurs. Dans les moins du film, il y a pour commencer la confusion du début. Le réalisateur nous propose de suivre les péripéties de plusieurs personnages, mais on ne sait pas encore quel rôle ils vont jouer, et puis on passe de l'un à l'autre sans transition, du coup on finit par s'emmêler les pinceaux. Ensuite, le film est trop long, du coup il manque de dynamisme. Enfin, on retrouve le trop fréquent défaut des films ricains : tout est embelli, on voit le pauvre type et le cheval destiné à finir sur les étales d'un boucher monter en puissance et tout gagner, on nous sert des répliques à la con destinées à faire pleurer dans les chaumières ("il vaut mieux briser une jambe que briser un cœur !", oh que c'est beau, j'en chialerais presque). D'où mon refus de foutre quatre étoiles.
Certains auteurs américains comme Grisham ou Clancy, utilisent des recettes éprouvées pour produire des best-sellers en série. De la même façon, il existe des recettes pour faire des succès populaires avec les films. Celui-ci en est un. On pourrait remplacer le cheval par n'importe quel sportif ou personnage en quète de succès ou de reconnaissance. On commence par le dévaloriser (le vilain petit canard) puis, à force de travail et d'abnégation, il peut se risquer à affronter ses défis. Il commence par des échecs, mais fini par surmonter les difficultés et rencontre le succès. Il est alors confronté aux méchants et au mauvais sort, mais il surmonte tous les obstacles (c'est là que vous essuyez une larme). On met quelques célébrités au générique et le tour est joué. On a vu cette histoire cent fois, mais comme on s'est extasiés sur la connaissance des courses de Gary Ross, la prochaine fois on s'émerveillera de la même façon, pour la connaissance du monde des traders ou de l'athlétisme d'un autre réalisateur.