Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Brazil
par Alex Masson
Le Plein de Super continue aujourd'hui à restituer l'énergie brisée d'une époque, entre Easy rider cassavetien à la française et grisaille des années Giscard. Beau film.
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Cavalier réalise là un essai récréatif à la légèreté communicative dont on sent bien qu'il a été l'occasion d'un échange et d'un partage avec une jeune génération de comédiens à laquelle le réalisateur prêtait une oreille et un oeil généreux, sans jamais tenter de l'inscrire au sein d'une fiction édifiante. Le Plein de super garde son cap jusqu'au bout sans vraiment céder à la mélancolie ou au désenchantement. C'est à la fois sa réussite et sa limite.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
Devant ce torrent d'énergie, ce Love Stream perpétuel, on se dit que le cinéma français a connu de bien belles heures, et que le road movie est sans doute le genre le plus cinématographique qui soit. Et puis aussi, qu'on n'a pas vu depuis longtemps des films mus par une telle fureur de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Les copains d'abord. Un road-movie à la française, tourné à l'âge d'or de ce genre, les années soixante-dix, avec une liberté de ton qui laisse pantois. (...) Mais le film ne serait pas aussi réussi sans la présence attentive et la mise en scène rigoureuse d'Alain Cavalier. Celui-ci nous offre par la même occasion une formidable vue en coupe de la France des villes et des campagnes, sans jamais céder à la facilité. Cru et picaresque à la fois.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
L'image est élégante, soignée et capte toujours le détail qui fait mouche, les aventures sont à la fois banales et insolites. Le film est surtout une plongée dans la psyché masculine : il est vrai qu'ils se sont mis à cinq pour l'élaboration du scénario, les quatre acteurs Patrick Bouchitey, Etienne Chicot, Bernard Crombey, Xavier Saint-Macary se sont joints à Alain Cavalier.
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le Plein de Super est un road movie européen sasn références réelles, avec une tonalité quasi nihiliste qui est l'une des composantes de Cavalier. Il y a quelque chose d'irrésistible et de sauvage chez Cavalier, qu'on ne trouve nulle part ailleurs dans le cinéma parfait.
Studio Magazine
par La rédaction
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Eric Quéméré
Trente après, cet instantané de 1975 reste d'une étonnante modernité.
Le Monde
par Florence Colombani
Le portrait de ces quatre garçons un peu paumés est celui d'une société en pleine transformation. Le Plein de super date de 1975, capte quelque chose de cette époque, du désenchantement qui s'empare d'une génération. Mais les quatre héros se retrouvent bien vite perdus comme des enfants dans les bois (...) Contrairement à ses personnages, Alain Cavalier ne fuit pas devant l'amer constat des déceptions que réserve la vie. Il les accompagne sur leur route d'illusions perdues.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Brazil
Le Plein de Super continue aujourd'hui à restituer l'énergie brisée d'une époque, entre Easy rider cassavetien à la française et grisaille des années Giscard. Beau film.
Chronic'art.com
Cavalier réalise là un essai récréatif à la légèreté communicative dont on sent bien qu'il a été l'occasion d'un échange et d'un partage avec une jeune génération de comédiens à laquelle le réalisateur prêtait une oreille et un oeil généreux, sans jamais tenter de l'inscrire au sein d'une fiction édifiante. Le Plein de super garde son cap jusqu'au bout sans vraiment céder à la mélancolie ou au désenchantement. C'est à la fois sa réussite et sa limite.
Fluctuat.net
Devant ce torrent d'énergie, ce Love Stream perpétuel, on se dit que le cinéma français a connu de bien belles heures, et que le road movie est sans doute le genre le plus cinématographique qui soit. Et puis aussi, qu'on n'a pas vu depuis longtemps des films mus par une telle fureur de vivre.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Les copains d'abord. Un road-movie à la française, tourné à l'âge d'or de ce genre, les années soixante-dix, avec une liberté de ton qui laisse pantois. (...) Mais le film ne serait pas aussi réussi sans la présence attentive et la mise en scène rigoureuse d'Alain Cavalier. Celui-ci nous offre par la même occasion une formidable vue en coupe de la France des villes et des campagnes, sans jamais céder à la facilité. Cru et picaresque à la fois.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
L'image est élégante, soignée et capte toujours le détail qui fait mouche, les aventures sont à la fois banales et insolites. Le film est surtout une plongée dans la psyché masculine : il est vrai qu'ils se sont mis à cinq pour l'élaboration du scénario, les quatre acteurs Patrick Bouchitey, Etienne Chicot, Bernard Crombey, Xavier Saint-Macary se sont joints à Alain Cavalier.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Le Plein de Super est un road movie européen sasn références réelles, avec une tonalité quasi nihiliste qui est l'une des composantes de Cavalier. Il y a quelque chose d'irrésistible et de sauvage chez Cavalier, qu'on ne trouve nulle part ailleurs dans le cinéma parfait.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Trente après, cet instantané de 1975 reste d'une étonnante modernité.
Le Monde
Le portrait de ces quatre garçons un peu paumés est celui d'une société en pleine transformation. Le Plein de super date de 1975, capte quelque chose de cette époque, du désenchantement qui s'empare d'une génération. Mais les quatre héros se retrouvent bien vite perdus comme des enfants dans les bois (...) Contrairement à ses personnages, Alain Cavalier ne fuit pas devant l'amer constat des déceptions que réserve la vie. Il les accompagne sur leur route d'illusions perdues.